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viols - Page 4

  • Forte hausse des violences sexuelles

    Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2020

     

    Jean-François Touzé
     
    @JeanFranoisTou1
     
     
    Forte hausse des violences sexuelles dont +19 % pour les #viols.La bienpensance assure qu'il faut y voir l'effet mécanique de l'augmentation du nombre de plaintes déposées.Nous, nous savons qu'il existe une autre raison liée au changement de #civilisation
     
     
  • Journée du viol à Nantes ? Cinq plaintes déposées en une matinée

    Publié par Guy Jovelin le 02 août 2019

     

    extras-européens,nantes,viols

    Il devient difficile de cacher la réalité de l’accroissement de la délinquance et de l’insécurité à Nantes – même ceux qui concernent les viols de rue, en plein essor. Ce mardi 30 juillet restera dans les annales, avec pas moins de cinq plaintes pour viol déposées à l’hôtel de police de Nantes.

    Cinq agresseurs, d’origine extra-européenne

    Selon nos informations, au moins l’une d’entre elles concernerait un viol collectif, quartier Feydeau, d’une seule victime par cinq agresseurs, d’origine extra-européenne et en situation irrégulière sur le territoire français. Une autre serait en réalité un inceste, dans une famille elle aussi d’origine extra-européenne.

    Les délinquants ne prennent pas de vacances en été, surtout à Nantes où la générosité des juges est légendaire – exemple récent, trois mois de sursis pour un vol, malgré une ILE (le voleur était clandestin), un port d’arme prohibé, une détention de drogue… « Un jour, nous avons entendu dans des écoutes qui visaient un réseau de délinquants roumains,’’ viens à Nantes, vient apprendre à voler à Nantes. Ici y a pas de justice’’ ! », confie un policier nantais. Bien plus populaire dans le monde que le Voyage à Nantes, la non-justice à Nantes.

    Ces jours-ci, « comme souvent dans l’année d’ailleurs », relève un autre policier nantais, « la plupart des gens qui viennent porter plainte le font pour des agressions à motif crapuleux, des vols de porte-feuille, des vols divers, des vols encore et encore, des voitures cassées pour voler dedans…  et hélas bien souvent nous arrivons à identifier les auteurs, mais la justice estime que malgré 20 ou 30 condamnations, ils ne sont pas encore assez connus pour être mis à l’ombre. Donc ils ont du sursis voire rien et retournent voler dès qu’ils sont sortis du tribunal… s’ils y entrent jamais, car beaucoup d’affaires sont classées, même quand on a une victime, un prévenu et un butin, voire des jours d’ITT ».

    Louis Moulin

     

    Source : breizh-info

  • Le Mouvement des Jeunes communistes de France est secoué par une série d’accusations d’agressions sexuelles et de viols

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2019

    Par  le 24/02/2019

     

    INFO OBS. Le Mouvement des Jeunes communistes de France est secoué par une série d’accusations d’agressions sexuelles et de viols.

    Au fond de la salle, Madeleine s’est levée la première. Puis une soixantaine de militants l’ont suivie. « On était sous tension de ouf », se souvient l’étudiante iséroise. Ce dimanche 27 janvier, il est près de 14 heures quand le groupe envahit la tribune de la Coupole, au siège du Parti communiste français, place du colonel Fabien à Paris. Du 25 au 27 janvier, c’est dans cette grande salle de réunion dessinée par l’architecte brésilien Oscar Niemeyer que les quelques 300 délégués du Mouvement jeunes communistes de France (MJCF) se sont réunis pour voter de nouveaux statuts, et élire leur conseil national et leur direction. Mais ce dimanche midi, le 42e congrès du MJCF a fini par voler en éclats.

    Après s’être saisi d’un micro, Madeleine monte à la tribune et commence à lire son texte. « L’immense majorité du mouvement se prononce radicalement contre les violences sexistes et sexuelles. Il est plus que temps de le mettre en pratique, et c’est pourquoi, aujourd’hui, nous refusons de nous taire », lance la jeune femme. Elle accuse ensuite nommément deux coordinateurs nationaux de « protéger des agresseurs depuis plusieurs années en mettant systématiquement le blâme sur les victimes pour qu’elles quittent l’orga [l’organisation, NDLR] ».

    Au moment où elle lâche son nom, l’un des deux mis en cause décrète l’évacuation de la salle. Des insultes fusent. Des camarades se bousculent. Un délégué hurle : « La diffamation, c’est puni par la loi. »

    (…)

    L’Obs via fdesouche