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  • Nancy : près de 5 ans après les faits, Abdelkadir B., 34 ans, enfin condamné pour avoir violé Nadège, 23 ans, en pleine rue ; il avait été interpellé quasiment en flagrant délit (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 11 février 2023

    fdesouche

    10/02/2023

    Abdelkadir Boumeddah comparaissait depuis jeudi devant la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle pour le viol d’une jeune femme de 23 ans, rue de la Faïencerie, en plein centre-ville de Nancy en août 2016. La cour a décerné le mandat de dépôt.

    Abdelkadir Boumeddah, 34 ans a été condamné par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle à 8 ans d’emprisonnement et mandat de dépôt pour le viol de Nadège*, 23 ans au moment des faits, le 24 août 2016, en pleine rue de la Faïencerie à Nancy tard dans la nuit.

    « Je ne savais pas comment j’allais finir. Je ne savais pas si j’allais rester en vie ». Les mots claquent. Les mots de la victime, absente de l’audience, mais rapportés par la psychologue clinicienne.

    (…) L’Est Républicain


    Abdelkadir B., 34 ans, est jugé depuis ce jeudi par les assises de Meurthe-et-Moselle. Il est soupçonné d’avoir abusé de Nadège lors d’une nuit d’août 2016, en plein centre-ville de la cité ducale. Il réfute tout acte répréhensible.

    Au fil des ans et des sondages, le fossé entre les Français et leur justice se creuse, inexorablement. Si certaines décisions sont mal comprises, car souvent mal expliquées, le grief principal de nos concitoyens est sans doute la lenteur de l’institution. L’affaire qui occupe en cette fin de semaine la cour d’assises de Nancy est le reflet de ces mois qui s’étirent alors que la vie de certains mis en examen est en jeu. Comment justifier en effet qu’une affaire d’août 2016, dans laquelle le – seul et unique – suspect a été interpellé quasiment en flagrant délit, soit seulement jugée en février 2023 ?

    Mis en examen pour viol, Abdelkadir B., 34 ans, c’est de lui dont il s’agit, est bien évidemment depuis…

    (…) Vosges Matin

    (Merci à Gauthier)


    03/09/2016

    Une jeune femme âgée d’une vingtaine d’années a été violée dans le centre de Nancy.

    (…) Prise d’un besoin naturel urgent à l’intersection des rues Saint-Dizier et Faïencerie, la jeune femme se positionne au niveau d’un container pour se soulager. À cet instant, alors que la victime se trouve dans une posture pour le moins inconfortable sinon de faiblesse, un noctambule croisé quelques minutes auparavant, surgit. Et saisit la jeune femme à bras-le-corps.

    D’une carrure impressionnante, l’individu dévale la rue de la Faïencerie avec sa proie qu’il porte comme un fétu de paille. Et la viole à l’abri des regards. Mais des yeux vont être témoins de l’insoutenable. Tétanisé par le physique athlétique de l’agresseur et la soudaine brutalité de la scène à laquelle il est en train d’assister, le copain de la victime ne peut s’opposer au drame. Il va réagir toutefois rapidement. En alertant la police. Des policiers nancéiens de la brigade canine, en patrouille dans le secteur, sont sur place en un temps record. Une réactivité qui permet l’interpellation du suspect.

    (…) L’Est Républicain

  • Nancy : une ville en cours de Grand Remplacement

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Posté par Eric Martin  Il y a 15 heures
    Jean-Yves Le Gallou
     
    @jylgallou
     
     
    Observatoire de l'immigration et de la démographie
     
    @ObservatoireID·
    #Nancy - Évolution 1968-2017 de la part des enfants d’immigrés extra-européens chez les 0-18 ans 1968 : 1.8% 2017 : 24.4%

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  • Nancy: un professeur de mathématiques fait l’éloge des talibans.

    Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2021

    Combattants talibans à Kaboul, le 18 août 2021 © AP Photo/Rahmat Gul) / XRG115/21230269144080//2108180935

    Une enquête pour apologie du terrorisme est ouverte

    Si les faits sont avérés, l’individu devra en répondre devant la justice. Près d’un an après la décapitation de Samuel Paty, l’Éducation Nationale va-t-elle devoir faire la chasse aux profs radicalisés, en plus des élèves? 

    Alors que Jean-Michel Blanquer brandit fièrement ses nouvelles mesures pour juguler le coronavirus dans les salles de classe, un nouvel événement risque d’entacher son ministère. 

    « Jamais eu d’écho négatif jusqu’ici »

    Le 16 août, alors que l’été bat son plein, Khalid B. alimente son compte Facebook. Un jour après la prise de Kaboul par les talibans, il partage sa joie : « Ils ont la volonté et un courage sans limite… », écrit-il. Des propos comme on en lit régulièrement sur Facebook ou Twitter, et envers lesquels les deux géants de la communication numérique n’exercent généralement pas de censure, jugeant plus urgent de bannir de leur sphère les mots acerbes de Donald Trump ou ce qui pourrait ressembler de près ou de loin à un vagin. Sauf que quand il n’est pas sur Facebook, Khalid enseigne les mathématiques, les sciences physiques et la chimie. Enseignant en Moselle au sein de l’établissement privé Notre-Dame-de-Peltre, de 2013 aux dernières vacances d’été, il semble qu’il serve l’Éducation Nationale depuis 2004.

