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  • Covid-19. Retour du masque, vaccination… Un projet de loi très controversé en Allemagne

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022

    Covid-19. Retour du masque, vaccination… Un projet de loi très controversé en Allemagne

     

    Par Nicolas Faure, spécialiste de l’Allemagne et traducteur (à ne pas confondre avec Nicolas Faure d’I-Média et Sunrise !) ♦ Le 3 août dernier, le gouvernement allemand a proposé un projet de loi sur la « protection contre les infections » visant à contrer une nouvelle vague de coronavirus annoncée pour cet automne. Depuis le mois de juin, les « experts » s’attendent à ce que l’augmentation du nombre d’infections par le coronavirus en automne et en hiver pèse à nouveau lourdement sur le système de santé en Allemagne et sur les infrastructures critiques pour la population et l’État allemand. Les ministres allemands de la Santé Karl Lauterbach (SPD) et de la Justice Marco Buschmann (FDP) ont donc présenté au début du mois des mesures pour contrer le Covid-19, mesures qui devraient être applicables dès le mois d’octobre prochain.

     

    Une énième campagne de vaccination (avec différents vaccins) est donc prévue dans un plan en sept points. « L’objectif est de combler de manière ciblée les lacunes en matière de vaccination », a déclaré Karl Lauterbach.
    Le port du masque devrait être à nouveau obligatoire dans les magasins et les administrations, toujours à partir du mois d’octobre pour se protéger contre le coronavirus. Il est également prévu dans cette proposition que les Länder allemands puissent prendre eux-mêmes la décision de manière plus autonome, le cas échéant.

    Le durcissement de cette loi sur la « prévention des infections » se heurte à de plus en plus de critiques. « Ostensiblement, c’est un mauvais choix », a commenté le député CDU Erwin Rüddel à la radio Deutschlandfunk. Lauterbach sème la panique dans toute l’Allemagne, alors que nous devrions avoir un « automne et un hiver relativement calmes concernant le coronavirus », a déclaré ce membre de la commission de la santé du Bundestag.

    Lire cette vidéo sur YouTube.

     

    La CDU/CSU, le FDP et l’AfD critiquent les nouvelles restrictions Covid-19

    Au sein du groupe parlementaire du FDP, des voix s’élèvent également pour demander à Lauterbach et Buschmann de corriger le tir. « Je ne comprends pas pourquoi, par exemple, l’obligation de porter un masque à l’extérieur pourrait être instaurée », a déclaré le vice-président du Bundestag Wolfgang Kubicki (FDP) au journal Die Welt. Son collègue de groupe Frank Schäffler, lui, s’irrite de la possibilité de réintroduire l’obligation de porter un masque dans les écoles.

    « Je suis certain que la loi sur la protection contre les infections ne trouvera pas de majorité dans sa forme actuelle », a promis le député Christoph Hoffmann (FDP). Le projet que Lauterbach et Buschmann ont négocié est un texte consensuel qui permettra aux Länder d’imposer à nouveau, à partir du mois d’octobre, des obligations très strictes relatives au Covid. Ils pourront par exemple renforcer l’obligation de porter un masque dans les bus, les trains et les avions.

    Rejet cinglant de l’AfD

    Le projet de Lauterbach de limiter à l’avenir le statut vaccinal à trois mois a suscité une indignation particulière. « Le fait que Lauterbach puisse même contraindre les citoyens à accepter un abonnement de vaccination de trois mois avec les dispositions absurdes, discriminatoires et pratiquement inapplicables de sa proposition de loi pousse à l’extrême l’irrationalité et le mépris du citoyen par la folle politique de santé de ce gouvernement », s’est insurgée Alice Weidel, présidente du parti et du groupe parlementaire AfD.

    « Nous demandons également la suppression de toute obligation de port de masque et de test. Il est prouvé que les masques ne protègent qu’insuffisamment contre l’infection – mais ils contiennent en revanche des composants qui nuisent considérablement aux porteurs en cas d’utilisation prolongée. Cela vaut tout particulièrement pour les enfants et les adolescents, qui comptent déjà parmi les plus grands perdants du fanatisme affiché par le ministre de la Santé en matière de vaccination », toujours selon Weidel.

    Comme on pouvait s’y attendre, le ministre de la Justice Buschmann (qui est pourtant membre du FDP) n’a pas tenu sa promesse en matière de liberté et il semble bien que le « ministre de la Panique » Lauterbach veuille s’imposer, en force, et sur toute la ligne.

