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pape - Page 2

  • Emmanuel Macron et le Pape François : alliance contre nature ? Pas sûr !

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2022

    Auteur : 

    VATICAN MEDIA

    Après deux précédents entretiens en juin 2018 et en novembre 2021, Emmanuel Macron a rencontré le Pape François pour la troisième fois lors d’une audience privée ce Lundi 24 octobre. Les thématiques abordées concernaient la guerre en Ukraine où le Pape comme le président souhaitent jouer un rôle-clé dans l’issue du conflit, ainsi que le réchauffement climatique, l’euthanasie et l’accueil des migrants.

    Œuvrer ensemble pour la paix

    Tel est l’objectif de cette rencontre, comme en témoigne le traditionnel échange de cadeaux pour le moins symboliques.

    Le Pape François a offert à Emmanuel Macron une médaille de bronze représentant la place Saint-Pierre et la colonnade de Bernin, en mémoire du Pape Alexandre VII qui posa la première pierre du bras gauche de la colonnade en 1657. En effet, depuis son élection il se veut être un « bâtisseur de ponts au nom de la fraternité » dixit Vatican News. Il lui a aussi remis son dernier Message pour la paix et le Document sur la Fraternité humaine de 2019.

    Le président a quant à lui remis au souverain pontife la première édition en français du « Traité pour la paix perpétuelle » du philosophe allemand Emmanuel Kant, publiée en 1795.


    Photo Vatican

    Un geste qui pourrait sembler compréhensible de prime abord : quoi de plus rassurant qu’une paix perpétuelle ? Or le philosophe ne traite évidemment pas de la Paix de Jésus-Christ, seule véritable paix de l’âme, mais il donne le plan de ce que doit être la future République Universelle voulue par la franc-maçonnerie. On apprend notamment que la deuxième partie de l’ouvrage fait état de trois principes nécessaires à une paix définitive entre Etats, que rien ne viendrait troubler pas mêmes les révoltes populaires légitimes : la constitution de chaque Etat doit être républicaine, le droit individuel doit être fondé sur le fédéralisme d’Etats libres et enfin, le droit cosmopolitique doit se restreindre aux conditions de l’hospitalité universelle, ce qui est inconcevable vu les millions d’immigrés qui envisagent d’arriver à nos portes. Bref, un projet de gouvernance mondiale républicaine où chaque Etat doit accueillir tous les citoyens du monde sans restriction.

    La question de l’euthanasie sur la table

    Ce que les journaux bienpensants appellent pudiquement « fin de vie » – reprenant les éléments de langage de l’Etat qui font de la mort d’une personne donnée par un tiers, une « aide active à mourir » – a été discutée par les deux chefs d’état, sans que soit communiqué le résultat final de cet échange.

    Ça urge ! Emmanuel Macron désire au plus vite rendre légale la mort programmée des citoyens français par l’inscription du « droit à l’euthanasie » dans la loi française. Une convention citoyenne est prévue en 2023, comme si le nombre pouvait déterminer ce qui est bien ou mal et donc ce qui peut être autorisé et ce qui doit être interdit.

    Le Pape François avait marqué son opposition à ce projet devant une délégation d’élus français le Vendredi 21 Octobre : « Si on tue avec des justifications, on finira par tuer de plus en plus ». « On ne peut demander aux soignants de tuer leurs patients ». Les soignants sont bien placés pour dire que ce sont les souffrances qui peuvent conduire les patients à vouloir en finir. Or dès lors que la douleur est soulagée, ils ne demandent qu’à vivre ! Le Vatican a rappelé que l’euthanasie est un « crime contre la vie humaine », que le suicide assisté est un « grave péché », et que ceux qui y recourent ne peuvent pas recevoir les sacrements. Une occasion manquée de parler de la question essentielle du salut de l’âme pour le patient comme pour les potentiels « soignants tueurs ».

    Quelques jours après l’entretien, Emmanuel Macron qui tutoie le chef du Saint-Siège et lui passe volontiers la main dans le dos tout sourire, a livré quelques détails : « J’en ai parlé d’initiative au pape, en lui disant que je n’aimais pas le mot d’euthanasie » car « la mort, c’est un moment de vie, pas un acte technique ». Un euphémisme de plus pour tenter de faire accepter l’inacceptable.

    Le président chanoine honoraire rencontre le chapitre de la basilique du Latran

    En fin de journée, il a rencontré le chapitre du Latran à Rome, dans le chœur de la basilique. Il a rappelé ce qu’il estime être « le lien historique et spirituel » qui unit les présidents français au Latran, démentant par la même les déclarations embarrassées de l’Elysée sur l’absence de dimension spirituelle du titre honorifique de chanoine honoraire de l’archibasilique du Latran donné aux présidents français.

    E. Macron a déclaré : « des fils invisibles nous lient ». « Je ne vous oublie pas, vous les chanoines, et je vous porte toujours dans mon cœur. Je vous renouvelle mes sentiments de loyauté et d’amitié. L’époque dans laquelle nous vivons n’est pas simple… Je vous demande de prier pour nous, dirigeants du monde, d’intercéder et de prier pour nous, car c’est quelque chose qui me tient à cœur ».

