Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2021
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Nous sommes les esclaves du Gouvernement
Pour l’instant il n’y a pas besoin de pass pour savourer un Barbey d’Aurevilly sur la plage. Mais ils finiront bien par nous mettre des grilles, des portails et des agents de sécurité pour nous rappeler que nous sommes les esclaves du Gouvernement et que notre liberté n’est pas souhaitable : avoir sans cesse sur soi un maudit téléphone pour faire scanner un QR-Code, devoir justifier du pourquoi on est là et pas chez nous, etc. Ils trouveront bien un moyen, un prétexte. Ce sera la santé, ou l’écologie, ce genre de balivernes bonnes à amadouer les petites vieilles et à mettre au pas une jeunesse effrayée à l’idée de s’opposer au camp qui se dit être le camp du Bien. C’est là la grande entourloupe. Après nous avoir enseigné qu’aimer notre race c’était du racisme, le Gouvernement nous apprend désormais qu’on attente à la santé publique si on ne se fait pas injecter dans le corps la marchandise des rapaces pharmaceutiques, et qu’on détruit l’environnement en refusant de rouvrir des centrales à charbon ou de fixer des ignobles éoliennes dans des mers de béton. C’est la grande arnaque du siècle. Vivement que ce siècle accouche du Barrès qui fera valser tout ça. En attendant : prière, lecture et camaraderie, voilà trois belles façons de se détacher autant que possible de ce Gouvernement de minables et, surtout, de salopards. -
Halloween à toutes les sauces, même pour récolter votre sang sans pass sanitaire
Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2021
Auteur : Léo KersauzieLe message ci-dessus est envoyé par mail à quantité de Français par l’EFS (Etablissement Français du Sang). Le lecteur appréciera le mauvais goût de cet organisme gouvernemental qui succombe au culte de l’horreur à l’occasion d’Halloween.
On notera aussi une fois de plus l’insistance de cet organisme gouvernemental à préciser qu’il n’est pas besoin de pass sanitaire pour donner votre sang. Selon que c’est pour remplir une pochette de sang bien rouge ou pour boire un petit verre de rouge, le pass sanitaire n’aurait pas le même sens ? Ce Covid semble très sélectif…
Source : medias-presse.info
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Le 15 octobre, le chaos en Italie ?
Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2021
Auteur : Francesca de VillasmundoLe 15 octobre est un rendez-vous sous haute tension en Italie. Ce jour-là entre en vigueur l’obligation d’un passe sanitaire au travail, appelé Green pass outre-Alpes. Obligation qui incombe aussi aux policiers, le bras répressif du gouvernement.
Or il y a des tensions dans le monde policier. Et cela est démontré par la note très dure avec laquelle le syndicat de police Fsp pointe du doigt la direction du ministère de l’Intérieur italien, Luciana Lamorgese. Le 15 octobre approchant et avec l’obligation d’un laissez-passer vert pour les travailleurs dans les rues italiennes, il y a un risque de chaos. Il existe des milliers d’agents sans vaccination, cette dernière n’étant pas obligatoire, et donc sans autorisation d’opérer en service. Des semaines ont passé, mais aucune solution n’a encore été trouvée. « Ceci étant le cas – dénonce le FSP – il n’est pas difficile de prévoir le chaos. »
Une réunion au ministère de l’Intérieur était à l’ordre du jour aujourd’hui pour régler la question avec les syndicats mais le ministre Lamorgese attendu « pour répondre aux enjeux politiques aussi bien qu’aux fondamentaux techniques opérationnels » « n’a pas daigné être présent, attaquent les syndicats policiers, et il ne nous a pas non plus envoyé de réponse ». Les représentants des policiers dénoncent un « irrespect absolu, total, total » que le ministre réserve « à tous les hommes et femmes de la police d’Etat ». « La réunion, ajoute le syndicat FSP, s’est terminée dans une impasse car il n’y a toujours pas de directives du ministre de l’Administration publique, nécessaires pour faire face à la situation ». Sur le point « vous n’êtes pas prêt », il y a « plus de doutes que de certitudes », et « le système de sécurité est trop complexe pour improviser en termes d’équipes, de services, de fréquentation, des milliers d’heures supplémentaires qui se dessinent ». Il y aurait environ 15 à 19 milles policiers non-vaccinés. Or la filière policière est déjà en manque d’effectifs. Il y a peu de patrouilles dans les rues. « Ceci étant le cas, écrit la FSP, il n’est pas difficile de prévoir le chaos. Sans vouloir entrer dans le bien-fondé scientifique de la question, on ne peut manquer d’enregistrer comment, en l’absence d’obligation (vaccination, ndlr), le choix est donc laissé à la volonté des individus. Cependant, il est évident qu’aujourd’hui, pour notre Administration, la mise en pratique de cette décision politique est presque improbable, voire impossible ».