    Auprès de nos confrères du Figaro, le directeur de Notre-Dame-de-Peltre a assuré n’avoir « jamais eu d’écho négatif  jusqu’ici» de son ancien employé. Celui-ci n’en est pourtant pas à sa première sortie. En juillet 2020, il partageait un extrait d’une conférence de Tariq Ramadan en écrivant, en guise d’introduction, un énigmatique « Force de sécurité… ». Le 14 juillet 2021, il partageait une publication du CCIE (Comité contre l’islamophobie en Europe, fondé par d’anciens membres du CCIF dissous par Gérald Darmanin) s’inquiétant du fait que Mohamed Sifaoui veuille le dissoudre. Très remonté contre le journaliste franco-algérien, il écrivait : « Un chien enragé. Sefaoui donne des leçons de démocratie au parlement belge, avec un discours mensonger dicté par les forces invisibles qui le financent.. chien ». 

    Quelques jours plus tard, il partageait son enthousiasme envers une interview de Marwan Muhammad, porte-parole du CCIF de 2010 à 2014, avec ces mots empreints de mystère : « De plus en plus et comme toujours… ». 

    L’enseignant trouve-t-il le temps long à Peltre ?

    Suite à son éloge, plus explicite cette fois, des talibans sur Facebook, Khalid a été suspendu « à titre conservatoire » par l’Académie de Nancy-Metz. Il semble que des internautes aient informé le rectorat de la passion de l’enseignant pour les nouveaux maîtres de Kaboul. La suspension permettrait de « protéger l’institution mais aussi l’enseignant lui-même, le temps de la procédure », a assuré l’Académie interrogée par notre confrère Paul Sugy du Figaro. Fort bien. Les chasses à l’homme étant d’usage sur les réseaux sociaux, nous avons choisi pour notre part de ne pas divulguer son nom de famille. En revanche, à l’heure où les enseignants sont infantilisés, soumis aux caprices de la machine administrative, et sujets au risque d’ostracisme pour ceux qui penseraient un peu trop à droite, comment ne pas s’indigner qu’un homme qui ne cache pas sa passion pour l’islamisme enseigne à compter à nos enfants depuis dix-sept années ? Les belles âmes auront beau tenter de nous enjoindre à prendre de la hauteur, à ne pas céder aux sirènes du ressentiment, à relativiser, à rappeler qu’il s’agit d’« un fait isolé », bref, de mettre l’affaire sous le tapis une fois encore jusqu’au prochain épisode, le mal est fait. 

    Khalid B. n’enseignait ni dans une banlieue difficile, ni dans un établissement REP (réseau d’éducation prioritaire), mais dans un établissement privé de Peltre. Village de 1900 habitants, Peltre est arrivé en tête du palmarès 2020 « des villages et villes où il fait bon vivre » du JDD. La vie y étant sans doute moins mouvementée qu’à Kaboul, on serait tenté de suggérer à Khalid de poser sa candidature auprès des talibans pour apprendre à compter à leurs enfants.

     

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    Enseignant
  • Nancy : Une ado de 17 ans tabassée et forcée de se déshabiller en pleine rue par une bande de jeunes qui avait organisé un piège

    Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2021

     

    Nouvel épisode de grandes violences à Nancy (Meurthe-et-Moselle), en pleine rue. Mardi 9 mars 2021, une jeune fille de 17 ans est violemment prise à partie, frappée, volée et humiliée par plusieurs individus avenue Anatole-France.

    La victime a déclaré aux policiers qu’elle avait été frappée avec une béquille et s’était fait voler son maquillage, son iPhone, des vêtements et ses papiers d’identité.

    Selon le procureur de la République de Nancy François Pérain, l’adolescente a également indiqué aux enquêteurs que ses agresseurs l’ont forcé à se déshabiller « en pleine rue » mais qu’elle a pu se rhabiller avant l’intervention des fonctionnaires.

    Huit suspects au total

    (…)

    Une vengeance pour une autre agression filmée la veille

    (…) Lorraine Actu via fdesouche

  • Nancy : Colette et Bernard, 75 ans, confinés avec cinq migrants

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2020

    Par  le 24/04/2020

    Colette et Bernard Roynette, profs à la retraite, accueillent des jeunes depuis 10 ans.

    Depuis le 17 mars, Colette et Bernard Roynette partagent leur maison avec Alpha, Aram, Dramane, Mamadou et Mohamed. Une cohabitation joyeuse avec un gage à celui qui prononcera le mot coronavirus.

    […]Le couple de 75 ans héberge cinq migrants : des mineurs isolés mis à la porte de l’aide à l’enfance car considérés comme majeurs. « Avant le confinement ils habitaient déjà là avec deux autres jeunes. Et chaque midi, une vingtaine venait manger. Donc cette période est plutôt calme pour nous ! », sourient les retraités qui militent à l’association Un toit pour les Migrants.

    « Comme des grands-parents »

    Alpha, Aram, Dramane, Mamadou et Mohamed arrivent de leurs chambres et s’assoient autour de la table de cuisine. Tous ont appris à se connaître chez Colette et Bernard. « Un couple adorable, généreux, patient. Ils nous aident pour les devoirs. C’est comme des grands-parents », s’exclament les jeunes originaires de Côte d’Ivoire, Guinée, Mali, Arménie et scolarisés en CAP cuisine, mécanique et commerce. […]

    estrepublicain.fr via fdesouche