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vaccination - Page 4

  • Vaccination des jeunes enfants en marche alors qu’une étude anglaise montre que les écoles ne sont pas des foyers de transmission

    Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2021

    En France, en Italie, en Grande-Bretagne, simultanément, la vaccination des jeunes enfants est vendue comme une avancée sanitaire contre la propagation du covid par le laboratoire fournisseur des injections, Pfizer lui-même. On n’est jamais mieux servi que par soi-même…

    Le vaccin Pfizer contre le Covid-19 est « sûr » et « bien toléré » par les enfants de 5 à 11 ans et le dosage adapté déclenche une réponse immunitaire « robuste », selon les résultats d’une étude annoncés lundi par le laboratoire. Que l’étude ait été réalisée en un temps éclair, que les enfants n’ont aucun risque de décéder du covid, que les effets secondaires à court et long terme ne sont pas connus encore,  ne semblent poser aucun problème aux médias au collier ou aux gouvernements qui veulent imposer cette vaccination aux plus jeunes. Pfizer s’apprête à diffuser les données qui donneront vraisemblablement le feu vert aux USA à l’inoculation du sérum produit par la même multinationale pharmaceutique américaine en collaboration avec la BioNTech allemande.

    Le prochain plan sera d’étendre cette pratique aux mêmes tranches d’âge également dans toute l’Europe, en attendant qu’avec la conclusion des expérimentations menées directement sur les enfants entre 2 et 5 ans et 6 mois et 2 ans, une nouvelle extension de la campagne de vaccination ne soit planifiée.

    Les seules données disponibles sur cette expérience sont communiquées par le géant pharmaceutique avec des étoiles et des rayures, qui dans son communiqué explique le dosage de sérum à inoculer aux enfants de 5 à 11 ans : 1/3 de la dose inoculée au plus de 12 ans, et aux adultes. Une posologie réduite ne signifiera cependant pas se limiter à une seule injection, étant donné que la même note précise qu’une deuxième sera nécessaire 21 jours après la première.

    Moderna, l’autre société pharmaceutique qui produit un autre sérum d’ARNm, prévoit également de présenter prochainement des données sur ses expérimentations menées sur des enfants.

    Cependant, en Grande-Bretagne par exemple où environ 25 enfants sont morts de Covid au cours des 12 premiers mois de la pandémie, l’organisme scientifique conseillant le gouvernement sur les vaccins a déclaré qu’il ne recommandait pas de vacciner les enfants en bonne santé pour des raisons de santé uniquement.

    Par ailleurs, toujours en Grande-Bretagne, une nouvelle étude parue dans le notoire The British Médical Journal montre que, sur l’ensemble des enseignants écossais de mars 2020 à juillet 2021, le risque d’hospitalisation, d’admission en soins intensifs et de décès a été  inférieur pour les enseignants à celui des autres professions.

    Claudina Michal-Teitelbaum résume l’étude succinctement :

    « Un rapport de l’ECDC sur le rôle des enfants et des écoles dans la dissémination de la Covid19 : dans l‘ensemble, les enfants sont globalement bien moins contagieux que les adultes car très majoritairement asymptomatiques, les clusters scolaires sont rares.

    « Cette étude, basée sur des registres, compare principalement les hospitalisations, les admissions en soins intensifs et les décès, chaque enseignant étant apparié à une dizaine de cas témoin selon des critères d’âge, de sexe, comorbidités, niveau de vie…

    « Elle montre que les enseignants et leur famille ont été à moindre risque qu’un échantillon représentatif de l’ensemble des autres professions et que le risque d’hospitalisation des cas graves et des décès est environ divisé par 2 par rapport aux soignants travaillant avec des patients covid.

    « Les écoles écossaises ont connu des périodes de fermeture et de réouverture progressive par niveaux et le port de masques dans les écoles n’a été généralisé qu’à partir du printemps 2021. Le risque d’hospitalisation a été quasi constamment inférieur au risque des autres professions et constamment inférieur pour les hospitalisations en soins critiques et les décès quelle que soit la période, les mesures et que les écoles soient fermées ou ouvertes.

    « Bien qu’indirecte, cela me semble, encore, une excellente démonstration du fait que les enfants scolarisés ne représentent pas un risque et q leur rôle dans l’épidémie, la morbidité et la mortalité est totalement marginal. »

    Et pourtant, les politiciens au pouvoir ne veulent pas laisser les enfants en paix, plus grave ils veulent leur injecter des sérums expérimentaux…

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Sarreguemines (57). La prison propose des remises de peine aux détenus qui acceptent de se faire vacciner

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2021

    Tous les moyens sont-ils bons pour inciter à se faire vacciner contre le Covid-19 ? 