    La loyauté suppose qu’Emmanuel Macron a pris des engagements envers Rome, lesquels ne sont pas connus. Elle suppose également une réciprocité. C’est pourquoi il attend évidemment de l’Eglise bergoglienne qu’elle soit à ses côtés dans le combat idéologique « pour la paix », par la lutte active contre les obstacles au nouvel ordre mondial(iste) que sont les nationalismes, les barrières morales, la recherche de pureté et le traditionalisme, véritable épine dans le pied des deux colosses aux pieds d’argile…

    Attendons-nous donc à des mesures envers les récalcitrants latinistes et autres férus du catéchisme du Concile de Trente en provenance de la République comme de Rome : l’un accuse les Français attachés à leur identité d’être des séparatistes mettant en danger l’unité de l’Etat, l’autre réprouve les traditionnalistes attachés à la doctrine catholique et les accuse de « donner un coup de canif » dans l’unité de l’Eglise. La condition de leur paix est visiblement leur point commun : faire table rase du passé.

    « Quand les hommes diront : « Paix et sûreté ! » c’est alors qu’une ruine soudaine fondra sur eux comme la douleur sur la femme qui doit enfanter, et ils n’y échapperont point. »

    1 Thessaloniciens, 5, 3

     

    Source : medias-presse.info

     

  • Le Pape, ou plutôt l'évêque de Rome, dit "prier pour le Liban, modèle du vivre ensemble".

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2020

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

    Nous, nous prions pour les seuls Chrétiens de cette terre qui nous est chère, en espérant qu'un jour, ils pourront, fiers de ce qu'ils sont et forts de leur identité, sortir de ce "vivre ensemble" qui les asservit et les tue.

    Jean-François Touzé

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  • Le Vatican finance le film Rocketman à la gloire de l’homosexuel Elton John

    Publié par Guy Jovelin le 04 février 2020

     

    Nouveau scandale lié au « locataire » du Vatican

    Le denier de Saint-Pierre (Peter’s Pence) était à l’origine un tribut annuel versé au Saint-Siège par l’Angleterre du VIIIᵉ siècle à 1534 (au moment de la Réforme) pour aider les pauvres et les malades. Le mot britannique de pence est le pluriel de la petite monnaie appelée penny (1,5€). Sous le pontificat de Pie IX (1792-1878), le nom est repris pour désigner une contribution volontaire des fidèles à la papauté.

    Selon The Wall Street Journal du 11 décembre 2019 (article de Francis X. Rocca) qui en fait un gros titre, seulement 10 % de cette somme arrive aux pauvres. Le reste est utilisé pour boucher les déficits du Vatican… ad majorem dei gloriam, au nom de la plus grande gloire de Dieu. Il est vrai qu’en France les gouvernements nous ont habitués à ce genre de rafistolages.

    En attendant, en Amérique un cabinet juridique de l’État du Rhode Island, a porté plainte pour fraude contre la Conférence des évêques américains.

    En effet, celle-ci recueille les fonds des donateurs qui aboutissent à des « managers » intermédiaires ou à la participation à des œuvres profanes douteuses sur le plan financier ou moral, comme un film sur Elton John intitulé Rocketman (l’homme fusée).

    La réponse de Rome aux critiques faites à la suite du Wall Street Journal (journal spécialisé en matière de finances) est déconcertante : le Souverain Pontife intuitu personae (personnellement) utilise son argent comme il le veut selon ses besoins.

    Comme Elton John est homosexuel et “marié” à un homme, on est bien obligé de penser que le pape est ainsi complice de telles pratiques. C’est un gage supplémentaire donné aux homosexuels.

    Mais ce gage est différent des précédents qui étaient publics. Cette fois-ci ce don est strictement privé. Conclusion, en douce le pape subventionne l’homosexualité. C’est que, bien sûr, il est pour in pectore (dans le fond du cœur)… Il serait bien mieux inspiré de soutenir des films véritablement chrétiens.

    Donc si vous donnez de l’argent pour « le denier de Saint Pierre », vous savez désormais ce que le pape peut en faire : encourager des pratiques inacceptables selon la Bible qui rejette les mœurs païennes à l’instar de Saint Paul. Le denier de Saint Pierre est devenu le denier de Judas.

    Jean-Pierre Dickès

     

    Source : medias-presse.info

  • La révolution du pape François en marche, féministe et pro-migrants

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020

    Femme et pro-migrant, laïc, c’est le nouveau sous-secrétaire d’État du Saint-Siège. Une décision historique prise par le pape François qui signe d’une pierre politiquement correcte l’entrée des femmes aux plus hautes fonctions administratives du petit Etat à la tête de millions et millions d’âmes. Une innovation féministe et immigrophile qui s’inscrit bien dans la ligne de la révolution progressiste et New Age initiée par El papa argentin, elle-même partie prenante dans la mondiale révolution arc-en-ciel qui inverse tout, déconstruit tout, pour bâtir un utopique paradis terrestre.

