Publié par Guy de Laferrière le 09 juillet 2024
Thomas Joly - Président du Parti de la France
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Publié par Guy de Laferrière le 09 juillet 2024
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Publié par Guy de Laferrière le 08 juillet 2024
Auteur : Pierre-Alain Depauw
Publié par Guy de Laferrière le 20 juin 2024
LÉSISLATIVES ET FRONT POPU QUI PUE :
LES DERNIÈRES NOUVELLES DU FRONT...
• Lui, c'est vraiment le sparadrap du Capitaine Hadock : on n'arrive vraiment pas à s'en débarrasser !!!!!
Source : lafautearousseau
Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2022
Jean-Luc Mélenchon, porté par la Nouvelle union populaire écologique sociale (Nupes), est le personnage à surveiller pour les législatives françaises 2022. À la veille du premier tour, on dit qu’il fait trembler la macronie. Sondages en sa faveur, meetings encourageants. Les voyants sont au vert pour le candidat malheureux de la présidentielle 2022. Analyse du site « Tout sur l’Algérie ».
Il est sans doute le seul personnage politique engagé dans ces élections qui évoque l’Algérie à travers d’autres thématiques que les visas, l’immigration ou encore la question mémorielle. Jean-Luc Mélenchon reste le candidat préféré des Algériens de France mais aussi des Français d’Algérie. Lors de la présidentielle, il a recueilli la majorité des voix des Français qui ont voté dans les consulats en Algérie. […]
Le président Emmanuel Macron, qui a été réélu en avril dernier pour un second mandat, et son parti mettent, depuis des semaines, les bouchées doubles pour discréditer leur principal concurrent. Après avoir appelé au vote barrage contre l’extrême-droite, l’entourage du président français agite le spectre d’un Hugo Chavez français qui mènera la France à la ruine.
Malgré les mythes tissés autour de Jean-Luc Mélenchon par les macronistes et la droite, l’homme politique parvient à convaincre. Lui qui a appelé les Français à l’élire « premier ministre » pourrait bien réussir son pari en gagnant une majorité de sièges à l’Assemblée nationale et qui peut-être impose une cohabitation à Emmanuel Macron. […]
Il est devenu le dernier symbole de la gauche, une tendance politique qui semblait avoir perdu la confiance des Français. Il a été aussi le candidat des personnes issues de l’immigration, remportant un grand vote parmi les diasporas étrangères en France durant la présidentielle 2022. Dont les Algériens.
Pourquoi Jean-Luc Mélenchon a-t-il des chances de séduire au sein de la diversité française ? Lui qui rate de peu chaque élection présidentielle, qui n’est pas parvenu à s’ancrer en tant que député à Marseille, l’une des villes les plus cosmopolites de France, a-t-il les moyens de convaincre un électorat aux origines variées, qu’elles soient sociales ou ethniques ? […]
Jean-Luc Mélenchon est également l’un des rares hommes politiques à défendre la liberté de culte des musulmans de France. Même s’il s’est toujours affiché comme quelqu’un de non religieux et fervent partisan de la laïcité, il semble ne pas vouloir entrer dans l’acharnement contre l’Islam.
Du moins Jean-Luc Mélenchon a su faire évoluer son discours. Si dans le passé il critiquait le terme « islamophobie » ou avait une position plutôt hostile au port du voile, il a changé son fusil d’épaule. Lors de la campagne électorale pour la présidentielle 2022, il promettait d’abroger la loi contre le séparatisme qu’il juge « injuste et offensante ». […]
Jean-Luc Mélenchon a peut-être le mérite de choisir franchement son électorat sans picorer chez les voisins. Sincère ou non, son projet répond à une large part de la France qui demande à être considérée et non ignorée voire stigmatisée. Rien que pour cela, Jean-Luc Mélenchon pourrait réussir le pari impossible de se faire élire Premier ministre.
via fdesouche
C’est officiel : le nouveau gouvernement vient d’enfreindre la loi. Plus exactement, l’article 46 de la loi organique relative aux lois de finances (Lolf) qui l’oblige à déposer avant le 1er juin le projet de loi de règlement de budget et d’approbation des comptes de l’année passée. Mais le texte n’a toujours pas été déposé. Un peu technique certes, mais de quoi déclencher l’ire de la commission des finances du Sénat.
Cette dernière fustige une décision qui empêche «la représentation nationale de prendre connaissance des éléments d’exécution budgétaire et d’informer les Français sur le bon usage de leurs impôts et l’efficacité de l’action publique». Au ministère du Budget, on indique dans un premier temps que «ce texte sera déposé après les législatives à cause des contraintes de la réserve liée à cette année électorale».
Au Sénat, Claude Raynal, le président de la commission des finances, ne l’entend pas ainsi : «En aucune façon, ce texte n’est concerné par la période de réserve, il s’agit juste de sauter les législatives. Rien ne les empêcherait de le présenter aujourd’hui.»
D’autant que tout est prêt, même les analyses de la Cour des comptes (qui vient d’ailleurs d’en reporter la présentation). […]