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pédophilie

  • Normalisation de la pédophilie par l’UE : la police écossaise rebaptise les pédophiles comme « personnes attirées par les mineurs »

    Publié par Guy de Laferrière le 03 janvier 2023

    Auteur : 

    La colère gronde en Ecosse après que la police du pays a rebaptisé les pédophiles « personnes attirées par les mineurs ».

    Le quotidien écossais Scottish Daily Express qui rend compte de l’affaire note que « ce terme, qualifié de « profondément troublant » et de « balivernes », a été inclus dans le rapport de fin d’année du Chef de la Police dans le cadre d’un projet européen visant à lutter contre la maltraitance et l’exploitation des enfants ».

    L’Union Européenne favorise le terme de « personnes attirées par les mineurs »

    En décembre de l’an dernier, MPI mettait en garde au sujet de cette normalisation de la pédophilie déjà en cours aux Etats-Unis où les pédophiles sont qualifiés par cette expression plus ‘soft’ de « personnes attirées par les mineurs ». La mode arrive outre-Atlantique via les instances corrompues de l’Union Européenne.

    Le rapport annuel de fin d’année du Chef de la Police écossaise Iain Livingstone qualifie donc les abuseurs d’enfants de « personnes attirées par des mineurs » (MAP). Devant la colère suscitée par un tel terme lénifiant, la police écossaise s’est défendue en expliquant que le choix de caractériser les pédophiles ainsi répondait à une demande de l’Union Européenne. Elle a expliqué que la référence aux MAPs était en relation avec l’engagement de la police dans le projet Horizon Europe de l’Union européenne – Prévention de l’exploitation sexuelle des enfants.

    Toujours sur la défensive, un porte-parole de la police a déclaré :

    « La police écossaise n’utilise pas le terme Minor-Attracted Person. La référence dans l’évaluation de la performance de la police (Chief Constable’s Assessment of Policing Performance 2021/22) était dans le contexte de l’engagement de la police d’Ecosse avec le consortium européen Horizon Project pour lutter contre l’abus et l’exploitation sexuels des enfants. Le terme a été utilisé dans les documents d’explication du consortium et est plus communément utilisé sur le continent. »

    Cette normalisation de la pédophilie n’est qu’une autre facette de la révolution arc-en-ciel menée par les lobbies Lgbti+++

    C’est donc bien la communauté européenne qui invente des mots pour normaliser la pédophilie mais à la lecture de l’article du Scottish Daily Express, on apprend bien davantage : cette normalisation n’est qu’une autre facette de la révolution arc-en-ciel menée par les lobbies Lgbti+++ visant à déconstruire l’identité, à promouvoir la perversion sexuelle et à effacer les valeurs morales issues de la civilisation chrétienne  :

    « Le terme MAP est controversé car les abuseurs d’enfants tentent d’échapper à la stigmatisation liée à la pédophilie et soutiennent qu’ils devraient être considérés comme une minorité aux côtés de la communauté LGBT ».

    D’ailleurs, continue le quotidien écossais, « la campagne de propagande des MAP a été comparée à la campagne PIE (Paedophile Information Exchange) des années 1970 et 1980, qui s’appuyait sur le mouvement de libération gay pour promouvoir des politiques favorables aux abus sur les enfants, comme l’abaissement de l’âge du consentement à juste quatre ans ». 

    Toutefois, malgré la décadence morale qui sévit dans de l’ancienne Caledonia, cette décision est combattue par une bonne part de la population écossaise qui la considère comme une tentative de faire passer la pédophilie pour une préférence sexuelle inoffensive. Un jugement qui est corroboré par les explications emberlificotées du rapport : « Le programme principal du projet, peut-on y lire, est de développer la compréhension et l’approche pour éviter la victimisation des enfants en engageant les personnes attirées par les mineurs (MAP) et en leur fournissant le soutien, le traitement et les conseils nécessaires pour aider à prévenir les activités criminelles. »

    Le recours à ces euphémismes ne fait que masquer la réalité et le danger que les pédophiles représentent

    Le monde politique écossais a commenté durement cette décision de la police du pays de se soumettre aux diktats de l’Union Européenne.

    Kenny McAskill, député du parti Alba et ancien ministre de la Justice du Scottish National Party, a déclaré fort à propos :

    « Le recours à ces euphémismes ne fait que masquer la réalité et le danger qu’ils [les pédophiles] représentent… Ces euphémismes doivent être évités, même dans les documents de mise en service, car ils masquent la réalité et l’horreur. Ce terme, quel que soit le contexte, est une absurdité ».

