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viols - Page 2

  • Allemagne : 42,44% des suspects pour viol sont des étrangers majoritairement turcs, afghans et syriens ; 50% des auteurs présumés d’agressions sexuelles sont des étrangers principalement turcs

    Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2022

    La proportion d’étrangers soupçonnés d’infractions sexuelles a considérablement augmenté ces dernières années. Il est passé de 35% à 42,44% pour les viols entre 2000 et 2020, selon le gouvernement fédéral en réponse à une question du groupe parlementaire de l’AfD. Les auteurs présumés sont majoritairement des Turcs, des Afghans et des Syriens.

    (…) Pour les cas d’agression sexuelle, les statistiques montrent également une augmentation : 35% de suspects non-allemands en 2000, 50 % en 2020. Les ressortissants turcs constituaient le principal groupe de suspects, suivis des Afghans et des Syriens.

    Le coprésident de l’AfD, Stephan Brandner, a commenté ces chiffres : “La proportion de suspects non allemands dans des crimes à caractère sexuel, comme le viol, est stupéfiante. Beaucoup de souffrances auraient pu être épargnées, aux femmes en particulier, si les frontières n’avaient pas été ouvertes à tous”.

    (…) Junge Freiheit via fdesouche

  • Transports en commun en Île-de-France : en 2020, les étrangers représentaient 92% des mis en cause pour vols, 80% des mis en cause pour vols violents et 62% des mis en cause pour violences sexuelles

    Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2021

    La surreprésentation des mineurs et des étrangers parmi les mis en cause est particulièrement importante parmi les mis en cause pour vols sans violence, en lien avec l’existence de filières de criminalité organisée exploitant notamment des mineurs isolés.

    Les vols et violences dans les réseaux de transports en commun en 2020 – Interstats Analyse N°39 (21 décembre 2021)

    Ministère de l’Intérieur

    En 2019 :

  • Nancy (54): l’ex-champion du monde de boxe Ozkan Kuyruk condamné pour une dizaine de viols et d’agressions sexuelles (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2021

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    23/11/20219

    Metz : Un ancien champion de boxe condamné à 17 ans de prison pour viols et agressions sexuelles

    PROCES EN APPEL L’accusé a été reconnu coupable de six viols et trois agressions sexuelles

    Il avait écopé d’un an de prison de moins qu’en première instance. L’ancien champion du monde de boxe française Ozkan Kuyruk a été condamné ce lundi en appel à Metz( Moselle) à une peine de dix-sept ans de réclusion criminelle assortis d’un suivi sociojudiciaire de cinq ans pour des faits de viols et d’ agressions sexuelles, rapporte Le Républicain Lorrain.

    Les victimes de celui qui était employé par la ville de Vandœuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle) en tant qu’éducateur sportif avaient décrit aux enquêteurs les mêmes modes opératoires. Certaines des dix jeunes femmes ayant porté plainte avaient été abordées par le trentenaire au volant de sa voiture avant d’être emmenées dans un endroit désert et d’y subir une agression. D’autres jeunes femmes avaient été victimes de chantage après avoir posé pour lui dans le cadre d’un faux processus de recrutement.

    […]

    L’article dans son intégralité sur 20 Minutes

  • En Algérie et au Maroc : les migrants subsahariens seraient massivement victimes d’exploitation, de séquestration, de viol, voire de trafic d’organes

    Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2021

    Le Maroc et l’Algérie, l’enfer des migrants subsahariens

    Les migrants subsahariens, en quête de l’eldorado européen, seraient victimes de traite, d’agressions physiques et de viol, durant leur transit en Méditerranée, en particulier au Maroc et en Algérie.

    Les résultats de l’enquête menée par la branche espagnole de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), sur un échantillon de 1340 migrants originaires de 39 pays africains, rapportée par le Huffpost, lèvent le voile sur l’enfer vécu, par ces derniers, dans les principaux pays de transit vers L’Europe, en particulier au Maroc et en Algérie.

    En effet, plus de la moitié des migrants interrogés ont avoué avoir été victimes, au moins une fois, d’exploitation, de séquestration, d’agressions physiques, de viol, voire de trafic d’organes, de la part d’individus armés ou de groupes non gouvernementaux, dans les régions de Tamanrasset et Timiaouine, en Algérie, et Tanger et Nador, au Maroc.

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur Bladi

  • Suède : Une chercheuse découvre par hasard que la plupart des viols sont commis par des immigrés, le procureur ouvre une enquête préliminaire

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2021

    Au début de l’année, le professeur Kristina Sundquist a déclaré à Samnytt qu’elle avait peur des représailles après avoir découvert – par hasard – que la plupart des viols en Suède sont commis par des immigrés. Aujourd’hui, après la pression exercée par le Conseil d’examen de l’éthique, un procureur a lancé une enquête préliminaire et Kristina Sundquist risque d’être poursuivie pour sa découverte, celle-ci étant considérée comme contraire à l’éthique.

