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vaccination - Page 7

  • Violation du Code de Nuremberg, Israël mis en accusation

    Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2021

    Cela peut paraître improbable et pourtant : la cour pénale internationale vient d’accepter une plainte accusant le gouvernement israélien de violer le code de Nuremberg. La raison derrière cette plainte concerne le plan de vaccination massive de la population israélienne mis en place par Netanyahou :

    « L’expérience que Pfizer mène dans l’Etat d’Israël a été faite en violation du Code de Nuremberg » déclare Ruth Makhachovsky, l’un des avocats du collectif People of Truth, artisan du dépôt de plainte.  

    « L’organisation comprend des avocats, des médecins, des militants publics et le grand public, qui ont choisi d’exercer leur droit démocratique de ne pas recevoir de traitement médical expérimental (vaccin Corona), et se sentent soumis à de grandes et sérieuses pressions illégales de la part du gouvernement israélien, parlementaires et ministres, hauts représentants du public, maires, etc. » souligne People of Truth.

    « Le premier principe du Code de Nuremberg est la volonté et le consentement éclairé de la personne à recevoir un traitement et à participer à  une expérience », ont écrit les avocats Ruth Makhacholovsky et Aryeh Suchowolski, du cabinet A. Suchovolsky & Co.

    « L’organisation, souligne le média israélien I24 News, demande entre autres que soit arrêtée la campagne de vaccination, qui viole le principe du consentement éclairé du patient, et que soit abandonnée l’initiative visant à la création du « passeport vert », qui nuit selon elle aux valeurs démocratiques.

    « Elle précise que le dépôt de la plainte devant la Cour pénale internationale a été motivé par le fait qu’ils (des avocats, des médecins, des militants publics et le grand public) ‘se sentent soumis à de grandes et sérieuses pressions illégales de la part du gouvernement israélien, parlementaires et ministres, hauts représentants, maires, etc’.

    « Le Code de Nuremberg – un code d’éthique médical issu de la Seconde Guerre mondiale – constitue la base de la loi sur les droits des patients en Israël. »

    « Nous attendons maintenant une décision », a ajouté l’avocate Ruth Makhachovsky à Israel News.

    Aujourd’hui, plus de quatre millions d’Israéliens (45% de la population) ont reçu les deux doses du vaccin Pfizer.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Une infirmière belge de 30 ans perd définitivement la vue de l’œil droit quelques heures après sa vaccination anti-Covid

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2021

    L’information rapportée par Sudpresse ce samedi est confirmée par le ministère belge de la Santé. À Liège, quelques heures après avoir été vaccinée contre le Covid, Catherine, une jeune infirmière âgée de seulement 30 ans, a été victime d’une thrombose d’origine artérielle à la suite de laquelle la jeune femme a perdu l’usage de son œil droit. Les dégâts seraient irréversibles.

    Cette infirmière avait reçu le vaccin AstraZenaca de plus en plus décrié. Catherine s’était présentée le 1er mars au centre de vaccination de Bierset pour y recevoir la première dose du vaccin.

    Sudpresse livre quelques détails :

    Quelques heures plus tard, elle se réveille en pleine nuit et se rend compte qu’elle ne voit plus de son œil droit. Au CHU du Sart Tilman, les médecins lui diagnostiquent une thrombose d’origine vasculaire. « Ils me rassurent en disant que c’est momentané et que ma vue va revenir dans les prochains jours, explique Catherine. Mais trois jours après, je ne voyais toujours pas. » Elle retourne à l’hôpital et des examens plus poussés indiquent alors une thrombose d’origine « artérielle ».
    Au cabinet du ministre Vandenbroucke, on nous confirme que deux cas de thrombose ont été « rapportés », dont un à Liège, entendez signalés à l’Agence fédérale des médicaments (AFMPS) après un vaccin AstraZeneca. « Ce qui ne signifie pas qu’il y a par ailleurs un lien de cause à effet », nous dit-on.

    Alors qu’une dizaine de pays européens ont déjà décidé de suspendre le vaccin AstraZeneca pour compléments d’étude suite à des cas de thrombose suspects, la vaccination avec AstraZeneca continue en Belgique comme en France.

     

    Source : medias-presse.info

  • Les ambigüités d’Israël : covid, vaccination massive et hausse du taux de contaminations

    Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2021

    Que se passe-t-il réellement en Israël avec la covid et la vaccination massive ?