    Dans une « note aux détenus sur la campagne vaccinale contre le Covid-19 et l’obtention de RSP [réduction de peine] », en date du 10 août 2021, le vice-président en charge de l’application des peines explique avoir « décidé, en accord, avec […] le procureur de la République, que tous les détenus qui se feront vacciner contre [le] Covid-19 bénéficieront, à partir de la commission d’application des peines de septembre 2021, automatiquement pour l’étude de leur dossier sur l’année 2021 de l’intégralité de leurs réductions supplémentaires de peines potentielles dans la limite toutefois de 2 mois de réduction supplémentaire de peine. » 

    « Les détenus ayant reçu leurs deux doses de vaccin devront transmettre immédiatement leur attestation de vaccination remise par l’unité sanitaire au greffe de la maison d’arrêt afin d’être audiencés à la prochaine commission d’application des peines utile », poursuit cette note de l’établissement recevant des prévenus en attente de leur procès ou des détenus d’une peine d’emprisonnement inférieure à 2 ans. 

    20 minutes via fdesouche

  • A la recherche de l’immunité collective en-dehors de la vaccination : Islande, Grande-Bretagne, Espagne…

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2021

    En Islande, pays largement vacciné avec 93% des habitants de plus de 16 ans, l’épidémiologiste en chef a jeté un pavé dans la mare de la bien-pensance vaccinatrice à tout va. Face à la progression du variant delta, dont beaucoup de scientifiques s’accordent à dire que s’il est plus contagieux il est moins dangereux, Þórólfur Guðnason a ainsi déclaré, dimanche 8 août dernier, dans une interview à la radio : « Obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte », avant d’ajouter « qu’il faudrait laisser les gens se contaminer naturellement afin d’obtenir à terme une immunité collective ».

    Une déclaration qui rejoint celle du professeur Sir Andrew Pollard, directeur de l’Oxford Vaccine Groupe. Selon ses propos rapportés dans The Guardian le mardi 10 août, « l’immunité collective n’est pas possible avec le variant Delta ». D’après le spécialiste, ce variant infectera toujours les personnes vaccinées « et nous n’avons rien qui arrêtera complètement cette transmission ».

    En Espagne, même constat quant aux limites de la vaccination :

    « Il est peut-être nécessaire de remettre en cause l’objectif de l’immunité collective [grâce à la vaccination], car contrairement à d’autres épidémies, celle du Covid est composée de nombreux variants, et l’imperfection des vaccins rapidement développés rend l’immunité collective difficile à atteindre. »

    Parallèlement à ces constats qui sonnent le glas de la vaccination comme seul remède au covid, une étude parue sur la revue Nature le 30 juillet dernier s’interroge sur la vaccination de masse en période épidémique. Réalisée par une équipe multidisciplinaire et internationale de chercheurs, dirigée par le prof. Dermitzakis, un généticien grec connu dans le monde entier pour son autorité et directeur du Centre Genome Health 2030 de l’Université de Genève, en Suisse. Les chercheurs soulignent à quel point actuellement dans le monde « les vaccins sont considérés comme la meilleure solution disponible pour contrôler la pandémie de SRAS-CoV-2 en cours ». Pourtant cette solution pourrait s’avérer dangereuse :

    « Cependant, expliquent ces chercheurs, l’émergence de souches résistantes aux vaccins pourrait survenir trop rapidement pour que les vaccinations atténuent les conséquences sanitaires, économiques et sociales de la pandémie. Le faible taux de production et d’administration de vaccins dans le monde, combiné à la naissance et à une propagation de plus en plus rapide de nouvelles souches présentant un certain degré de résistance aux vaccins, sont une cause potentielle de préoccupation. En particulier, la plus grande préoccupation est de savoir ce qui peut arriver avec la combinaison de la vaccination lors de taux élevés de transmission du virus, et si cela peut entraîner une sélection pour favoriser la propagation dans la population vaccinée des variants du virus les plus résistants au vaccin. »

    Cela signifie la possibilité concrète de sélectionner un variant résistant au vaccin précisément en raison de vaccinations de masse pendant une période de forte circulation virale. Cette hypothèse alarmante est d’ailleurs développée depuis quelque temps par divers savants mais est constamment ignorée par les médecins de plateaux. L’étude des chercheurs arrive à ces conclusions :

    « Un nombre élevé de vaccinés crée un avantage sélectif pour le variant résistant par rapport au virus d’origine. Ainsi, précisément en raison du nombre élevé de vaccinés, le variant remplace le virus d’origine et s’installe dans la population juste dans la dernière partie de la campagne de vaccination, lorsqu’il y a plus de vaccinés. Plus le nombre de vaccinés est important, plus la probabilité que le variant résistant au vaccin prenne le relais est élevée ».

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Dans toutes les régions frappées par de graves inondations, personne ne demande si les pompiers sont vaccinés contre le Covid

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2021

    Auteur : 

    Un tweet plein de bon sens de Civitas vient souligner qu’en ce moment, dans toutes les régions frappées par de graves inondations, il ne viendrait à personne l’idée saugrenue de demander aux pompiers s’ils sont ou non vaccinés contre le Covid-19.

     

  • Ignace – La vaccination de Mbappé s’avère efficace

    Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2021

     
    Ignace - La vaccination de Mbappé s'avère efficace
    Ignace – La vaccination de Mbappé s’avère efficace

    infoSource : medias-presse.