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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 321

  • La Russie disposera bientôt d’une base militaire en Centrafrique

    Publié par Guy de Laferrière le 01 juin 2023

    La coopération militaire entre la Russie et la Centrafrique se renforcera par une base militaire russe sur le territoire centrafricain
    La coopération militaire entre la Russie et la Centrafrique se renforcera par une base militaire russe sur le territoire centrafricain

    L’ambassadeur centrafricain à Moscou a fait savoir que son pays était prêt à accueillir une base militaire russe. Celle-ci pourrait rassembler jusqu’à 10.000 soldats russes. Le président Touadéra fera un déplacement à Saint-Pétersbourg pour le sommet Russie-Afrique.

    C’est un véritable camouflet pour Emmanuel Macron qui confirme l’échec de sa politique africaine marquée par une arrogance déplacée. La coopération entre la Centrafrique et la Russie fait l’objet d’un entretien accordé par l’ambassadeur centrafricain à Moscou au quotidien russe Izvestia, dans lequel il évoque une augmentation considérable de l’aide militaire russe à son pays. L’ambassadeur Léon Dodonu-Punagaza a clairement évoqué la construction d’une « base militaire » russe sur le territoire centrafricain.

    Selon le diplomate, cette base militaire pourrait accueillir, à terme, « 5 à 10 000 soldats russes ». « Si nécessaire, ces troupes pourraient être utilisées dans d’autres pays » d’Afrique centrale, a-t-il ajouté. Le Soudan, voisin de la Centrafrique, vit depuis un mois et demi au rythme du conflit opposant les troupes d’Abdel Fattah al-Burhane et Mohamed Hamdan Dagalo, tandis que la situation dans l’est de la RDC a aussi alerté Moscou.

    Le prochain sommet Russie-Afrique promet d’être un grand moment à suivre, avec une redistribution des cartes géopolitiques.

    Nsango ya Bisu ia medias-presse.info

  • Dispersion façon puzzle

    Publié par Guy de Laferrière le 01 juin 2023

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    Dispersion façon puzzle

    Le grand remplacement n’existe pas, mais un rapport parlementaire préconise de répartir les immigrés comoriens sur l’ensemble du territoire français. Or, à Mayotte, 90% des consultations en PMI sont des mères comoriennes.

    Ce rapport, rédigé par Laurent Marcangeli, député Horizons de Corse, et Estelle Youssouffa, députée Liot de Mayotte, est présenté en plein débat sur l’immigration et livre des chiffres sur la santé à Mayotte. Comme l’île grecque de Samos et l’île italienne de Lampedusa, Mayotte est en proie à une importante immigration illégale, avec des services publics asphyxiés (sécurité, santé, éducation…), des difficultés d’approvisionnements (en eau et nourriture).

    90% des consultations en PMI sont des mères comoriennes, mais on apprend aussi que l’an dernier, l’Hôpital de Mamoudzou a soigné presque autant de Français que d’étrangers. 93 626 Français contre 85 567 étrangers.

    Le rapport fait des recommandations avec notamment l’instauration de l’Aide Médicale d’Etat à Mayotte… et préconise la fin du “Visa Territorialisé à Mayotte”, un léger détail qui fait qu’un Comorien régularisé ne peut pas quitter Mayotte. Or, cette carte de séjour “territorialisée” sur l’île empêche les bénéficiaires bloqués sur l’île de quitter le département, sauf s’ils remplissent les conditions précises définies par l’administration, avec notamment des “attaches familiales en France”, des “services rendus à la France” ou si le demandeur bénéficie “d’une protection internationale”. Faire sauter ce verrou permettrait de répartir sur l’ensemble du territoire français l’immigration comorienne.

     

    Source : lesalonbeige

  • Ecoles libres : l’armistice n’a jamais eu lieu dans cette fameuse guerre qui remonte à la Révolution française

    Publié par Guy de Laferrière le 01 juin 2023

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    Suite à la volonté du ministre d’obliger l’enseignement sous contrat à faire de la mixité sociale, Anne Coffinier écrit dans La Nef :

    […] Le Secrétariat de l’Enseignement catholique n’a donc pas eu d’autres choix que se prêter au jeu. À court terme, il a gagné puisque le protocole d’accord Ndiaye/Delorme n’oblige pas les établissements privés sous contrat à un quota chiffré annuel d’élèves d’origine sociale défavorisée ou en difficulté scolaire. Il gagne aussi en ayant réussi à conditionner les efforts de mixité sociale à la perception par les écoles privées sous contrat du même montant d’aides sociales (notamment pour la cantine) de la part les collectivités locales que ce que reçoivent les écoles publiques. Mais à moyen terme, rien n’est garanti, surtout que l’Enseignement catholique a accepté de publier désormais les tarifs et la politique sociale pratiqués par chaque établissement sous contrat. Il est plus que probable que l’État, sur la base de ces données, imposera bientôt des quotas contraignants par école et restreindra drastiquement la liberté de recrutement des élèves.
    À droite, nombreux sont ceux qui ont accusé le gouvernement de prendre la responsabilité de « rouvrir la guerre scolaire » en voulant amputer la liberté de recrutement des élèves par les écoles privées sous contrat. Mais il faut bien reconnaître que l’armistice n’a jamais eu lieu dans cette fameuse guerre qui remonte à la Révolution française : il suffit pour s’en convaincre de se souvenir de la suppression à l’été 2021 de l’école à la maison ou de l’enchaînement de lois depuis 2018 pour restreindre les libertés des écoles privées indépendantes. Dans cette guerre, l’Enseignement catholique s’est bien moins mobilisé pour défendre la liberté d’enseignement et les libertés éducatives des familles qu’il ne l’a fait pour conquérir des avantages financiers au profit des écoles sous contrat.

