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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 688

  • A Toulouse l’extrême-gauche règne par la censure et la violence sur la fac du Mirail: « Il y a une riche diversité de la grande famille de la gauche » ironise le député LFI de la circonscription

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

    […]

    « Il y a une riche diversité de la grande famille de la gauche », abonde fièrement François Piquemal, député LFI de la 4ème circonscription de Haute-Garonne, sur laquelle est implantée l’université. Ici, l’espace idéologique semble être dominé sans partage. Slogans anticapitalistes, néoféministes, pro Palestine et anti « extrême-droite » offrent une mosaïque de couleurs rouges, où le bleu est proscrit. On y retrouve évidemment les formations situées à l’extrême gauche de l’échiquier politique, comme Révolution permanente, le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) de Philippe Poutou ou La France Insoumise. Même le Parti Socialiste et EELV y semblent exclus, sûrement trop ternes pour y figurer. De nombreuses manifestations partageant une idéologie commune et excluante, animent la vie du campus. « C’est très rare de passer une journée sans voir brandir des pancartes prônant l’antispécisme, l’écologie radicale ou autre », raconte Daphné, 21 ans, étudiante en civilisation étrangère.

    Dans un lieu de formation aspirant à développer un esprit critique, la diversité politique et idéologique n’est guère au rendez-vous. « Quand certaines idées ne passent pas, et bien elles ne passent pas », tonne François Piquemal, qui ajoute: « c’est tout de même préférable que les idées racistes ou de capitalisme extrême n’aient pas leur place ici ». Les tracts politiques de la droite et du centre y sont systématiquement retirés. « Nous avons beaucoup tracté durant les législatives, elles étaient déjà remplacées dès le lendemain », regrette Sébastien Canovas, responsable des jeunes Les Républicains de Haute-Garonne, parfois même en moins d’une heure.

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    « C’est impossible pour quelqu’un de non politisé de devenir de droite dans cette université », explique Yann Montigny, ancien étudiant en japonais et membre de Génération Zemmour.

    Octobre 2021, vers midi, une journée assez banale sur le campus de l’université Jean Jaurès, qui va voir son sol se couvrir de rouge… sang. Alors que Damien, militant Génération Zemmour, finit son repas au self, il décide d’aller coller des affiches de son parti sur le campus avec un ami. « Il n’y avait pas trop de passage, on en a profité », se rappelle Damien. Un jeune homme, vêtu de noir de la tête aux pieds, s’approche alors des jeunes militants. « Il se place en face de nous et commence à nous insulter, nous menace et arrache nos stickers ». L’individu, un militant « antifa » selon Damien, se décide finalement à partir, avant de revenir, déterminé. « Je me penche pour récupérer d’autres stickers, et à ce moment là je prends un coup de poing américain dans le crâne », rapporte le jeune homme. Le crâne est légèrement ouvert et sanguinolant. « Quand la sécurité est arrivée, l’antifa leur a dit: « Attrapez-les, c’est des fachos ». Ils nous ont dévisagé ». Hospitalisé et recousu avec quatre points de suture, Damien a fait confirmer sa blessure par un médecin expert juridique, avant de déposer plainte. Mais cette dernière n’a pas abouti. « Les caméras étaient comme par hasard tournés autre part. L’université n’a ensuite rien communiqué sur l’incident… Cinq jours plus tard, je suis reparti coller des affiches, ils ne me font pas peur ». « C’est quand même une provocation de venir coller des affiches pour quelqu’un qui a été pénalement condamné par la justice », commente le député LFI François Piquemal. Contactée, la présidence n’a pas souhaité répondre à nos sollicitations, tout comme le vice-président étudiant. Aucun professeur non plus n’a voulu communiquer sur le sujet. « Valeurs actuelles, c’est pas mon truc », a répondu un enseignant en histoire.

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    « Certains cours étaient clairement orientés politiquement, certains ont changé de nom et sont devenus des cours de féminisme », déplore Tom, notre ancien étudiant en sociologie. D’autres, comme lui, confirment la présence de certains biais idéologiques : « Une professeur a dit que plus les gens votent à droite, moins ils sont cultivés », rapporte Marine, 25 ans, étudiante en sciences humaines économiques et sociales.

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    Valeurs Actuelles via fdesouche

  • Cassandre Fristot nous parle du Pays Réel et du développement de Civitas

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

    Auteur : 

    Cassandre Fristot a accordé à MPI TV un entretien au cours duquel elle revient sur la dynamique dont bénéficie Civitas depuis plusieurs mois et sur le réveil du pays réel.

     

     

     

    Source : medias-presse.info

  • Le RN et l'inscription dans la Constitution du droit à l'avortement

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

    synthesenationale

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    Le vote des députés RN pour l'inscription dans la Constitution du droit imprescriptible de tuer des enfants dans le ventre de leur mère.

  • Des militants climatiques bloquent la route? Il fait le ménage

    Publié par Guy de Laferrière le 29 novembre 2022

    Les militants climatiques français de «Dernière rénovation» ont été quelque peu secoués, samedi dernier, sur un pont en région parisienne.

    Vidéo: watson

    Les militants climatiques français de «Dernière rénovation» ont été quelque peu secoués, samedi dernier, sur un pont en région parisienne.