    Il faut dire qu’aucune des prédictions apocalyptiques de Lauterbach ne s’est réalisée ces dernières années. Le système de santé n’a pas été surchargé à cause de la pandémie, et l’Allemagne n’a pas non plus enregistré une augmentation du nombre des décès, si l’on tient compte de l’évolution démographique.
    On a l’impression que la « pandémie » n’est qu’un prétexte pour imposer, à nouveau à l’automne, la restriction des libertés fondamentales normalement garanties par la Constitution. Car les Allemands sont confrontés à de véritables problèmes qui n’ont plus rien à voir avec le Covid-19, mais qui résultent bel et bien d’une politique gouvernementale exclusivement motivée par l’idéologie.

    Tout comme en France depuis plusieurs mois, il faut arrêter les mesures coercitives inutiles, superflues et nuisibles dans leur intégralité et dans toute l’Allemagne, et rendre aux gens leur propre responsabilité en matière de protection de la santé.
    Pour rappel, selon un récent sondage INSA, 58 % des Allemands déclarent ne pas vouloir se faire vacciner tous les trois mois, comme le préconise Lauterbach.

    Nicolas Faure
    06/09/2022

     

    Source : polemia

  • En Autriche, 217 sage-femmes signent une lettre ouverte pour dénoncer la vaccination des femmes enceintes

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2022

    En Autriche, 217 sage-femmes signent une lettre ouverte pour dénoncer la vaccination des femmes enceintes

    Lu ici :

    217 sages-femmes autrichiennes ne se taisent plus face aux abus liés aux traitements génétiques Covid-19 pour les femmes enceintes et allaitantes. Sous le slogan “Les sages-femmes se font entendre”, elles adressent leur lettre ouverte au Conseil autrichien des sages-femmes, aux décideurs politiques et aux médias. Elles y font parfois état de fausses couches, de fœtus à la croissance retardée et de naissances prématurées qu’elles ont observées chez des femmes enceintes traitées par ARNm et demandent, entre autres, le suivi systématique de l’état de santé des mères et des enfants traités par ARNm. Les sages-femmes insistent sur leurs droits fondamentaux et leurs libertés, ainsi que sur le droit à l’intégrité physique.

    Lettre ouverte

    au Conseil autrichien des sages-femmes (ÖHG)
    est adressée dans les mêmes termes à
    Monsieur le Président fédéral Dr. Alexander Van der Bellen,
    et à tous les membres du gouvernement fédéral autrichien, aux gouverneurs des Länder,
    aux clubs de tous les partis représentés au Conseil national, aux hommes et femmes politiques qui s’engagent pour les droits des femmes et les droits de l’homme, à divers médias et journalistes.

    Mesdames et Messieurs !

    Nous observons avec consternation les développements sociaux, politiques et surtout sanitaires actuels dans notre pays.

     

    Source : lesalonbeige

  • « Chaque jour, je regrette de m’être fait vacciner »

    Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2022

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    « Chaque jour, je regrette de m’être fait vacciner »
     

    « Il y a quinze jours, j’ai dormi du lundi au jeudi sans me réveiller. Sachant qu’avant je dormais quatre heure par nuit maximum. Maintenant, je me retrouve à dormir de 70 ou 80 heures d’affilée si je ne mets pas de réveil ».

    Des symptômes qui persistent encore aujourd’hui, dix mois après sa seconde dose. Elle n’a toujours pas eu l’autorisation de récupérer le un certificat de contre-indication :

    « Mon médecin a voulu me faire ce certificat mais les services de l’État lui mettent la pression pour qu’il ne le fasse pas, on lui a dit qu’il n’avait pas le droit. »

    Kethleen Delignette :

    « J’ai des règles horriblement douloureuses, et aussi de fortes douleurs en dehors de mes cycles. De l’eczéma est également apparu sur environ 40% de mon corps. À côté de ça, j’ai des démangeaisons incontrôlables. Même la nuit, ma peau s’est dépigmentée. J’ai des grosses tâches sur tout le haut de mon corps et ma peau est très douloureuse ».

    Chaque jour, je regrette de m’être fait vacciner parce que j’en souffre. Mes frais pour les rendez-vous auprès de différents spécialistes s’accumulent, ça me coûte cher et je ne m’en sors pas.