    • L’affaire concerne les infractions sexuelles commises par des personnes nées à l’étranger. Elle n’a pas reçu l’autorisation de le faire, déclare à Samnytt Jörgen Svidén, chef du comité d’éthique.
    • “C’est déplorable”, s’exclame Ardavan Khoshnood, l’un des chercheurs à l’origine du rapport.

    Cela peut ressembler à un très mauvais poisson d’avril, mais pour le professeur Kristina Sundquist et le professeur associé Ardavan Khoshnood de l’université de Lund, il n’y a pas lieu de rire. Leurs recherches ont fait l’objet de poursuites, dans lesquelles ils sont accusés de mener et de publier des recherches illégales.

    En février de cette année, le rapport Swedish rape offenders – a latent class analysis. Son auteur principal est Ardavan Khoshnood, professeur associé de médecine d’urgence à l’université de Lund. L’étude est dirigée par la professeure émérite Kristina Sundquist, la chercheuse médicale la plus citée de l’université.

    Après avoir étudié plus de 3 000 condamnations pour viol prononcées entre 2000 et 2015, les chercheurs ont fait une découverte frappante : la plupart des auteurs condamnés sont des immigrés.

    • Un constat bipartisan. “L’objectif de l’étude était d’inclure tous les violeurs et de les caractériser en utilisant une analyse de classe latente. À l’époque, l’origine immigrée n’était pas incluse en tant que variable dans cette analyse, mais nous voulions voir s’il y avait d’autres facteurs tels que la criminalité, la mauvaise santé sociale, les prestations sociales, etc.”, a déclaré le professeur Kristina Sundquist à Samnytt au début de cette année.
    • “Les immigrants n’étaient qu’une variable, et c’était un résultat assez remarquable dans la mesure où il y avait beaucoup d’immigrants et de personnes nées à l’étranger dans ce groupe.”

    Le rapport suscite des réactions. Le mois suivant, le professeur Kristina Sundquist, le professeur associé Ardavan Khoshnood et leur rapport sont signalés à la Commission d’appel pour l’examen éthique (Överklagandenämnden för etikprövning). Il s’agit d’une autorité distincte relevant du ministère de l’éducation.

    La notification est faite par une doctorante de l’université de Göteborg. Le doctorant se demande, entre autres, si les chercheurs ont reçu l’autorisation éthique de traiter des “données sensibles” telles que la criminalité et l’origine afin de tirer des conclusions sur les immigrants et les viols.

    “Je ne vois nulle part qu’une approbation éthique est demandée pour étudier l’hypothèse selon laquelle les immigrants sont surreprésentés dans les statistiques des violeurs condamnés”, écrit le doctorant.

    Après avoir reçu plusieurs plaintes, le Conseil d’appel en matière d’éthique a décidé ce printemps de lancer une enquête sur les chercheurs. Kristina Sundquist et ses collègues sont soupçonnés d’avoir violé les bonnes pratiques de recherche.

    L’enquête reproche également aux chercheurs de ne pas être suffisamment évaluatifs lorsqu’ils expliquent comment leurs recherches permettront de “réduire l’exclusion et d’améliorer l’intégration”.

    Le 14 juin, l’enquête sur Kristina Sundquist et ses recherches sera confiée au ministère public.

    Jörgen Svidén est le chef du comité d’éthique. Selon lui, Kristina Sundquist n’a pas l’autorisation de mener des recherches sur les violeurs immigrés.

    • En Suède, certaines recherches nécessitent un permis d’examen éthique. Par exemple, si vous utilisez des données personnelles sensibles et que cela a été fait dans ce cas, explique-t-il à Samnytt.
    • Elle a reçu une évaluation éthique dans cette affaire, mais pas une qui couvre les données qu’elle a utilisées dans certains articles.

    Quelles données n’était-elle pas autorisée à utiliser ?

    • Il y en a plusieurs, il est donc difficile de s’y attarder. Elle n’a pas demandé ni reçu l’autorisation d’utiliser ce que nous avons soumis à l’accusation. Il s’agit de délits sexuels chez les personnes nées à l’étranger. Elle n’a pas été autorisée à le faire.

    Jörgen Svidén souligne qu’il n’est pas interdit de mener des recherches sur la criminalité des immigrants, mais que dans ce cas, il faut demander une autorisation préalable afin de pouvoir évaluer si la recherche est éthique ou non.

    • Certains se demandent si ces recherches ne devraient pas être interdites. Ce n’est pas de cela dont il s’agit. Il s’agit d’un examen éthique dans le cadre de la loi sur l’examen éthique, et selon cette loi, vous devez avoir la permission d’utiliser certaines données, et nous ne pensons pas qu’elle l’ait eue, dit-il.

     

    (…) Samnytt via fdesouche