    « Alors que Benjamin Netanyahu, écrit The Times of Israel, a déclaré jeudi que la pandémie était presque finie, le responsable coronavirus en Israël a dit “ne pas savoir ce qu’a voulu dire” le Premier ministre. »

    « Israël, continue l’article, pourrait connaître un quatrième confinement avant les prochaines élections générales prévues le 23 mars, a déclaré un haut-responsable de la Santé dans la journée de vendredi. Il s’est exprimé alors que le taux de transmission du virus a franchi dans le pays la barre de 1, ce qui indique que la propagation de la pandémie accélère encore, selon des données du ministère de la Santé. “Nous sommes inquiets concernant la hausse des infections dans les prochains jours”, a dit le responsable de la lutte contre le coronavirus, Nachman Ash, à la radio 103FM Radio, ajoutant que “si nous n’agissons pas de manière responsable et si les citoyens ne suivent pas les directives, la possibilité d’un quatrième confinement avant les élections existe”. Interrogé sur une déclaration faite sur Fox News jeudi par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui a estimé que la pandémie était terminée au sein de l’État juif, Ash a déclaré : “Je ne sais pas ce qu’a voulu dire le Premier ministre.” »

    Les chiffres des contaminations selon The Times of Israel sont en hausse :

    « Les chiffres du ministère ont indiqué que le nombre de reproduction de base du virus, ou R, était de 1,01 dans la matinée de vendredi. Le nombre de reproduction de base est le nombre de nouveaux cas émanant d’un seul porteur du coronavirus, soit le nombre de personnes contaminées par malade. Tout chiffre inférieur à 1 signifie que la pandémie ralentit et un nombre supérieur à 1 implique qu’elle connaît une recrudescence. Les chiffres se basent sur chaque nombre de nouveaux cas survenus dans les dix jours précédents, en raison de la période d’incubation du virus. »

    Alors qu’Israël a mis en place une stratégie vaccinale de grande ampleur faisant de l’Etat hébreu un  laboratoire grandeur nature du vaccin de Pfizer, et a imposé le passeport vaccinal, appelé passeport vert, pour aller aux restaurants, au théâtre, aux événements sportifs, le doute demeure donc quant à l’efficacité de ce vaccin anti-covid. Si d’un côté Netanyahu a affirmé, jeudi, que l’État juif en avait largement terminé avec le coronavirus, disant que le pays était le premier dans le monde à avoir réussi à s’extraire de la pandémie grâce à sa campagne de vaccination rapide et efficace, il a également précisé dans une autre déclaration la semaine dernière qu’Israël se prépare : « au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois. » Quant au masque, il est toujours obligatoire, même pour les vaccinés.

    Par ailleurs, une étude réalisée par le Dr Hervé Seligmann, membre de la faculté de médecine des maladies infectieuses et tropicales émergentes de l’université d’Aix-Marseille et l’ingénieur Haïm Yativ, se basant sur les données publiées par le ministère israélien de la santé, révèlerait que « que le vaccin expérimental à ARNm aurait provoqué le décès de plus de personnes que la maladie elle-même n’en aurait fait naturellement” tant chez des personnes âgées que dans des populations plus jeunes ».

    Tous ces faits ne peuvent que susciter la méfiance envers le vaccin Pfizer à ARNm et son efficacité peut-être plus supposée que réelle, voire amplifiée pour soutenir une obligation vaccinale imposée à tous les citoyens pour retrouver une vie normale. Obligation qui mine les libertés fondamentales et s’apparente à une ingénierie sociale destinée à mieux surveiller les populations.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • En Indonésie, la loi permet d’infliger une amende et de priver d’aides sociales ceux qui refusent la vaccination obligatoire anti-Covid

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2021

    Le président de l’Indonésie a décrété que de lourdes sanctions financières pourraient être imposées aux citoyens qui ne se conforment pas aux campagnes de vaccination obligatoire anti- COVID, y compris des amendes et la suppression des prestations d’aide sociale.

    Jakarta, la capitale animée du pays, abrite quelque 10 millions de personnes et est la première région du pays, et du monde, à mettre en œuvre les nouvelles règles, imposant des amendes allant jusqu’à 5 millions de roupies indonésiennes (environ 350 dollars) pour non-conformité à la vaccination obligatoire. Les 33 provinces restantes, qui ont la prérogative d’appliquer les nouvelles règles du président, n’ont pas encore choisi d’imposer ces sanctions.

