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tunisien - Page 3

  • Brest : Lors d’un cambriolage, un Tunisien viole un enfant de 5 ans. Condamné en appel, il pourra finalement rester en France

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2019

    Par  le 15/11/2019

    Au terme de deux jours de débats à huis clos, la cour d’assises des Côtes d’Armor a condamné, ce mardi, Wael Haddad, 34 ans, à dix ans de réclusion criminelle, jugé en appel. En première instance, à Quimper, en décembre 2018, il avait écopé de huit ans de prison, ainsi que d’une interdiction définitive du territoire français, l’accusé étant de nationalité tunisienne.

    Le jury de Saint-Brieuc a lui aussi reconnu le trentenaire coupable du viol d’un garçonnet, mais aussi d’exhibition sexuelle et de vol en récidive. Le 25 mars 2016, il s’était introduit dans l’habitation d’une famille brestoise pour la cambrioler, avant de s’attarder dans la chambre des enfants. Le plus petit, âgé de cinq ans, avait été violé par le cambrioleur, fait confirmé par le grand frère.

    Placé en détention en avril 2016, après son interpellation à son retour de Tunisie par la brigade des mineurs du commissariat de Brest, il n’avait cessé de nier les faits. Il avait sollicité, en juillet 2018, une remise en liberté qui lui avait été refusée.
    La cour d’assises a également condamné Wael Haddad à un suivi sociojudiciaire de cinq ans, avec injonction de soins, obligation d’indemniser les victimes et interdiction d’exercer toute activité en lien avec des mineurs. S’il manquait à ces obligations, il encourrait quatre ans de prison.

    Si les jurés costarmoricains n’ont, cette fois, pas prononcé son interdiction définitive du territoire, il sera néanmoins interdit de présence dans la région Bretagne pendant dix ans. La cour d’assises a également ordonné son inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles.

    Le télégramme via fdesouche

  • Linas (91) : le maire centriste placé en garde à vue après des accusations de viol sur un migrant clandestin (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2019

    Par  le 24/05/2019

    24/05/19

    François Pelletant, le maire (centriste) de Linas a été interpellé mercredi par la police judiciaire, dans une affaire de viol présumé sur un jeune sans-papiers. Il a été relâché ce jeudi soir. Un juge d’instruction de Créteil (Val-de-Marne) est en charge de ce dossier.
    (…) Le Parisien


    7/06/17

    François Pelletant, le maire centriste de Linas, candidat aux législatives sur la 4e circonscription, est convoqué devant les Prud’hommes fin juin pour une affaire de travail dissimulé, harcèlement moral et sexuel. Et visé dans une autre procédure pour viol.

    Tout commence via un réseau de rencontres en 2014, alors que le jeune homme se trouve en Tunisie. A distance, cette relation est ponctuée de 18 transferts d’argent en ligne jusqu’au printemps 2015 pour un montant de plus de 5 000 €. «Pour un travail de standard délocalisé», selon le bénéficiaire. «C’était pour qu’il fasse ses papiers», affirme l’élu qui dénonçait ce mercredi «concomitance entre la médiatisation de cette affaire et les élections législatives» auxquelles il est candidat sur la 4e circonscription de l’Essonne.

    Leur idylle démarre de manière réelle à l’arrivée en région parisienne du jeune homme, en avril 2015. H. est logé à Villejuif, dans un appartement appartenant à François Pelletant. Il travaille aussi pour le Carrefour des communes, fondé par le maire de Linas.

    «Au bout de deux ou trois semaines, il m’a demandé d’entrer dans une relation sadomasochiste, je n’étais pas d’accord, mais j’ai voulu tenter, pour lui», reprend le garçon. «Dès qu’on a essayé je n’ai pas aimé, j’ai refusé que l’on continue.»

    Il tremble et ses yeux rougissent à l’évocation des faits. Ce Tunisien de 26 ans a quitté son pays pour rejoindre la France et son «amant, François Pelletant», au printemps 2015. «Il avait géré pour mes papiers, il me logeait et m’avait trouvé un travail dans une de ses associations», indique H., qui préfère rester discret

    Le Parisien Via fdesouche

  • Allemagne : Cynthia, 21 ans, tuée de plusieurs coups de couteau par son petit-ami Ahmed, un migrant tunisien qui aurait dû être expulsé

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2019

     Par  le 08/03/2019

    Meurtre sanglant à Worms (Allemagne) – Un Tunisien de 22 ans a poignardé à mort sa petite amie de 21 ans lors d’une dispute.

    Ahmed T. passait la nuit chez les parents de Cynthia R., comme il l’a souvent fait. La jeune infirmière a son propre espace à l’étage supérieur de la maison familiale avec un salon et une chambre.

    Dans la nuit de mercredi à jeudi, Ahmed a tué la jeune femme à coups de couteau, « plus d’une dizaine de coups » selon les inspections de la police.

    Le Tunisien a avoué le crime et a été placé en détention. Depuis son arrivée en Allemagne en octobre 2017, il a vécu sous plusieurs identités, selon les enquêteurs.

    Le meurtrier est bien connu des services de police pour des agressions ou des délits liés à drogue.

    En octobre 2018, il a purgé une peine de trois semaines pour vol.

    La famille de Cynthia est stupéfaite. Son oncle : « C’était une personne si douce. Elle ne parlait mal de personne. Elle vivait pour son travail. Elle voulait devenir sage-femme. Elle était joyeuse, aimait faire la fête. »

    Le lundi 4 mars, deux jours avant le meurtre, Ahmed T. a reçu une obligation de quitter le territoire allemand.

    Bild / Welt.de via fdesouche