La possibilité des tests PCR pour les flics n’est pas réellement envisageable. Outre le fait qu’ils sont payants, chers, et non remboursés, compte tenu des « milliers d’heures de service extraordinaire quotidien émergent et obligatoire », concilier les horaires de service avec la « validité stricte du passe vert » devient pratiquement impossible. « Dans le travail de policier, on sait souvent quand on commence et on ne sait pas quand on finit, et un service peut durer six, dix, dix-huit heures consécutives. Et si entre-temps le laissez-passer vert expire, que faites-vous ? Que faire si un policier, tout en faisant preuve de la plus grande diligence, trouve les pharmacies bouchées et ne parvient pas à réaliser un test antigénique ou à obtenir les résultats à temps ? »
Les syndicats demandent depuis longtemps au moins le test gratuit. Mais pour l’instant, le gouvernement a répondu « non ». Le risque, au final, est que les policiers non-vaccinés contre le covid restent à la maison et que les vaccinés soient appelés « pour pallier d’éventuels dysfonctionnements organisationnels et politiques ». Les demandes sont simples : le syndicat souhaite le « report de l’entrée en vigueur du décret-loi relatif » au laissez-passer vert « car le système de sécurité, en l’absence de certitudes, n’est pas prêt ».
L’autre danger auquel risque de faire face le gouvernement du banquier Draghi est de voir les policiers se ranger du côté des centaines des milliers de manifestants qui occupent de jour comme de nuit les rues des villes italiennes pour protester contre le passe sanitaire, et qui préparent d’autres blocages dans toute l’Italie le 15 octobre et jours suivants.
D’ailleurs le ministère de l’Intérieur italien a déjà fait un pas en arrière en envisageant les tests gratuits pour les dockers qui bloquent les ports. Comme quoi, les manifestations dures, et qui frappent les centres économiques, comme celles qui ont eu lieu en Italie ces derniers jours payent… le chaos que les élites mondiales organisent sciemment fait quand même peur aux marionnettes politiques qu’elles ont mises aux commandes tant dans le Bel Paese qu’en France…
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
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Ne possédant pas de pass sanitaire, il présente à l’entrée d’un hôpital le code QR du Président
Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021
Pour entrer dans un hôpital où il “avait un rendez-vous”, un jeune homme, qui n’avait pas pris le soin de se procurer un pass sanitaire, a présenté le code QR d’Emmanuel Macron et a fini en garde à vue.
Un jeune homme a été interpellé le 5 octobre à Marseille pour avoir pénétré dans un hôpital. Mais pas n’importe comment. En effet, il a présenté à l’entrée le pass sanitaire… du Président de la République. Les agents de sécurité s’en sont rendu compte et l’ont laissé passer avant d’appeler la police, relate Actu 17.
Le jeune homme a été placé le même jour en garde à vue qui a été levée ce samedi 9 octobre en début de soirée. Il a déclaré que c’était juste “pour rigoler”.
“Il a expliqué qu’il avait un rendez-vous et devait participer à un groupe de travail. Étant donné qu’il n’avait pas de pass sanitaire, il a décidé de présenter celui d’Emmanuel Macron, qui avait fuité sur Internet il y a quelques semaines”, a indiqué à Actu17 une source proche de l’enquête.
Le jeune homme a fait l’objet d’une contravention de 4e classe pour “présentation d’un document sanitaire appartenant à un tiers lors d’un contrôle d’accès à un lieu dans le cadre de la lutte contre la propagation de l’épidémie”.
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Chronique des cinglés
Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2021
Laurence Cohen, sénatrice du Val-de-Marne membre du parti communiste français, s’inquiète de l’atteinte aux droits des trans induite par le passe sanitaire. Selon elle, celui-ci représenterait pour les transsexuels une intrusion dans leur intimité.
En effet, si la personne n’a pas modifié son état civil, le prénom de naissance ne correspondrait plus – nécessairement – avec la possible nouvelle apparence, et cela risquerait de « déboucher sur des situations embarrassantes et violentes ».
Ces craintes l’amène à poser une question à M. le ministre des solidarités et de la santé : elle demande ce
« qu’il compte mettre en place pour lutter contre la transphobie et mieux respecter l’intimité des personnes, tout en s’assurant des normes sanitaires en période de pandémie et des conditions d’accès aux lieux accueillant du public ? ».
Source : lesalonbeige