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viol - Page 2

  • Soissons (02) : déjà condamné 19 fois, notamment pour deux viols, Vernon Mounkala, de “type nord-africain”, agresse deux hommes alors qu’il était sous bracelet électronique

    Publié par Guy de Laferrière le 10 mars 2023

    Auteur de deux agressions à Soissons en quelques jours, un trentenaire au casier judiciaire épais a été envoyé en prison par le tribunal, ce jeudi 9 mars. Deux sursis probatoire ont aussi été révoqués, ce qui porte la peine à trois ans et neuf mois de prison ferme.

    Avec 19 condamnations dont deux pour viols (le premier commis en 2003), c’est un prévenu au casier judiciaire particulièrement lourd qui était jugé en comparution immédiate, jeudi 9 mars 2023. Vernon Mounkala était à la barre pour deux séries de faits commis à Soissons. Le 2 mars 2023, il a tenté de fouiller dans le véhicule d’un homme qui faisait des allers-retours entre sa voiture et son domicile. Il s’est montré très agressif envers la victime en lui proférant des menaces de mort. Par des coups de balai, le Soissonnais a réussi à mettre en fuite son agresseur. « Si je voulais le tuer, j’aurais pas pris la fuite », s’est défendu le prévenu. Ce dernier a assuré au tribunal qu’il n’était pas dans son état normal ce jour-là et qu’une personne l’avait sans doute drogué en boîte de nuit avant qu’il ne commette les faits.

    À ce premier dossier s’ajoutait un second plus grave et plus récent. Encore à Soissons, un autre homme a été agressé par deux individus qui cherchaient à lui retirer son téléphone portable, mercredi 8 mars vers 16 heures. Essayant tant bien que mal de se défendre, la victime a subi un coup de couteau sur son avant-bras gauche, donné par l’un des assaillants, lesquels ont ensuite pris la fuite sans parvenir à récupérer l’objet qu’ils souhaitaient dérober. Le groupe de sécurité publique de la police soissonnaise a réussi à interpeller peu de temps après l’un des deux individus.

    Après avoir décrit la scène aux policiers, la victime a reconnu le profil de Vernon Mounkala sur une planche photographique. Un homme de type nord-africain, cheveux noirs coiffés en tresses, habillé d’un blouson noir et d’un sweat orange. 

    Il portait un bracelet électronique pendant les faits

    (…)

    L’Union via fdesouche

  • Cenon (33) : la police lance un avis de recherche pour retrouver un adolescent héroïque qui a empêché le viol d’une collégienne par un Algérien, déjà condamné onze fois, qui venait de purger une peine de réclusion criminelle (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 21 février 2023

    21/02/23

    6/02/23

    Déjà condamné onze fois, un individu a tenté de violer à Cenon (Gironde) une collégienne de 13 ans qui en a été empêché par un adolescent. à Cenon a été placé en détention provisoire dimanche. Il a blessé trois policiers durant sa garde à vue.

    Sans profession, au RSA et fumeur de cannabis, le suspect, né en Algérie, nie les faits et a prétendu durant ses auditions «ne se souvenir de rien». Les témoins également entendus confirment pourtant le déroulé de l’agression.

    Vendredi, une collégienne de 13 ans marchait tranquillement dans la rue à Cenon (Gironde) en téléphonant à sa mère quand un homme «est arrivé en courant vers elle, l’a attrapée, poussée et fait chuter avant de la tirer par les cheveux en lui passant la main dans le pantalon», décrit Frédérique Porterie, procureur de la République à Bordeaux. Criant et se débattant, la jeune fille a été prise en tenaille par cet individu de 49 ans, qui s’est assis à califourchon sur elle en ouvrant sa braguette et a tenté de la forcer à lui faire une fellation avant de l’étrangler.

    Elle a pu s’enfuir grâce à l’intervention d’un adolescent de son âge. Repoussant les assauts de l’agresseur à plusieurs reprises, il a permis à des témoins d’encercler l’individu jusqu’à l’arrivée des policiers prévenus à 17h50. Le jeune homme est ensuite resté auprès de la victime pour la protéger de cet homme qui revenait incessamment à la charge.

    Interpellé samedi et auditionné par la direction départementale de la sécurité publique (DDSP), qui a été saisie de l’enquête en flagrance, le repris de justice, déjà condamné onze fois, dont une en 2019 pour violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique, venait de purger une peine de réclusion criminelle prononcée en 2012 pour des faits de violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

    Le Figaro via fdesouche

  • Nancy : près de 5 ans après les faits, Abdelkadir B., 34 ans, enfin condamné pour avoir violé Nadège, 23 ans, en pleine rue ; il avait été interpellé quasiment en flagrant délit (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 11 février 2023

    fdesouche

    10/02/2023

    Abdelkadir Boumeddah comparaissait depuis jeudi devant la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle pour le viol d’une jeune femme de 23 ans, rue de la Faïencerie, en plein centre-ville de Nancy en août 2016. La cour a décerné le mandat de dépôt.

    Abdelkadir Boumeddah, 34 ans a été condamné par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle à 8 ans d’emprisonnement et mandat de dépôt pour le viol de Nadège*, 23 ans au moment des faits, le 24 août 2016, en pleine rue de la Faïencerie à Nancy tard dans la nuit.

    « Je ne savais pas comment j’allais finir. Je ne savais pas si j’allais rester en vie ». Les mots claquent. Les mots de la victime, absente de l’audience, mais rapportés par la psychologue clinicienne.

    (…) L’Est Républicain


    Abdelkadir B., 34 ans, est jugé depuis ce jeudi par les assises de Meurthe-et-Moselle. Il est soupçonné d’avoir abusé de Nadège lors d’une nuit d’août 2016, en plein centre-ville de la cité ducale. Il réfute tout acte répréhensible.

