Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 320

  • « Ici, nous sommes 2.000 » : comment ce bidonville rom est né en quelques semaines aux portes de Bordeaux, et provoque déjà une vague de délinquance

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juin 2023

    Une explosion démographique s’est produite sur un terrain municipal de Villenave-d’Ornon, occupé depuis six mois par des Roms de Roumanie. Pourquoi cet afflux, dans quelles conditions, avec quelles conséquences ?

    À perte de vue, des caravanes, des cabanes bricolées en matériaux de récupération. Au fond du terrain, un tas d’ordures achève de brûler. Dans les allées, des dizaines d’enfants qui cavalent au mépris des branchements électriques sauvages, deux bornes à incendie qui coulent en continu pour tout point d’eau… En quelques semaines, ce qui était une occupation de terrain s’est transformée en un bidonville de dimension sans précédent dans la métropole bordelaise.

    « Ici, nous sommes 2 000 personnes », compte Florian. « Ici », c’est le 32, chemin de la Caminasse, à Villenave-d’Ornon. Un espace de 3,5 ha au milieu des bois qui longent la route reliant le quartier de Courréjean au bourg de Cadaujac. « Nous », ce sont quelques centaines de familles roumaines appartenant à la communauté rom.

    Les premières se sont installées sur cette parcelle au tout début de l’année. De nouveaux occupants sont arrivés ce printemps. Soit venant d’autres squats de l’agglomération évacués, soit arrivant directement du pays, en quête d’un travail agricole saisonnier correctement rémunéré (lire ci-dessous).

    D’où viennent ces familles ? Et qu’ont-elles laissé là-bas pour qu’elles préfèrent vivre ici dans ces conditions ? « En Roumanie, beaucoup travaillaient dans des fermes ou dans la ferraille. Mais il n’y a plus de travail pour elles. Ils fuient la galère », résume Leonard Velicu, de l’association Eurrom.

    (…) La délinquance ? « C’est vrai qu’il y en a. Beaucoup même », reconnaît Leonard. « Il faut laisser la police faire son travail. Et aussi reconnaître que ces actions sont le fait de jeunes qui sont coincés dans ce désert. »

    Le maire de la commune, Michel Poignonec, dit être saisi « chaque jour par des administrés, qui ressentent un sentiment d’incivilité. La situation crée une tension dans le quartier. »

    (…) Sud Ouest via fdesouche

  • Intelligence artificielle

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juin 2023

    FxfVACJXsAAfXxt.jpg

  • Il vient encore d'être durement attaqué : Didier Raoult se défend, calmement :

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juin 2023

    Il vient encore d'être durement attaqué : Didier Raoult se défend, calmement :

    "Leçon du covid : c'est nous les gentils ! Il fallait organiser de tester le plus tôt possible. Confinement, couvre feu et masques dans la rue ne servent à rien en situation épidémique. Les virus mutent très rapidement, il fallait séquencer leur génomes. Il fallait surveiller les élevages de visons dès juin 2020 pour éviter l'émergence de variants nouveaux. Il ne fallait pas croire que l'hydroxychloroquine tuait 10% des patients traités (Lancet), ni que le traitement par hydroxychloroquine était un désinfectant d'aquarium toxique ! (cf olivier veran). Il ne fallait pas croire que l'ivermectine est un médicament réservé aux animaux (information FDA). Il ne fallait pas croire qu' un vaccin allait éradiquer une maladie qui infecte aussi les animaux et dont l' immunité naturelle est faible car on peut faire plusieurs covid. On ne peut considérer éthique un consentement dans un essai vaccinal obtenu par contrainte (déclaration d' Helsinki). Le vaccin n' empêche pas la contagion qui n'avait pas été évaluée. Le vaccin Covid n'est plus recommandé au dessous de 50 ans car sans bénéfice (pour les patients). On ne doit pas interdire un traitement anodin comme l' hydroxychloroquine avant de s' être donné les moyens de prouver qu'il est inefficace ou dangereux (on a avec hydroxychloroquine la plus basse mortalité au monde : 7% des hospitalisés à l' IHU en 2020 et 2021). Et c'est nous qu'on harcèle !"

    https://images.bfmtv.com/R5v0nQdiy4_5a0V-vvHrBN-wFiw=/0x0:1280x720/1280x0/images/Un-collectif-de-scientifique-reproche-a-Didier-Raoult-des-essais-sauvages-1646551.jpg

     

    Source : lafautearousseau

     

  • VIVE LE KOSOVO SERBE ! VIVE L'ARTSAKH LIBRE, PARTIE INTÉGRANTE DE L'ARMÉNIE !

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juin 2023

    lafautearousseau

    Hier, nous parlions ici-même de nos frères du Kosovo, pour, modestement et avec nos trop faibles moyens, au moins dire qu'ils sont chez eux, chez eux, dans leur terre du Kosovo serbe, et qu'ils sont fondés à reprendre, fût-ce par la force, ce qu'on leur a injustement enlevé, par la force...

    Nous exprimons aujourd'hui - une fois de plus !... - notre soutien à d'autres frères : ceux d'Arménie, en général, et de l'Artsakh, en particulier : ils sont en première ligne face à l'agression brutale et haineuse de l'Islam expansionniste exterminateur, comme en 1915...

