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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 325

  • En France, 87% des femmes déclarent avoir déjà été victimes de harcèlement ou de violences sexuelles ou sexistes dans les transports

    Publié par Guy de Laferrière le 26 mai 2023

    En France, 87% des femmes déclarent avoir déjà été victimes de harcèlement ou de violences sexuelles ou sexistes dans les transports. Le gouvernement a organisé un premier comité d’action afin de lutter contre ces atteintes qui constituent une entrave importante à la mobilité des femmes.

    Le 11 mai 2023, la ministre déléguée à l’égalité entre les femmes et les hommes, Isabelle Lonvis-Rome, et le ministre délégué aux transports, Clément Beaune, ont lancé le premier comité d’action contre le harcèlement et les violences sexuelles et sexistes faites aux femmes dans les transports.

    Ce comité a réuni l’ensemble des acteurs impliqués (opérateurs de transports publics et privés, autorités organisatrices de la mobilité, associations) dans le but d’identifier les bonnes pratiques à promouvoir dans les réseaux de transport.

    Un sentiment d’insécurité dans les transports qui concerne surtout les femmes

    Deux voyageurs sur trois dans les transports collectifs sont des femmes. Selon les chiffres du ministère de la transition écologique, 87% d’entre elles ont déjà été victimes de harcèlement, d’agressions sexuelles ou de viols. Elles sont nombreuses à mettre en place des stratégies d’évitement : 54% déclarent s’abstenir de prendre les transports en commun à certaines heures.

    Depuis la loi d’orientation des mobilités (LOM) de 2019, le ministère chargé des transports est chargé de publier chaque année un bilan national des atteintes à caractère sexuel ou sexiste dans les transports. Le dernier bilan fait état de près de 3 500 atteintes sexuelles et sexistes en 2021 (dont 74% dirigées vers les femmes), en hausse de 37% par rapport à 2020 :

    • 34% sont des atteintes sexuelles avec contact (viols et tentatives de viols, attouchements sexuels…) ;
    • 34% sont des atteintes sexuelles sans contact (harcèlement, exhibition, voyeurisme, notamment le “upskirting” qui consiste à filmer ou photographier les sous-vêtements des femmes) ;
    • 31% d’outrages sexistes (sifflements, gestes ou bruits obscènes, propositions sexuelles…).
    […]

     

    Transports en commun : un comité contre les violences faites aux femmes | vie-publique.fr (Gouvernement)

  • Violences à l’hôpital… comme partout ailleurs !

    Publié par Guy de Laferrière le 26 mai 2023

    Marie Delarue 24 mai 2023

    La France est en émoi : une infirmière du CHU de Reims est morte des suites de son agression au couteau par un patient psychiatrisable ; sa collègue, agressée elle aussi, a heureusement survécu à ses blessures. Et l’on semble découvrir la lune…

    Des gens poignardés en pleine rue, il y a en toutes les semaines en France. Des enseignants tués dans l’exercice de leur "sacerdoce" – aujourd’hui c’en est un –, il y en a eu une dizaine depuis 40 ans. Des prêtres, des policiers, des militaires aussi sont décapités… Alors où est la surprise ?

    On feint de croire que l’hôpital est un sanctuaire, mais il n’y a plus aucun sanctuaire aujourd’hui. Coïncidence morbide, le Conseil national de l’ordre des médecins publie au lendemain du drame de Reims son rapport sur la sécurité. Les chiffres font apparaître, en 2022, « une forte augmentation des violences de 23 % depuis l’année 2021 », soit une hausse « inédite » nous dit-on.

    Signalons en passant que d’après le dernier baromètre du climat scolaire, le niveau de violence dans les établissements français a « augmenté lui aussi de près de 20 % en un an ». Quant aux chiffres de l’insécurité et de la délinquance (communiqués par le ministère de l’Intérieur le 31 janvier 2023), ils montrent en 2022 une augmentation des crimes de 8 %, et des coups et blessures volontaires de plus de 15 %. Entre autres.

    Aujourd’hui les projecteurs sont braqués sur l’hôpital, notre "cour des miracles" contemporaine. Mal aimés, mal payés, les soignants sont tout autant victimes de la chienlit administrative et judiciaire que des patients irascibles. L’hôpital est malade, particulièrement le secteur de la psychiatrie, l’école est malade, la justice est malade, la société est malade.

    Au dernier drame, celui de cette infirmière tuée – son meurtrier avait déjà été mis en examen pour violences aggravées mais bénéficiait d’un non-lieu pour « irresponsabilité pénale » – le gouvernement apporte la seule réponse qu’il connaît : un chèque !