    Le danger en employant ce terme est «  de normaliser et donc peut-être de décriminaliser une infraction grave » a expliqué une assistante sociale, Maggie Mellon :

    « Il devrait y avoir des options de diagnostic et de traitement pour ceux qui représentent un risque pour les enfants, mais la police n’est pas un service thérapeutique, elle devrait consacrer ses ressources à la fermeture des sites pornographiques qui mettent en scène des enfants et des femmes maltraitées, et à l’augmentation des taux de détection et de condamnation de ceux qui encouragent la maltraitance des enfants ».

    Un porte-parole des conservateurs écossais a déclaré de son côté :

    « La plupart des Écossais trouveront profondément inquiétante et mauvaise toute tentative d’adoucir le langage autour de la pédophilie dans les directives officielles. Les infractions liées à la pédophilie sont parmi les crimes les plus épouvantables et les plus impardonnables que l’on puisse commettre et il est essentiel que les directives de la Police écossaise reflètent cela. »

    Quoi qu’il en soit de la colère des habitants, cette affaire n’est qu’un reflet de plus de la perversion qui anime les instances et organisations officielles, universités et monde hollywoodien aux Etats-Unis, Union Européenne sur le Vieux Continent déchristianisé :

    « La déstigmatisation de la pédophilie est la dernière phase de la révolution sexuelle néo-païenne ».

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Normalisation de la pédophilie : un jeu dangereux.

    Publié par Guy Jovelin le 31 août 2021

    Côté lutte progressiste contre le patriarcat, ça bouge, chez nos voisins belges. Tout récemment, les Journées du patrimoine à Bruxelles ont été rebaptisées Heritage Days : patrimoine, du latin patrimonium (« héritage du père »), étant devenu obsolète, pas assez inclusif.

    normalisation,pédophilieToujours chez nos amis belges, côté dédiabolisation de la , ça bouge aussi. Une poétesse belge progressiste, Delphine Lecompte, employée par le musée de Bruges, a signé une virulente tribune condamnant la diabolisation des pédophiles, en  d’un acteur flamand accusé d’avoir abusé sexuellement d’enfants. « Il semble plus sage d’accepter que la pédophilie réside en chacun de nous. » Avant de continuer, chers lecteurs, un sac à vomi à portée de main, au cas où, on ne ne sait jamais, pour les estomacs fragiles.

    « Soyons clairs : tout  a le droit de fantasmer sur des relations sexuelles violentes ou non avec des animaux, des enfants et des nains, des cueilleurs de truffes, des broyeurs d’orgues déments… », commence-t-elle sarcastiquement, « les scénarios horriblement sadiques auxquels nous nous livrons pendant les nuits blanches ne sont l’affaire de personne, et cela ne fera de mal à personne. » Lecompte dénonce « la diabolisation d’un groupe vulnérable marginalisé traité comme une racaille maladive durant des années par la communauté moraliste décente », arguant que « la plupart des pédophiles ne se livrent jamais à des actes pédophiles », et « que chaque être humain est parfois attiré par l’innocence ». La  est belle, dit-elle, « le regard sans méfiance, sans tache d’un enfant de chœur de 8 ans, d’un fils de sellier de 6 ans ou d’un marchand de fleurs roumain de 5 ans est ravissant, le summum de la beauté et de la splendeur céleste ». Certains de nos anciens ministres et éminents intellectuels gaucho-soixante-huitards n’en disconviendront pas, n’est-ce pas ?

    « Il me semble très dangereux de diaboliser et de faire taire les pédophiles. De cette façon, le pédophile est presque forcé dans le chemin de l’illégalité et du crime pervers », a-t-elle ajouté, invitant à « connaître et accepter les pédophiles […] qui passent leur vie à combattre leurs sentiments sexuels envers les enfants. L’enfer sur Terre, les enfants sont partout et le pédophile n’a pas le droit de les toucher. » Après #Charlie et , vivement le hashtag #JeSuisPédophile au pays de Marc Dutroux. De nombreuses personnalités ont évidemment dénoncé ces propos tout en en soulignant l’importance de la liberté d’expression.

    Le  a toujours œuvré pour l’acceptation sociale de la pédophilie et la défense des pédophiles (rappelez-vous la fameuse tribune de Libé), mais jusque-là sans réel succès. S’il n’y arrive pas de manière directe, celui-ci peut avancer dans son funeste projet de manière indirecte. Ce processus pourrait être déjà en cours par la promotion de la théorie du  et l’hypersexualisation dès le plus jeune âge, le but machiavélique, et encore inavoué, étant celui d’initier le « souhait pédophile » par le bas plutôt que de défendre celui découlant de plus haut, défendre le désir émanant chez l’enfant, donc. De nos jours, un enfant de 8 ans peut s’identifier fille ou garçon et pourrait bénéficier éventuellement d’une assistance médicale pour « changer son  sexuelle » ; le désir de transition sera donc assouvi, et plus tard le législateur progressiste légiférera « pour encadrer le processus » ; une grande étape est déjà accomplie. Si ce désir de changer de  est comblé, avec en conséquence un changement fondamental dans la nature profonde de l’enfant, pourra-t-on ultérieurement lui refuser l’assouvissement consenti d’une « attirance sexuelle volontaire » émanant de sa part à l’égard d’un adulte ? Les  sont ouverts que ce sera non, par « respect pour l’émancipation de l’enfant ».