    Le vice-gouverneur de Jakarta, Ahmad Riza Patria, a défendu les nouvelles mesures, avertissant les dissidents potentiels : «Si vous la rejetez, il y a deux choses, l’aide sociale ne sera pas accordée, et vous aurez une amende.»

    Le ministère de la Santé indonésien a rapporté que 65% des Indonésiens sont prêts à se faire vacciner contre le COVID-19, avec seulement 8% admettant qu’ils refuseraient catégoriquement le vaccin.

    Le Dr Febi Dwirahmadi, professeur associé indonésien à l’Université Griffith d’Australie, a qualifié ces mesures de «coercitives».

    «La confiance sociale est absente. Les gens se demandent toujours si cela est sans danger pour les personnes âgées ou les femmes enceintes », a-t-elle déclaré.

    Usman Hamid, directeur d’Amnesty International Indonésie, a critiqué le gouvernement indonésien pour avoir imposé un «mandat général en matière de vaccination, en particulier un mandat comportant des sanctions pénales», le qualifiant de «violation flagrante des droits humains».

    Un certain nombre de gouvernements à travers le monde – tout en n’imposant pas la vaccination – commencent à mettre en œuvre des mesures strictes qui reviennent à forcer la vaccination.

    Israël est en tête à cet égard, venant juste de commencer à rouvrir une partie de son économie aux citoyens qui ont été vaccinés contre le COVID-19 après un verrouillage de deux mois. Ceux qui n’ont pas encore reçu le vaccin COVID, ou qui ont refusé de prendre le vaccin, resteront dans l’impossibilité d’accéder à un certain nombre de lieux et d’entreprises.

    En outre, les autorités israéliennes ont adopté une loi permettant que les informations personnelles de ceux qui ont refusé les vaccins expérimentaux anti-COVID-19 puissent être collectées et partagées à divers organismes gouvernementaux par le ministère de la Santé. La législation s’étend à ceux qui ont reçu leur première dose du vaccin anti-COVID, mais qui ne sont pas revenus pour la seconde.

    Alors que le gouvernement israélien envisage une législation qui permettrait aux entreprises privées d’imposer que leur personnel soit vacciné, Mobileye, un développeur de voitures autonomes israélien et filiale d’Intel, a déjà annoncé qu’il interdirait aux employés qui rejettent une vaccination contre le coronavirus de pouvoir travailler dans les locaux de l’entreprise.

    De même, en Suède, des mesures coercitives sont mises en œuvre qui rendent la vie de plus en plus difficile à ceux qui refusent les vaccins anti-COVID-19, que ce soit pour des raisons morales, médicales ou religieuses.

    Le ministre suédois du développement numérique, Anders Ygeman, a annoncé que «lorsque la Suède et les pays qui nous entourent commenceront à s’ouvrir, il sera probablement nécessaire d’avoir un certificat de vaccination pour voyager et participer à d’autres activités», y compris l’accès aux divertissements, aux loisirs et aux entreprises.

    Le président américain Joe Biden a lui signé en janvier un décret  ordonnant au gouvernement d’évaluer la «faisabilité» des passeports vaccinaux.

    Mais l’effort international pour contraindre les populations à recevoir les vaccins expérimentaux anti-COVID-19 produit des résultats mortels. Les données du ministère israélien de la Santé ont confirmé que le vaccin expérimental à ARNm de Pfizer a tué «environ 40 fois plus de personnes (âgées) (en Israël) que la maladie elle-même n’en aurait tué» au cours d’une récente période de vaccination de cinq semaines.

     

    Source : medias-presse.info

  • La grande piquouse.

    Publié par Guy Jovelin le 05 mars 2021

    Il y a un an, il fallait, de manière grotesque, applaudir tous les soirs à 20h, le personnel soignant des hôpitaux sous peine de se voir considéré comme un mauvais français dissident à l'unanimisme civique et réfractaire à la mobilisation sanitaire.
    Aujourd'hui on nous incite à le huer pour cause de non vaccination. Se profile, dès lors, une obligation de vaccin pour les médecins, infirmières, infirmiers etc... Une obligation sectorielle mais qui, par jurisprudence, fera très vite office d'argument pour soumettre inéluctablement toute la population à la grande piquouse.
    JFT
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