    Comme on jette au chien un os à ronger, on balance « une enveloppe » à l’hôpital : 25 millions d’euros pour la sécurité. C’est le ministre de la Santé, François Braun, qui l’a annoncé ce mercredi matin sur BFM TV : cette somme doit servir « pour l'instant, à l'ensemble de cette sécurité. S'il faut plus, nous mettrons plus pour corriger tout ça, mais en tout cas on ne peut plus accepter des systèmes défaillants », a-t-il dit. Et d’annoncer dans la foulée qu'un audit aurait lieu « dans tous les établissements » dès la semaine prochaine afin de lister « Tout ce qui ne fonctionne plus en termes de sécurité, les portes magnétiques qui ne marchent plus, les badges, les machins ». « Je veux que l'on vérifie tout ça, tout de suite, et que l'on répare », a dit le ministre.

     

    Comme si c’était une question de machins… Comme si la folie qui s’est emparée de nos sociétés malades allait se régler avec une burette d’huile. Sans courage politique, incapable de nommer les maux qui nous rongent, le ministre Braun, comme ses collègues de la Justice, de l’Intérieur ou de l’Education, comme le président Macron lui-même, Monsieur Braun fait de la com'. Rien d’autre.

     

    Source : bvoltaire

  • Cannes, un festival du conformisme arc-en-ciel

    Publié par Guy de Laferrière le 25 mai 2023

    PAR  LE 

     

     

     

     

    Depuis longtemps le Festival de Cannes s’applique, à travers ses starlettes excentriques et ses films « en avance », à choquer le bourgeois qui adore ça. C’est devenu un conformisme total à la révolution économique et morale qui avance sous le triple drapeau de l’arc-en-ciel des LGBT+, du Rainbow warrior de l’écologisme et de la nation arc-en-ciel sans frontières d’Etat, de race ni d’espèce. L’édition 2023 n’est pas terminée, mais elle a déjà frappé fort.

    Le Festival de Cannes, c’est surtout un tapis rouge

    Bien sûr, il y a un peu de cinéma dans les salles du palais des congrès de Cannes, et beaucoup de bizness dans les couloirs, dont Harvey Weinstein était une figure il n’y a pas si longtemps, mais la grande affaire du Festival est de lorgner la montée du tapis rouge, d’y compter les vedettes (les Américains sont particulièrement prisés) et d’y admirer les toilettes des femmes (et maintenant des hommes qui leur font concurrence). Dans cet exercice Bilal Hassani a particulièrement plu avec sa minirobe et sa coiffure en crête de coq iroquois. Cette chance pour la France homosexuelle, décrite comme youtubeur et en même temps youtubeuse par Wikipédia, passée par The Voice, a représenté la France à l’Eurovision en 2019 et posé en couverture du magazine gay Têtu parodiant la Sainte Vierge : sa montée des marches au Festival de Cannes était une symbolique petite marche des fiertés qui a mis de l’arc-en-ciel dans le cœur des afficionados. C’est important : un tapis rouge, on le déroule devant ce qu’on admire et promeut.

    Conformisme social, conformisme moral, conformisme politique

    Je ne suis pas chroniqueuse mondaine, mais j’ai vu passer aussi quelques tenues extravagantes portées par des vedettes dont j’aurai la charité de taire le nom, surtout marquées par la vulgarité et parfois aussi, hélas, par la laideur. La mode des sous-vêtements apparents était déjà vieille dans les bordels du temps d’Edouard VII d’Angleterre… Mais le conformisme politique a paru plus lourd encore. Dimanche à Cannes, une jeune femme vêtue d’une robe jaune et bleue aux couleurs de l’Ukraine a tiré de son soutien-gorge une poche de faux sang pour s’en asperger le visage. Les videurs l’ont évacuée, mais tout le monde était content.

    Vieilles gloires et cinéma arc-en-ciel

    Ce sont pourtant deux hommes, et d’un certain âge, qui ont confirmé le conformisme du festival de Cannes. A 80 balais, Robert de Niro et Harrison Ford ont fait chacun son petit cinéma arc-en-ciel, comme quoi il peut servir d’être un acteur passable pour jouer les idiots utiles. De Niro est sorti un instant de son statut de vieux coq en pâte pour tirer compulsivement sur sa cible préférée, Donald Trump, à propos de rien. Quant à Ford (Harrison), grand amateur d’avions privés venu tout exprès en jet vendre son dernier Indiana Jones, il a fait une violente sortie écologiste sur le plateau de France 2. Cette colère était-elle simulée ? Était-il conscient que son amour des jets pouvait sembler contradictoire ?