    Au cours du débat, très moderne et mondain, sur la parité des rôles au Vatican, lieu d’hommes par excellence, blancs par dessus le marché, à abattre, transformer, recycler aux couleurs arc-en-ciel selon la bien-pensance, Jorge Maria Bergoglio a opté pour nommer  Francesca Di Giovanni  à un rôle central au « ministère des Affaires étrangères » du Saint-Siège, la fameuse Secrétairerie d’État.

    Ce choix de l’actuel pontife ne peut passer inaperçu tellement il est révolutionnaire, et, en même temps, une soumission aux injonctions du mouvement féministe qui était intervenu exactement sur ce thème du rôle des femmes dans l’Église au cours du Synode pour l’Amazonie, et est revenu dessus dans le dernier numéro du magazine Donne Chiese Mondo, un supplément de l’Observateur romain, conçu et dirigé par des femmes uniquement,-fi de la parité dans le contexte féministe. Ce qui est bien une preuve que ce Synode soi-disant destiné uniquement à la région amazonienne a bien des répercutions universelles, comme le craignaient les membres conservateurs de l’Église officielle.

    Francesca Di Giovanni, d’après l’agence de presse Adnkronos, aura la mission de s’occuper des rapports multilatéraux. Elle a déjà commenté sa nomination comme « une décision innovante » :

    « C’est la première fois qu’une femme a un rôle dirigeant au sein de la Secrétairerie d’État. »

    Concernant le cadre de sa mission, qui s’inscrit dans les relations diplomatiques, elle a ajouté :

    « En quelques paroles on peut dire qu’il s’agira de traiter des rapports qui concernent les organisations inter-gouvernementales au niveau international et cela comprendra les réseaux des traités multilatéraux, qui sont importants parce qu’ils sanctionnent la volonté politique des Etats par rapport aux différents thèmes concernant le bien commun international : nous pensons au développement, à l’environnement, à la protection des victimes des conflits, aux conditions des femmes, et ainsi de suite. »

    Francesca Di Giovanni est considérée dans les médias du système « une juriste en première ligne pour les migrants et les réfugiés ». Ainsi, elle devient un atout dans les mains du pape François pour imposer, dans le cadre des relations diplomatiques multilatérales, la pastorale bergoglienne de l’accueil.

    Fait à noter, ce nouveau sous-secrétaire d’État appartient au mouvement des Focolari, un de ces mouvements nés après le Concile pour faire avancer l’œcuménisme et le multi-religieux dans les esprits post-catholiques des temps modernistes, ce qui en fait un allié parfait pour œuvrer à l’instauration de la société multi-culturelle, arc-en-ciel, plurielle, ce village global et coloré voulu par les temples occultes. Mme Di Giovanni est l’arché-type de la convergence de toutes les luttes post-modernes, mêlant dans une interdépendance éloquente féminisme, immigrationnisme, droits Lgbtqi, réchauffement climatique… La révolution bergoglienne se conjugue en arc-en-ciel et mondialisme.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Migrants : la croix à gilet de sauvetage fait scandale sur la Toile, le pape accusé d’encourager une invasion migratoire

    23/12/2019

    Au Vatican, jeudi 19 décembre, le pape François a inauguré un crucifix de résine sur lequel figure un gilet de sauvetage, symbole de la mort de nombreux migrants en Méditerranée. Ce geste a provoqué des réactions déchainées de certains catholiques sur les réseaux sociaux.

    Certains catholiques se déchainent sur les réseaux sociaux : « Idolâtrie », « dénaturation de la Croix ». Les commentaires insultants de catholiques identitaires ont fleuri après le dévoilement de ce crucifix peu orthodoxe, quand il ne s’agit pas d’attaques directes contre le pape François, accusé d’encourager une invasion migratoire.

    Mais le souverain pontife ne s’est pas laissé atteindre par ces attaques polémiques. Il a au contraire enfoncé le clou, exhortant à « sauver les migrants » et rappelant la dignité de ces personnes qui meurent noyées.

    (…) RFI


    20/12/2019

    Pape François @Pontifex_fr

    J'ai décidé d'exposer ce gilet de sauvetage, "crucifié", pour rappeler à tous l'engagement impératif de sauver toute vie humaine, car la vie de chaque personne est précieuse aux yeux de Dieu. Le Seigneur nous demandera des comptes à l'heure du jugement. https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2019-12/le-pape-exhorte-a-sauver-les-migrants-en-mer.html 

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    « Notre inaction est un péché ! », a prévenu le pape en installant jeudi 20 décembre, au cœur du Vatican un crucifix vêtu d’un gilet de sauvetage retrouvé en Méditerranée.

    (…) Le gilet de sauvetage exposé doit «rappeler à tous l’engagement incontournable à sauver chaque vie humaine, un devoir moral qui unit croyants et non-croyants», a insisté le pape. «Comment ne pouvons-nous pas écouter le cri désespéré de tant de frères et soeurs qui préfèrent affronter une mer en tempête plutôt que mourir lentement dans les camps de détention libyens, lieux de torture et d’esclavage ignobles ?», a-t-il demandé. En avril 2016, le pape s’était rendu sur l’île grecque de Lesbos, en mer Egée, et avait ramené à bord de son avion trois familles musulmanes syriennes.

    Le Figaro