Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

écologie - Page 2

  • Élections municipales : tout le monde il est écolo ! (VIDÉO)

    L’écologie est dans toutes les têtes et tous les programmes pour les élections municipales. Coup de projecteur sur ce “greenwashing” des programmes électoraux :

  • Ecologie : «Le nouveau projet collectif des Occidentaux : disparaître sans laisser de trace»

    Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2019

    Par  le 30/12/2019

    Sous couvert de vouloir diminuer notre empreinte carbone, l’idée même de laisser une trace de sa vie se trouve dévaluée dans les pays occidentaux, s’inquiète l’essayiste Olivier Babeau, président du think-tank l’Institut Sapiens.

    Le nouveau mobilier urbain de la ville de Paris tranche résolument avec les colonnes Morris et les élégants lampadaires d’antan. Les bancs sont constitués d’un tronc d’arbre à peu près brut étendu sur l’asphalte comme le reliquat surréaliste d’une coupe forestière en pleine ville. Un choix qui n’est pas seulement esthétique, mais aussi philosophique.

    L’idée est bien sûr de voir le banc se dégrader rapidement, ce qui permettra au bout d’une ou deux années de le transformer en compost ou de l’employer à un quelconque usage écologiquement vertueux. Quel est le message en filigrane derrière le choix de ces laids bouts de bois? Il s’agit de s’inscrire en opposition frontale à tous les artefacts créés par l’homme. Les éléments naturels sont choisis pour minimiser la trace que nous laissons. La préoccupation environnementale prend aujourd’hui la forme du souci constant de minimiser son «empreinte». Au-delà du carbone, ce sont plus généralement toutes les traces […]

    Le Figaro via fdesouche

  • 19e siècle : le communisme, 20e : le socialisme, 21e l’écologie

    Publié par Guy Jovelin le 28 décembre 2019

  • Les deux internationales vertes, Islam et écologie, font bon ménage

    Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2019

    Il y a l’Église verte, le délire écologique de quelques curés pas très catholiques, et maintenant il y a l’islam vert, du vert de l’idéologie écologique, reconversion moderniste de la religion conquérante du croissant vert. L’islam aime le vert, couleur du diable en héraldique, synonyme « de la perturbation de l’ordre établi » nous dit l’historien des couleurs.

    Le président turc Erdogan est venu en Angleterre inaugurer à Cambridge, ancien et haut lieu de la chrétienté médiévale, une nouvelle mosquée… verte ! L’édifice en question, appelé Central Mosque, a été défini par la BBC comme « la première mosquée écologique d’Europe », dans la mesure où il est doté d’un système de chauffage à basse émission de CO2 et de collecteurs d’eau de pluie. La structure peut recevoir mille fidèles et se trouve sur l’artère élégante de Mill Road, une des zones les plus peuplées et multi-ethniques de la ville universitaire.

    La présence d’Erdogan, en Grande-Bretagne pour le sommet de l’OTAN, à la cérémonie d’inauguration serait justifiée par le fait que le gouvernement d’Ankara serait un des financiers du lieu de culte, au même titre que des citoyens turcs et un fonds souverain du Qatar. Ils auraient mis ensemble plus de 20 millions pour construire cette mosquée écologique.

    Derrière la venue du président turc, il y aurait aussi une autre raison révèle la BBC : l’invitation personnelle qui lui a adressé le chanteur anglais  Cat Stevens, converti à l’islam en 1977 et grand promoteur de l’édifice religieux en question.

    La visite d’Erdogan à Cambridge a été accompagnée, dans le contexte tendu du conflit qui oppose la Turquie aux Kurdes en Syrie, et par des manifestations en faveur du dirigeant turc et par des rassemblements d’opposants, d’où un déploiement important des forces de l’ordre.

    Mais incontestablement, cette construction d’une mosquée moderne, surfant sur la mode écologique, et son inauguration en présence d’un des chefs d’État musulman le plus puissant du moment, signent une nouvelle avancée, de manière pacifique mais qui n’en est pas moins dangereuse, de l’islam conquérant en un pays aux racines chrétiennes.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Écologie et démesure

    Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2019

     
    POSTÉ LE 05 JUIN , 2019

    L’ombre ici, c’est le nombre: trop de gens, trop d’armes, trop de déchets, trop d’égoïsme, trop de gaspillage étatique, trop de lois, trop de laisser-aller. En somme, trop de tout!

    La lumière, ce n’est ici ni l’Amour, ni la Haine, mais la Raison qui nous dicte de réduire drastiquement tous nos «trop» et nous pose un dilemme moral crucial, à savoir : mettre en parenthèse la marche actuelle du monde pour sortir de l’ornière ou, au contraire, s’enliser davantage en fluidifiant toujours plus toutes les relations : plus de commerce, plus d’interactions, plus de tourisme avec un chef d’orchestre utopique mondial pour gérer le tout.

    Faut-il lâcher la bride aux écologistes autoproclamés incompétents qui n’hésitent même plus à enrôler les enfants pour leurs prêchi-prêcha mondialistes illusoires ou s’en remettre aux vrais chercheurs?

    La réponse est évidente; on ne peut pas mentir et dire n’importe quoi, même pour la bonne cause car cela obscurcit les perspectives plus qu’elles ne les éclairent.

    Les blessures que nous nous infligeons écologiquement les uns aux autres sont guérissables. Il n’y a pas de point de non-retour, sous réserve de s’attaquer correctement aux vrais problèmes et de ne pas profiter de l’Écologie pour faire triompher des idées sociales qui n’ont pas grand rapport avec elle.

    Les Chinois avaient montré la voie de la raison en préconisant «un enfant unique par famille» mais, hélas, ils ont manqué de sagesse dans l’application pratique et cela a tourné court.

    Ils avaient cependant fondamentalement raison quand l’on voit toutes ces masses migrantes aux familles trop nombreuses aller chercher ailleurs ce pain qu’elles ne sont plus capables de produire chez elles.

    Pour nous sortir de la nasse écologique, il nous faut impérativement plus de frugalité en toute chose, moins de démesure, moins de déchaînements d’envie et de haine, plus de véritable savoir et la lumière se maintiendra.

     

    Source : les4verites