    Samedi dernier, les militants climatiques du collectif français «Dernière rénovation» ont bloqué un pont traversant la Seine à Saint-Cloud (Boulogne-Billancourt), en région parisienne.

    Selon Ouest-France, plusieurs automobilistes se sont agacés de la présence des militants. Sur une autre vidéo, on peut voir un camion forcer doucement le passage.

    Un automobiliste pas content

    Sur cette vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, il n'y a — heureusement — pas de coups, mais un «joyeux» drille faisant à vue de nez le poids de deux militants qui se décide à les empoigner. Tel un Obélix du périph', il saisit les militants climatiques et les envoie sur le côté de la route comme s'il déchargeait des sacs à l'arrière d'un camion.

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    (Lire sur https://www.watson.ch/fr )

     

    Extrait de: Source et auteur

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  • Ronchin (59) : Hélana, une étudiante de 19 ans, tuée à coups de couteau par un Afghan de 23 ans, qui était son petit-ami (MàJ : Le suspect mis en examen et incarcéré en unité hospitalière)

    Publié par Guy de Laferrière le 29 novembre 2022

    29/11/22

    L’homme suspecté d’avoir tué Hélana, sa compagne de 19 ans, à Ronchin (Nord) début novembre, a été mis en examen et incarcéré en unité hospitalière.

    (…) Dimanche, quelque 200 personnes, munies de roses blanches, ballons blancs, et t-shirts floqués du visage souriant d’Hélana, ont marché en silence en son hommage, entre l’hôtel de ville de Villeneuve d’Ascq et l’immeuble où elle vivait avec ses parents.

    Son petit ami, «je le connaissais», «on n’aurait jamais cru» qu’il pouvait être violent, a-t-il confié. «Trois heures avant (les faits), j’étais au bowling avec eux, ça se passait bien», a-t-il raconté. Hélana est ensuite allée passer la soirée chez lui.

    Cnews


    16/11/22

    RÉCIT – Cette jeune femme a été tuée à coups de couteau, mercredi 9 novembre, à Ronchin dans le Nord. Le suspect, un Afghan de 23 ans, est actuellement hospitalisé. Le père d’Hélana a accepté de se confier au Figaro.

    «Elle aimait rire, elle aimait tout, elle aimait la vie», confie David. Sa fille de 19 ans, Hélana, a été tuée à coups de couteau par son petit ami, mercredi 9 novembre, à Ronchin dans le Nord. Son autopsie a eu lieu lundi 14 novembre et ses obsèques se tiendront en début de semaine prochaine, à une date qui reste à confirmer, poursuit son père.

    Étudiante en deuxième année à l’École nationale supérieure d’architecture et de paysage de Lille, située à Villeneuve-d’Ascq, la jeune femme vivait entre les domiciles de ses deux parents. «Elle était un peu électron libre, elle était soit chez moi soit chez sa mère. Elle avait un grand bureau chez l’un comme chez l’autre», détaille David. Assez casanière, Hélana avait une priorité : ses études. «Elle n’allait jamais en boîte de nuit. Quand elle sortait de l’école, elle rentrait faire ses devoirs. Elle se voyait plus dans le paysagisme que dans l’architecture et me disait : ”Papa, j’en ai encore pour cinq ans”», poursuit David.

    (…) Depuis environ deux ans, Hélana fréquentait un jeune homme – son premier petit copain -, rencontré dans son ancien lycée privé professionnel. Ce jeune Afghan de 23 ans, arrivé seul en France lorsqu’il était adolescent, a appris le français puis suivi une formation de plombier chauffagiste, avant d’obtenir un CDI. «Je l’ai croisé une bonne vingtaine de fois, notamment quand il passait le week-end avec ma fille chez sa maman. Il est même venu dans la Somme pour un repas de famille», poursuit David.

    (…) Le jour du meurtre, David fait une partie de bowling avec sa fille et son petit ami. «On a fini à 18h30. Hélana m’a ensuite demandé si elle pouvait aller dormir chez lui. Tout semblait normal», poursuit David. Trois heures plus tard, vers 21h50, il reçoit un appel d’Hélana. À l’autre bout du fil, «un bruit, une respiration, un frottement», décrit-il. Sans doute le dernier souffle de sa fille.

    David rappelle le petit ami dans la foulée. «Elle est morte, j’ai tué ta fille, j’ai tué ta fille», répète le jeune Afghan. «C’était le vide, je ne me rappelais même plus de l’adresse», explique David.

    La maman de la jeune femme, anéantie, partageait une publication sur Facebook en hommage à la petite Lola, elle aussi originaire du Nord, il y a encore quelques jours. Pourquoi un tel déchaînement de violences ?

    Le Figaro


    10/11/22

    L’auteur présumé est un homme de 23 ans d’origine ou de nationalité afghane.

    (…) «A priori, ni l’origine ni la pratique religieuse du suspect ne sont en jeu», les deux jeunes gens entretenaient ou avaient entretenu une relation, a précisé une des sources policières. La victime avait appelé son père indiquant se rendre au domicile de son petit ami pour récupérer des affaires. Sans nouvelles, son père l’avait rappelée pour tomber sur le jeune homme, qui lui avait dit avoir tué sa fille.

    À l’arrivée de la police, l’auteur présumé a ouvert la porte maculé de sang. Il était jeudi matin en garde à vue.

    Le Figaro