    Au fil des ans et des sondages, le fossé entre les Français et leur justice se creuse, inexorablement. Si certaines décisions sont mal comprises, car souvent mal expliquées, le grief principal de nos concitoyens est sans doute la lenteur de l’institution. L’affaire qui occupe en cette fin de semaine la cour d’assises de Nancy est le reflet de ces mois qui s’étirent alors que la vie de certains mis en examen est en jeu. Comment justifier en effet qu’une affaire d’août 2016, dans laquelle le – seul et unique – suspect a été interpellé quasiment en flagrant délit, soit seulement jugée en février 2023 ?

    Mis en examen pour viol, Abdelkadir B., 34 ans, c’est de lui dont il s’agit, est bien évidemment depuis…

    (…) Vosges Matin

    (Merci à Gauthier)


    03/09/2016

    Une jeune femme âgée d’une vingtaine d’années a été violée dans le centre de Nancy.

    (…) Prise d’un besoin naturel urgent à l’intersection des rues Saint-Dizier et Faïencerie, la jeune femme se positionne au niveau d’un container pour se soulager. À cet instant, alors que la victime se trouve dans une posture pour le moins inconfortable sinon de faiblesse, un noctambule croisé quelques minutes auparavant, surgit. Et saisit la jeune femme à bras-le-corps.

    D’une carrure impressionnante, l’individu dévale la rue de la Faïencerie avec sa proie qu’il porte comme un fétu de paille. Et la viole à l’abri des regards. Mais des yeux vont être témoins de l’insoutenable. Tétanisé par le physique athlétique de l’agresseur et la soudaine brutalité de la scène à laquelle il est en train d’assister, le copain de la victime ne peut s’opposer au drame. Il va réagir toutefois rapidement. En alertant la police. Des policiers nancéiens de la brigade canine, en patrouille dans le secteur, sont sur place en un temps record. Une réactivité qui permet l’interpellation du suspect.

    (…) L’Est Républicain

  • Paris : deux touristes brésiliennes victimes d’une agression sexuelle et d’un viol au cours de la même soirée dans les jardins de la tour Eiffel

    Publié par Guy de Laferrière le 08 février 2023

    Les touristes ont été conduites au commissariat local en état de choc dans la nuit de dimanche à lundi. Les suspects sont en fuite.

    L’aînée et sa cadette s’étaient rendues à Paris pour faire du tourisme. Deux sœurs de nationalité brésilienne ont été respectivement victimes d’une agression sexuelle et d’un viol dans la nuit de dimanche à lundi dans les jardins de la tour Eiffel, a appris BFM Paris Île-de-France de source policière.

    Les victimes avaient passé la soirée avec deux jeunes hommes, rencontrés quelques heures plus tôt. Aux alentours de 5h30, l’un d’eux touche les fesses de l’aînée contre son gré et finit par prendre la fuite.

    La touriste se lance alors à la recherche de sa sœur cadette. Elle la repère non loin, au sol. L’autre homme rencontré ce soir-là est allongé sur elle, le pantalon baissé, et lui fait subir un viol. À l’arrivée de l’aînée, ce dernier prend la fuite.

    En état de choc, les deux victimes, en pleurs et s’exprimant difficilement en français, ont été conduites au commissariat local.

    (…) BFMTV via fdesouche

  • Depuis le 1er janvier, tout détenu condamné à moins de 2 ans de prison pour trafic de stupéfiants, vol ou violences (y compris avec arme ou en réunion) sort automatiquement de prison 3 mois avant la fin de sa peine

    Publié par Guy de Laferrière le 18 janvier 2023

    DÉCRYPTAGE – Depuis le 1er janvier, tout condamné à moins de 2 ans de détention sort trois mois avant sa fin de peine.

    Pour la Chancellerie, c’est le tour de prestidigitation qui va permettre de résoudre sans effort la surpopulation carcérale. Pour les magistrats, c’est le risque de voir récidiver les délinquants, sans éclabousser le monde politique. Depuis le 1er janvier 2023, il est prévu que les détenus bénéficient, de plein droit, de la libération sous contrainte. Ils peuvent donc sortir automatiquement de prison, trois mois avant la fin de leur peine, dès lors qu’ils ont été condamnés à moins de deux ans d’incarcération et qu’ils possèdent un hébergement.

    Seules exceptions à la règle: les condamnés pour violences conjugales, pour viols et agressions sexuelles, pour des infractions sur mineurs de moins de 15 ans, sur personnes dépositaires de l’ordre public. Et en l’absence de faute disciplinaire en détention. Sont donc concernés tous les individus ayant écopé d’une peine de prison pour trafic de stupéfiants, pour vol, pour violences – y compris avec armes ou en réunion ou les deux.

    (…) Un petit vertige pour les magistrats de l’application des peines: «Nous ne sommes pas devenus juges pour être des robots qui signent des papiers sans appréciation. Si le législateur veut vider les prisons, il n’a pas besoin de nous pour le faire», regrette un magistrat de l’est de la France. Et de plébisciter l’initiative de certaines grandes juridictions «qui ont créé des trames informatiques spécifiques permettant d’intégrer l’avis défavorable des jugesCar il y aura bien un jour un raté avec un détenu qui récidive».

    (…)  «Vous voyez comme nous allons être considérés par nos trafiquants de drogue qui récidivent à tour de bras», regrette ce juge de l’application des peines en région parisienne. Pour lui, «le dispositif fera long feu dès le premier incident, ou bien les magistrats ne manqueront pas de monter les peines pour ne pas être obligés de l’appliquer». De plus, chacun sait que la prison s’imposant quand toute autre mesure a échoué, les casiers judiciaires des détenus sont longs comme le bras.

    (…) Le Figaro via fdesouche