    La « Science » au secours du conformisme arc-en-ciel

    En tout cas il a récité le crédo climatiste sans faute : « Si on ne se bouge pas le cul maintenant, on va perdre cette planète ! » Il a laissé tomber ses foudres sur l’inaction des gouvernements et l’ignorance de la population. « La science est la science, basée sur des faits, ce n’est pas une opinion, Il faut respecter la science, elle nous a apporté les médicaments, elle nous a apporté l’espace. […] Écoutons la science, écoutons ce que nous dit le monde. Il nous dit qu’il est abîmé, attaqué, que nous détruisons la capacité de la nature à nous servir. » Sous le très artistique trémolo indigné on reconnaissait l’argument majeur de la révolution arc-en-ciel : la science, son autorité nécessaire, le consensus scientifique. La science qui impose de croire que l’homme réchauffe le climat, que manger de la viande est une faute, que les races n’existent pas, que les frontières sont mauvaises, qu’il y a une infinité de genres, etc. Un festival de mensonges, mais de mensonges dominants, qui ouvrent la porte à la révolution arc-en-ciel.

    PAULINE MILLE

     

    Source : http://view.robothumb.com/leblogalupus.com/

  • Comment l’Etat organise le grand remplacement en province

    Publié par Guy de Laferrière le 25 mai 2023

    PAR  LE  

    reinformation.tv

    2 min

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    2000. C’est le nombre d’immigrés clandestins demandeurs d’asile (« migrants ») que l’Etat transfère chaque mois d’Île-de-France vers les régions moins touchées, et singulièrement la Bretagne, car le Grand Est, les Hauts de France, la PACA et même la Nouvelle Aquitaine commencent à saturer. On sait les difficultés que cela engendre dans la province ainsi envahie, à Callac, à Saint-Brévin par exemple, mais il y a urgence en Île-de-France, car elle « reçoit » la moitié des « primo-arrivants » et ne supporte plus ce grand remplacement.

    Répartition administrative du grand remplacement en province

    Il pose un problème notamment en vue des Jeux Olympiques de 2024 : malgré les opérations de police et le démantèlement des campements dans les rues, ces derniers se reforment presque instantanément. C’est pourquoi le ministre du logement, Olivier Klein, et celui de l’intérieur, Gérald Darmanin, ont adressé aux préfets une circulaire commune le 13 mars pour leur demander d’aménager de nouveaux « sas d’accueil temporaire régionaux ». Toutes les régions, à l’exception de l’Île-de-France, des Hauts-de-France et de la Corse (tiens ?) devront construire un camp de cinq cents places pour y « orienter des personnes prises en charge lors des opérations de mise à l’abri conduites en Île-de-France ». C’est-à-dire pour y caser les clandestins raflés autour de la capitale.

    L’Etat contraint de venir au secours de Paris

    L’image de Paris s’est en effet fortement dégradée aux yeux des touristes et des supporters du monde entier sous les mandats d’Anne Hidalgo à cause d’une immigration excessive, et cela menace le bon déroulement des Jeux Olympiques. Selon Didier Leschi, directeur général de l’OFII, l’office français de l’immigration, « l’Etat ouvre 700 à 800 places tous les mois depuis 2015. Il y a eu 20.000 places créées pour la seule année 2022 ». Le gouvernement a publié en 2021 un SNADAR (schéma national d’accueil des demandeurs d’asile) qui vise à « desserrer la pression » sur Paris et amorcer un « rééquilibrage territorial ». En français courant : étendre le grand remplacement à tout le territoire.

     

    Source : http://view.robothumb.com/leblogalupus.com/

  • L’impôt sur l’héritage en France est parmi les plus élevés du monde.

    Publié par Guy de Laferrière le 25 mai 2023

    L’impôt sur l’héritage en France est parmi les plus élevés du monde. Fixé à 45 %, il est véritablement un impôt charognard, perçu sur la carcasse encore chaude de nos malheureux défunts.
    Pour les familles endeuillées, l’État ne trouve rien d’autre de mieux à faire que... de leur voler des sommes considérables.
    Les droits de succession représentent 1,4 % du total des recettes fiscales en France, soit 15,2 milliards d’euros en 2019, ce qui classe la France 3e au niveau mondial. Cela représente également 0,61 % du PIB, 4 fois plus que la moyenne européenne (0,15 %).
    En France, il n’existe aucune possibilité d’exonération, hormis sur les œuvres d’art, les groupements forestiers, ou encore les assurances vie (sur les dépôts avant 70 ans). Ces niches fiscales sont d’ailleurs beaucoup utilisées par les 0,1 % les plus riches, leur permettant de ne payer que 10 % de taux effectif sur le patrimoine qu’ils lèguent, contre les 45 % prévus. Les classes moyennes n’ont, elles, pas la chance de pouvoir s’acheter des œuvres d’art ou des forêts...
    Alors que les Français, pourtant très égalitaristes, sont 8 sur 10 à être étonnamment opposés à ces droits de succession, le Parti de la France est favorable à la suppression totale de ce détroussage de cadavres par le fisc. Cette taxe sur les morts n’existe d’ailleurs même pas dans un pays communiste comme la Chine.
     
    Maxime Leroy - Délégué général adjoint du Parti de la France
     
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