    C’est une théorie, « capillotractée » peut-être, et seul l’avenir nous dira si celle s’avère prémonitoire.

     

    Pierre Mylestin

    Médecin

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Tribune pro-pédophilie : au tribunal, Jack Lang en prend pour son grade

    Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2021

    Tribune pro-pédophilie : au tribunal, Jack Lang en prend pour son grade

     

    Ce jeudi 17 juin, l’ex-ministre de François Mitterrand était jugé pour « diffamation », après ses propos sur la fille de la célèbre psychiatre Françoise Dolto. Sur Europe 1, Lang a prétendu qu’elle avait, comme lui, signé une tribune pro-pédophilie.

     

    (….)

     

    À l’origine de cette passe d’armes ? Des propos tenus par Jack Lang le 18 janvier dernier. À cette époque – nous sommes peu après la publication de La Familia grande de Camille Kouchner – la France découvre de terribles affaires d’incestes. « Chacun est sommé de se positionner sur ce sujet », rappelle la procureur de la République dans son propos liminaire. Ce jour-là sur Europe 1, au micro de Sonia Mabrouk, l’ancien ministre de la Culture est questionné au sujet d’une tribune pro-pédophilie qu’il a signée en 1977. Le poète Louis Aragon, l’écrivain Gabriel Matzneff et des dizaines d’autres signataires y réclamaient de la clémence pour trois auteurs d’actes de pédophilie : « Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit », écrivaient-ils.

    « C’était une autre époque, c’est une connerie, s’excuse à la radio l’ancien maire de Blois. On était très nombreux à l’époque à signer ça. » Puis, poursuivant : « Nous n’étions pas seuls à dire cela. Il y avait même des personnes éminentes, je pense à Catherine Dolto, même si elle était prudente. » Catherine Dolto n’en croit pas ses oreilles. Le sang de cette médecin et écrivaine de 74 ans ne fait qu’un tour. Elle réplique, dénonce dans nos colonnes un « mensonge éhonté », attaque l’ex-ministre en « diffamation ». Dans une lettre qu’il lui expédie plus tard, Lang reconnaît sa confusion : à ce moment, il songeait en fait à sa mère, Françoise Dolto. Une célèbre psychanalyste décédée en 1988. Sauf qu’elle non plus, n’a pas signé cette tribune…

     

    www.marianne.net via fdesouche

  • Exclusif-Pédophilie : 11 ministres de Macron appartiennent à un club ultra-secret jadis présidé par Duhamel

    Publié par Guy Jovelin le 04 février 2021

    synthesenationale

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    Une dizaine de personnalités ayant servi au gouvernement d’Emmanuel Macron ou toujours membres du gouvernement sont connus pour être membres du club secret Le Siècle, récemment présidé par Olivier Duhamel qui a été contraint de démissionner de ses fonctions en raison des accusations d’inceste et de pédophilie qui pèsent sur lui.

    L’Affaire Duhamel met l’Exécutif très mal à l’aise et il y a de quoi. En effet, le 26 janvier dernier, Lecourrier-du-soir.com, en se basant sur une information du journal Le Monde, avait révélé la grosse inquiétude qui règne au cœur de l’Elysée suite à l’affaire Olivier Duhamel accusé d’inceste et de pédophilie.

    D’après Le Monde, Edouard Philippe et des personnalités très proches de Macron ayant des liens très étroits avec Olivier Duhamel tentent d’étouffer le scandale à tout prix. Depuis bientôt un mois, l’Affaire, qui a reçu un retentissement mondial, secoue la classe politique française et menace de faire tomber des têtes.

     

    Et l’affaire n’en est pas à sa fin car une nouvelle révélation qui vient de surgir risque de ternir sérieusement l’image de l’Exécutif. La révélation met en relief les liens très étroits entre Olivier Duhamel, qui a rejoint Emmanuel Macron peu avant le second tour de la présidentielle 2017 et l’entourage du président de la République.

