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transgenres - Page 2

  • Face à la vague des transgenres, le plus prestigieux hôpital de Suède ne donne plus d’hormones aux mineurs

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2021

    Le plus prestigieux hôpital de Suède revoit son protocole et ne donne plus d’hormones aux mineurs. Le premier pays au monde à avoir reconnu le droit des transgenres va-t-il faire marche arrière ? De phénomène rarissime, touchant quelques individus dès la petite enfance, la dysphorie de genre est devenue une pathologie de masse, apparaissant avec l’adolescence.

    Pour raconter ce qui est arrivé à sa fille, Asa préfère montrer l’album où elle l’a prise en photo, chaque mois, à partir de ses 14 ans. «Voilà l’époque où Johanna s’est mise à couper ses cheveux très court, à mettre un bandage de poitrine pour l’aplatir», commence-t-elle. Les clichés se succèdent, le sourire disparaît, le visage s’émacie: «Elle est tombée malade, l’anorexie. À l’hôpital, j’ai remarqué qu’elle suivait des comptes transgenres sur les réseaux sociaux. Elle m’a annoncé qu’elle souffrait de dysphorie de genre, qu’elle ne supportait plus son corps… Elle a décidé de devenir Kasper, un garçon

    Son visage alors apparaît plus affirmé, cheveux teints, air viril. Et puis, à 19 ans, Johanna réapparaît en fille, lueur énigmatique dans le regard: «C’est un voyage qui a duré deux longues années, s’émeut Asa. Ma fille a changé de genre, d’identité, mais elle a ensuite eu l’immense courage d’avouer son erreur. Je suis très fière d’elle.»  […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Rugby : la Fédération française autorise les personnes transgenres dans les compétitions officielles

    Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2021

    Les transgenres peuvent intégrer les équipes de rugby et participer à toutes les compétitions officielles à compter de la saison prochaine, a annoncé la Fédération française de rugby, ce lundi 17 mai, à l’occasion de la journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie.

    “Considérant qu’il était temps que la pratique du rugby soit en cohérence avec la vie que l’on a choisie, et non celle qui nous a été assignée, la FFR a décidé de permettre aux trans-identitaires, transsexuels et transgenres de participer à toutes ses compétitions officielles”, a expliqué l’instance dirigeante du rugby français.

    La FFR devient la première fédération sportive hexagonale à inclure les athlètes transgenres dans son règlement. […]

     

    Les personnes trans, réassignées physiquement, peuvent ainsi évoluer dans toutes les compétitions officielles organisées par la FFR si elles sont reconnues administrativement.

    Les femmes trans (nées hommes) “non opérées” devront en outre attester qu’elles “suivent un traitement hormonal depuis à minima 12 mois” et ne dépassant pas le seuil de 5 nanomoles/litre du taux de testostérone.

    Les hommes trans (nés hommes) n’ont à l’inverse aucune restriction. Une commission adéquate étudiera également chaque cas dans un délai de deux mois “pour valider l’iniquité des gabarits dépassant la norme médiane et dans un esprit d’inclusion”, selon la FFR.

    En octobre, World Rugby avait “recommandé” que les femmes trans ne disputent pas ses compétitions élite ou internationales féminines, durant lesquelles “la taille, la force, la puissance et la vitesse sont cruciales”, car “la sécurité et l’équité ne (peuvent) être assurées” aux femmes non trans. […]

    La question de la participation des femmes trans dans le sport féminin fait débat. Plusieurs athlètes féminines de haut niveau, dont l’ex-championne de tennis américaine Martina Navratilova, les athlètes britanniques Kelly Holmes et Paula Radcliffe, ont manifesté leurs inquiétudes sur les préjudices éventuels que pourraient apporter au sport féminin la participation d’athlètes trans, potentiellement plus puissantes.

    Aux Etats-Unis, la question, très clivante entre conservateurs et libéraux, a été portée en justice au niveau fédéral.

    Midi Libre via fdesouche

  • Au cœur du sport : les faux champions transgenres

    Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2019

     

    Il y a deux ans, la National Collegiate Athletic Association en Amérique avait pris une décision pour le moins contestée mais conforme au politiquement correct. Elle avait décidé que les transgenres pourraient concourir avec les sportifs du sexe auquel ils s’identifiaient. Evidemment des petits malins se sont engouffrés dans la brèche. Un garçon déclare affirmer qu’il est une fille ; quelques injections d’œstrogènes, de progestatifs et d’aldactone pour ne pas prendre trop de cellulite… Le voilà qui arrive à la compétition. Pas même une demande de carte d’identité, d’examen médical ; et pas non plus de caryotype (étude des chromosomes) pour savoir s’il s’agit bien d’une fille. Et c’est parti pour la victoire ! Pourquoi ? Parce que la constitution physique des hommes, n’en déplaise aux féministes, est plus puissante notamment par les muscles et les os. Les transgenres hommes sont le plus souvent gagnants sur les femmes. Un âne comprendrait cela. Pourtant il est question lors des prochains jeux olympiques de laisser les transgenres participer aux compétitions du sexe opposé au leur. Source de conflits à n’en plus finir. Il y en a eus dans différents sports : arts martiaux, rugby, boxe, cyclisme etc.

    Bien sûr immédiatement un certain nombre de scandales émergèrent dès 2017. Certains athlètes, hommes de bonne foi, gagnèrent des prix car ils étaient les plus forts. Mais bien sûr des filous profitèrent de la situation. C’est le cas de « Marie » Grégory qui s’était lancé dans la compétition des poids et haltères. La Fédération l’avait considéré comme une femme sur sa simple affirmation. En un an il avait gagné toutes les compétitions et avait battu quatre records mondiaux. Comble du cynisme, l’intéressé a remercié la Fédération de lui avoir permis de concourir.

    Cette situation curieuse a fini par inquiéter une série de champions dans la discipline concernée. Plusieurs d’entre eux estimèrent qu’il fallait prendre en considération le sexe biologique et pas le genre. Ils déclarèrent qu’il y avait là une plaisanterie de bien mauvais goût. D’autant que plusieurs cas de cette nature avaient déjà été enregistrés et relevaient d’un manque de fairplay.

    Le président de la Fédération des poids et haltères fit faire une prise de sang à Grégory et la supercherie fut dévoilée. Le 1er mars, il rayait tous les titres et prix obtenus par l’intéressé. Et ensuite ?

    Ensuite il exprima le souhait de voir se développer des épreuves pour les transgenres. Une autre bouteille à l’encre insoluble en raison des variétés de ce « genre ».

    Décidément seule la bêtise humaine nous donne une notion de l’infini.

    Jean-Pierre Dickès

     

    Source : medias-presse.info