    Les parents veulent la liberté de choix

    Aujourd’hui, et c’est assez peu souligné, les motifs justifiant politiquement le financement de l’école privée par l’État ne sont plus évidents. La loi Debré de 1959 prévoyait un secteur privé subventionné par l’État pour assurer la liberté de religion et permettre aux Français qui le désiraient de choisir « l’école avec Dieu » quand l’État proposait « l’école sans Dieu », comme le chantait Michel Sardou. Aujourd’hui, ce n’est pas pour la religion mais pour le niveau scolaire et la sérénité qu’elle offre que l’école privée est recherchée par les parents. Si l’État doit la financer, c’est désormais davantage au nom du droit au choix de l’école et à la liberté éducative qu’en raison de la liberté religieuse. En conséquence, deux réalités deviennent difficilement compréhensibles – et donc difficilement admissibles : la première est que l’État ne laisse pas plus de 20 % des élèves rejoindre les écoles privées sous contrat, alors que 60 % des Français le désireraient et que c’est un droit démocratique pour eux de pouvoir le faire. La seconde est les discriminations financières que fait peser l’État sur les familles qui choisissent une école privée. Rien ne permet de justifier le caractère payant des écoles privées sous contrat, puisque le principe du libre choix de l’école est reconnu et que l’enjeu n’est plus supposé être d’arracher à l’Église un maximum d’enfants pour enraciner la République.

    Un sondage du 22 mai 2023, réalisé par l’IFOP, vient de montrer que les Français sont conscients du caractère très inégalitaire de notre système et qu’ils sont prêts à des changements importants. Pour augmenter l’égalité des chances, près de 6 Français sur 10 réclament une intervention de l’État en faveur du libre choix de l’école publique comme privée, c’est-à-dire la suppression de la carte scolaire régissant les affectations d’élèves entre les écoles publiques, et la prise en charge des frais de scolarité qui sont jusqu’à présent à la charge des parents choisissant une école privée. Cette enquête d’opinion est très encourageante et montre les progrès de la confiance en la liberté d’enseignement dans l’opinion publique. Pouvoir choisir son école publique ou privée au regard des besoins concrets de chaque enfant apparaît comme une évidence de plus en plus largement reconnue. Mais les Français veulent que ce choix se marie à la possibilité de côtoyer des enfants de tous horizons pour que l’école reste le creuset de la nation. En attendant que l’État subventionne le privé autant que le public, il faut instaurer des bourses sociales pour permettre aux enfants méritants d’origine humble d’intégrer les écoles privées. C’est justement ce que font les bourses d’accessibilité délivrées par la Fondation Kairos pour l’innovation éducative.

     

    Source : lesalonbeige

  • Football : le joueur néerlandais Quincy Promes, déjà condamné pour avoir poignardé son cousin, poursuivi pour importation de cocaïne

    Publié par Guy de Laferrière le 31 mai 2023

    L’attaquant international néerlandais du Spartak Moscou Quincy Promes jouit d’une sacrée réputation… dans les couloirs des tribunaux. Déjà jugé aux Pays-Bas pour avoir poignardé un cousin, le joueur de 31 ans est désormais également poursuivi pour avoir importé de la cocaïne, a annoncé le parquet ce mardi. Il est accusé, aux côtés d’un autre Néerlandais de 31 ans, d’avoir importé en janvier 2020 « plusieurs centaines de kilos » de cocaïne, notamment via le port d’Anvers, en Belgique, a indiqué le ministère public.

    Le Parisien

    Dans une autre affaire, le ministère public néerlandais a requis en mars deux ans de prison contre Quincy Promes accusé d’avoir poignardé un cousin lors d’une querelle en juillet 2020.

    Le Figaro

  • Coupe du Monde U-20 de la FIFA 2023 : l’équipe de France éliminée dès le 1er tour

    Publié par Guy de Laferrière le 31 mai 2023

    Après leurs deux défaites contre la Corée du Sud et la Gambie, les joueurs de l’équipe de France U20 n’ont pas réussi à remporter suffisamment largement leur dernier rendez-vous en Argentine. Ils sont éliminés dès la phase de poules.

    Le Parisien via fdesouche