    « Depuis septembre, j’essaie d’avoir un rendez-vous chez un dermatologue mais, en attendant, mes problèmes ne sont toujours pas réglés. »

     

    Source: lesalonbeige

  • Un officier de gendarmerie qui refuse l’injection expérimentale est sanctionné

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2021

    Alors que les policiers, dont Macron a trop besoin pour réprimer les manifestations pour se les mettre à dos, sont exemptés de la « vaccination » anti-covid, les gendarmes y sont obligés. Résister à cette injonction et refuser de se faire inoculer cette injection expérimentale anti-covid à ARNm coûte cher. La tolérance de la République immigrationniste, altruiste, bien-pensante, accueillante, a ses limites…

    Ainsi, un chef d’escadron commandant la compagnie de gendarmerie de Langon, en Gironde, a été sanctionné pour avoir refusé de se faire vacciner contre le covid-19e. Il a été relevé de son commandement opérationnel et muté « sur un poste » sans « contact avec le public » à Paris.

    À la tête d’un effectif de 150 gendarmes, cet officier supérieur de 32 ans a été d’abord sanctionné de dix jours d’arrêt puis muté vers la Direction générale de la gendarmerie à Paris, « sur un poste où il n’est plus en contact avec le public » a indiqué la gendarmerie en Gironde, confirmant une information du journal Sud Ouest.

    Cette sanction liée à un refus de vaccination est « un événement rare » dans la gendarmerie car celle-ci est « peu confrontée au problème », est-il précise dans la plus part des médias qui traitent de cette affaire.

    Depuis le 15 septembre, les gendarmes affectés sur le terrain ou au contact du public doivent, comme le personnel soignant et les pompiers, être complètement vaccinés contre le Covid-19, selon une note de la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) consultée par l’AFP. Selon Sud-Ouest, un nouveau chef d’escadron de la compagnie de Langon a été nommé et prendra ses fonctions début janvier. »

    Ainsi que l’observe Le Courrier des stratèges « chez les policiers, qui n’ont pas le statut militaire, les chefs de service étaient ‘’invités à poursuivre l’incitation à la vaccination’’ des agents placés sous leur autorité, selon un courrier envoyé le 17 août aux préfets par le secrétaire général du ministère de l’Intérieur, Jean-Benoît Albertini. Les gendarmes (et les soignants) ont apprécié le message, eux qui n’ont eu que sanctions comme échange social ! Maintenant, il sera intéressant de voir la réaction des gendarmes et militaires face à la situation de ce Chef d’Escadron… Mentionnant par ailleurs les sanctions, Emmanuel Macron nous fait comprendre que ceux qui sont chargés de punir les non-vaccinés, peuvent être justement, des non-vaccinés eux-mêmes. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Chronique d’un échec annoncé : 3e dose pour la France, déjà la 4e pour Israël

    Publié par Guy Le 28 novembre 2021

    Alors que les Français sont quasi-obligés de recevoir une 3e dose des injections expérimentales anti-covid pour conserver leur passe sanitaire, Israël en est déjà à la 4e, la 3e n’empêchant pas les fameuses « formes graves » de tuer les personnes âgées et fragiles. Fin novembre, plus de 80% des 9 millions d’Israéliens sont vaccinés avec deux doses. Le gouvernement israélien n’exclut pourtant plus l’hypothèse d’une quatrième dose pour juguler la progression du virus qui a déjà commencé à infecter des personnes ayant pourtant pris une troisième dose.

    « L’Etat d’Israël, écrit Le courrier du soir, étudie l’hypothèse d’une 4ème dose pour juguler la propagation du virus sur son sol. Dans ce pays, jadis considéré comme le champion de la vaccination, le nombre de cas n’a cessé d’augmenter ces derniers jours, plongeant les autorités sanitaires dans une situation extrêmement difficile, à tel point qu’ils envisagent dès à présent une 4ème dose pour immuniser la population.

    « C’est du moins l’information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 25 novembre du média israélien, Times Of Israel. A en croire cette source, le ministre israélien de la Santé, Nitzan Hotowitz, a brandi cette hypothèse lors d’une interview accordée à la chaîne Channel 12. “Ce n’est pas insensé de penser que nous aurons besoin d’une 4ème dose”, a-t-il déclaré. “9% de personnes positives au Covid avaient pourtant pris trois doses.”

    « L’information a été confirmée par le média juif, JewishPress.com. En effet, d’après cette source, 9% des 605 cas détectés ce mardi proviennent de personnes déjà vaccinées avec une 3ème dose. 76% n’étaient pas vaccinés et 11% ont vu leur immunité disparaître, d’après le site d’information.

    « Il convient de souligner qu’en Israël, la situation s’est très fortement dégradée ces derniers jours, faisant d’ailleurs craindre une 5ème vague alors que tout récemment, les autorités sanitaires n’ont cessé de saluer l’amélioration de la situation qui, en réalité, n’était que du trompe-l’œil. »

    Que les Français se préparent donc à la 4e, et puis la 5e… et ainsi de suite.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info