    En effet, d’après Capital.fr, 14 personnalités (ministres et ex ministres) du gouvernement d’Emmanuel Macron sont membres du Siècle, un club ultra secret où la consigne est très claire : “ne rien répéter de ce qui se dit dans leurs dîners”. Le club élitiste, fondé en 1944, a été présidé par Olivier Duhamel.

    Les noms ont été dévoilés. Il s’agit de : Edouard Philippe (l’ancien Premier ministre), Muriel Pénicaud (ex-ministre du Travail), Jean-Michel Blanquer (ministre de l’Éducation), Gérald Darmanin (ministre de l’Intérieur), Florence Parly (ministre des Armées), Élisabeth Borne (ministre du Travail), Sébastien Lecornu (ministre des Outre-mer), Emmanuelle Wargon (ministre déléguée au Logement), Amélie de Montchalin (ministre de la Fonction publique), Agnès Pannier-Runacher (ministre de l’Industrie), Jean-Baptiste Djebbari (ministre des Transports), Franck Riester (ministre du Commerce extérieur), Clément Beaune (secrétaire d’État aux Affaires européennes) et Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée.

    En dehors du monde politique, d’autres personnalités issues du monde des affaires et du monde littéraire sont aussi membres du Siècle. Parmi eux, il y a : Augustin de Romanet (PDG d’ADP), Nicolas Baverez (essayiste), Stéphane Pallez (la PDG de la Française des jeux) ou encore Philippe Wahl (PDG du groupe La Poste).

    “En 2017, les Echos évoquait un annuaire comptant plus de 600 noms. Parmi les personnalités politiques y figurant à l’époque, on trouvait aussi Nicolas Sarkozy, François Fillon, Rachida Dati, François Baroin ou Nathalie Kosciusko-Morizet”, conclut Capital.fr. Cette révélation risque d’être un coup de massue pour l’Elysée qui, depuis le début de cette affaire, fait tout pour se laver de tout soupçon dans un scandale devenu carrément “Affaire d’Etat”.

    Source : Lecourrierdusoir 

  • La commission pour lutter contre l’inceste sera présidée par Elisabeth Guigou, proche du pédophile Olivier Duhamel

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2021

    Dans cette République, tout est à l’envers, y compris quand elle veut bien faire, à moins qu’elle ne veuille que faire semblant de bien faire…

    Ainsi, une commission pour lutter contre l’inceste a été créée, et sur le papier, l’objectif est très louable car il s’agit de lutter contre ce fléau. Mais tout de suite, on reste interloqués quand on voit la composition de cette commission, à commencer par sa présidente, Elisabeth Guigou. Cette dernière a fait toute sa carrière dans la République et a atteint le Graal, devenant membre du Siècle en 1990. Parallèlement, puisque tout ce monde se côtoie, elle est devenue amie proche d’Olivier Duhamel, Président dudit Siècle, au point d’être invitée dans sa maison personnelle de Sanary-sur-Mer (Var). Or, ce dernier vient d’être violemment accusé de pédophilie, abusant de son beau fils. Dans une société saine, ces simples faits exigeraient que Guigou démissionne de ses fonctions (comment peut-elle être crédible ?). Mais non, c’est l’inverse qui se passe et elle s’accroche à sa commission, sans doute très lucrative, arguant qu’elle ne savait pas alors qu’elle s’est déjà rendue à titre privé dans la même maison où les méfaits ont eu lieu… D’ailleurs, une remarque : Il paraît très suspect qu’elle ne sût rien alors que manifestement tout le gratin était au courant des agissements du pédophile, y compris les parents de la victime, la mère (suicidée depuis), ainsi que le père, un certain Bernard Kouchner !

    Elisabeth Guigou n’est du reste pas la seule dans ce cas, puisque le directeur de Sciences po, Frederic Mion,

    a avoué même s’être parjuré, reconnaissant savoir depuis 2018 et non fin 2019 comme il l’avait dit précédemment. Sciences Po, dont Olivier Duhamel avait un rôle éminent Le Monde parle de « sorte de diva depuis plus de 30 ans ». Le mensonge pour couvrir des actes abominables semble être la conduite normale de ces gens là. Mais qu’attendre de Sciences Po, dont Mion est le successeur de Richard Descoings, ce dernier qui avait créé la discrimination positive en faveur des banlieues, c’est à dire au préjudice des Français de souche qui, eux, ont vu leurs frais de scolarité fortement augmenter ? Richard Descoings, mort à 53 ans aux Etats-Unis dans des conditions sordides, le nez plein de coke après avoir une relation sexuelle tarifée avec des hommes ! Evidemment, comme Guigou, Mion refuse toute démission.

    Leur société est abjecte, et pour mieux comprendre on écoutera ce document, issu de Figaro, qui explique l’origine du mal.

     

    Source : contre-info