    Au moins, nous ne les oublions pas, nous ne restons pas indifférents : mieux vaut allumer une lumière, si petite soit-elle, que de maudire l'obscurité...

    https://factuel.media/blogs/blog-articles/quel-avenir-pour-les-120-000-armeniens-du-haut-karabagh_ba_20506902

    Paris : Rassemblement pour Artsakh

     

    VIVE LE KOSOVO SERBE !

     

    VIVE L'ARTSAKH LIBRE,

     

    PARTIE INTÉGRANTE DE L'ARMÉNIE !

     

     

  • Agression mortelle et violence : l’ensauvagement sur les terrains de foot

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juin 2023

    Paul n’avait que 15 ans. Passionné de football depuis son plus jeune âge, ce jeune Allemand évoluait au JFC Berlin. Dimanche dernier, en marge de la demi-finale de la Germany Cup que son club disputait contre l’équipe française du FC Metz, le jeune adolescent a été mortellement agressé. Selon les différents témoignages recueillis par le parquet, une « bataille rangée » aurait éclaté entre les deux équipes. L’agresseur présumé, jeune footballeur de Metz, aurait commencé par frapper au visage l’un de ses adversaires. Rapidement, il aurait ensuite dirigé ses coups contre Paul. À l’aide ses deux poings, il l’aurait alors violemment frappé à la gorge avant de l’étrangler et de lui assener un coup dans l’estomac. Alors qu’il se libérait de la menace, le jeune Allemand aurait fini par recevoir un coup sec sur la tête et se serait effondré. Le joueur de Metz aurait alors quitté les lieux sans lui porter assistance. Malgré l’intervention rapide des secours, Paul est déclaré en état de mort cérébrale. Interpellé et placé en détention, l’agresseur présumé, de confession musulmane, aurait présenté ses excuses et assuré la famille de la victime de ses prières.

    Cette violente agression, qui entraîne des réactions jusqu’au Royaume-Uni, laisse l’Allemagne et le monde du football sous le choc. Outre-Rhin, Iris Spranger, ministre de l’Intérieur de Berlin, s’est ainsi exprimée, sur Twitter : « Qu’un jeune joueur perde la vie après un match de football me laisse sans voix. Je souhaite à la famille, aux amis et à l’équipe beaucoup de courage dans ces moments obscurs. » Pour la Fédération allemande de football, cette agression mortelle est le signe que « nous avoir à faire à un problème de société ». Côté français, le FC Metz, qui a adressé ses condoléances à la famille de la victime, indique rester à la disposition des enquêteurs.

    Ensauvagement

    Il est loin, le temps où le football amateur n’était qu’une activité sportive et familiale des dimanches après-midi. Si les affrontements mortels sur les terrains restent encore un phénomène exceptionnel, la montée de la violence dans le milieu du football est, quant à elle, bien réelle. Dans le Pas-de-Calais, le président de l’US Noyelles-sous-Lens, las, a ainsi décidé de fermer les portes de son club. Menacé par un joueur exclu d’une rencontre, il aurait ensuite été insulté et giflé au bord du terrain avant de découvrir le local de l’auto-école, dont il est le gérant, ravagé par les flammes. Quelques semaines plus tôt, le président du club de Saint-Martin-du-Mont (Ain) était lui aussi victime d’une agression en marge d’un match disputé par ses jeunes joueurs. Dans les Côtes-d’Armor, l’US Prat est sous le choc depuis l’agression violente dont a été victime l’une de ses joueuses, en janvier dernier. À la fin du match, alors qu’elle se retrouve au sol, elle reçoit « volontairement » un coup de pied à la tête porté par l’une de ses adversaires. Transportée à l’hôpital pour des douleurs aux cervicales, ses parents décident de porter plainte. Face à cette violence, si les joueurs sont en première ligne, les arbitres ne sont pas non plus épargnés. Ainsi dans le Morbihan, sur les dix sanctions de plus de trois mois prononcées contre des joueurs la saison dernière, sept concernaient des atteintes physiques contre les arbitres. Enfin, quand elle n’est pas sur le terrain, la violence se propage dans les gradins. Des parents, prêts à tout pour voir leur enfant réussir, finissent par s’invectiver et se bagarrer dans les tribunes.

    Pourtant, à en croire la Fédération française de football, la violence sur les terrains n’existe pas. Dans son dernier baromètre, elle estime ainsi qu’à peine 2 % des rencontres sont émaillées d’incidents. Mais pour Jean-Jacques Demarez, secrétaire général de l’Union nationale des arbitres de football (UNAF), interrogé par Causeur en janvier 2017, ces chiffres ne sont pas « sérieux ». « Les districts ne font pas remonter les plaintes pour préserver leur image. Tout le monde le sait. Dans le football, on se voile la face », précise-t-il.

    Pour comprendre cette violence, inutile de chercher bien loin. Les terrains de football ne sont que le reflet de l’ensauvagement qui gagne notre société. Si, au lendemain de la première victoire des Bleus en Coupe du monde, le football était présenté comme un vecteur d’intégration, aujourd’hui, force est de constater qu’il n’est plus qu’un symptôme parmi d’autres de notre décivilisation.