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assa traoré

  • Assa Traoré est intervenue à l’ONU pour dénigrer la France et la police française

    Publié par Guy de Laferrière le 18 novembre 2022

     
     
     
     
    Source : fdesouche

  • Pendant que Mila se cache pour retarder son égorgement qui paraît inévitable à terme, Assa Traoré signe un partenariat avec la marque de luxe Louboutin.

    Punlié par Guy Jovelin le 18 juin 2021

    assa traoré,mila

    Jonathan Sturel

     
    Pendant que Mila se cache pour retarder son égorgement qui paraît inévitable à terme, Assa Traoré signe un partenariat avec la marque de luxe Louboutin.
    Y a-t-il quelque chose à rajouter ?
    Et pendant ce temps, pendant que les féministes et les gauchistes ignorent totalement Mila, Alice Coffin s'invente une condition de victime en racontant et en faisant raconter par les médias féministes et gauchistes qu'elle a été agressée hier lors d'une conférence. Elle n'a évidemment jamais été agressée, cette folle. Un type avec de l'humour a simulé une demande en mariage en s'approchant d'elle avec un bouquet de fleurs. Aucune insulte, aucun coup, seulement de l'humour. Nous avons les photos et les vidéos, nous avons toutes les preuves que Coffin et ses complices mentent, qu'elle n'a pas été agressée, que tout ce bruit est une pure opération victimaire totalement dingue, et malgré ça ils y vont, ils foncent tête baissée dans le récit fictif et mythomane.
    Depuis hier, tous les illuminés de la secte gaucho-féministe postent sur Twitter des messages de soutien à Alice Coffin. Jusqu'au maire de Grenoble, le roi des traîtres, qui va jusqu'à manifester son soutien en écriture inclusive, ce qui d'une certaine manière boucle la boucle du délire collectif de ces gens. Et nous parlons toujours des illuminés qui continuent d'ignorer volontairement Mila qui, elle, connaît un véritable harcèlement, qui elle doit véritablement vivre cachée sous peine de connaître un destin à la Samuel Paty.
    Les gens qui ciblent Mila ne l'attendront pas avec un bouquet de fleurs quand ils l'auront localisée. Alice Coffin est une merde, tous les gens qui lui tweetent leur soutien sont des merdes.
  • Assa Traoré évoque ses cinq frères passés par la prison… comme s’il s’agissait de Soljenitsyne.

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2021

    lafautearousseau

    Ils sont venus, ils sont tous là. Toute  – ou presque – s’est jointe au rassemblement « Stop à l’acharnement contre  », lundi, à 10 heures, au TGI de Paris, pour soutenir leur icône, Assa sœur Courage, qui y était convoquée : Éric Coquerel, , Mathilde Panot… 

    assa traoré,cinq frères,prisonDanièle Obono, ne pouvant être présente, a tenu, sur son compte Twitter, à « assurer Assa Traoré, sa  et l’ensemble du collectif de tout [son] soutien ».

    Dans le casting, ils sont la caution « notable », il y en a dans toutes les séries  ou de France 2 : c’est la poignée de justes et de purs qui se lèvent pour dénoncer les politiques corrompus et les flics véreux. La ficelle est énorme, l’intrigue cousue de fil blanc, le scénario éculé ad nauseam. Mais ce n’est pas grave, il suffit de jouer sa partition par cœur sans ciller avec une mauvaise foi qui tient lieu de talent.

    Le glissement narratif est très clair : un Traoré qui a maille à partir avec la  est présumé persécuté. « Cinq de mes frères sont passés par la case prison, on a fait presque toutes les prisons d’Île de France », s’exclame avec emphase Assa Traoré devant ses soutiens, en ce lundi matin. Factuellement, elle a raison. Mais quand d’autres en seraient gênés, tenteraient de faire oublier ces incarcérations aux motifs crapuleux qui font tache dans le tableau de la famille Soubirous, elle en fait un objet de fierté, une preuve irréfragable de l’acharnement judiciaire : ils sont Soljenitsyne dans l’archipel du goulag français. Sans rire.

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    Quand Bagui Traoré, a été hospitalisé, il y a un peu moins d’un mois, la page « Vérité pour Adama » sur Facebook a multiplié les sous-entendus, comme pour un prisonnier  pris dans une diabolique machination : « Les détenus ont tenus (sic) à nous faire parvenir l’information malgré les menaces qu’ils ont reçu (resic) des agents de la maison d’arrêt, nous les remercions »« Nous avons été à l’hôpital du Chesnay 78 où est hospitalier (sic) mon frère Bagui Traoré pour avoir les explications des médecins sur son état de santé. Comme vous pouvez le voir, un impressionnant dispositif de forces de l’ordre nous attendait et nous avons été verbalisés pour non respect du couvre-feu ». Dans une vidéo postée le 17 mars, Assa Traoré, depuis les couloirs de l’hôpital, rappelle que Bagui est « le témoin principal » dans l’affaire Adama et qu’il « a été mis en prison » (en se gardant bien d’en préciser la raison), et elle dénonce des mensonges de l’administration quant au motif de l’hospitalisation : « Voilà comment ça se passe dans les prisons… » À l’écouter, les autres détenus sont, en revanche, d’indéfectibles amis pour Bagui, prêts à affronter tous les danger pour l’aider. L’étoffe des héros, on vous dit.

    Le registre sémantique est celui d’un Andreï Sakharov en pleine la grève de la faim : « Aujourd’hui, nous avons pu avoir des nouvelles de Bagui, qui a été transféré et pris en charge à l’hôpital. Il est très amaigri. Les analyses sont en cours. » À deux doigts de laisser entendre qu’il a été empoisonné façon Navalny.

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    La souffrance- incontestable et incontestée – d’une famille qui a perdu l’un des siens octroie à celle-ci une couronne de martyre qui la met sur une stèle, hors d’atteinte. Toute remise en perspective des faits est réputée abjecte. Celui dont l’arrestation a fini tragiquement est auréolé à jamais. Désormais, comme on le voit dans le « conte de faits » autour de Bagui, c’est même tout délinquant purgeant une peine de prison qui, par contagion, se trouve anobli : puisqu’il est sous les verrous contraint et forcé par une justice et une  pourries !

    L’audience a été annulée, reportée aux 6 et 7 mai à 13 h 30, rendez-vous est déjà pris pour une nouvelle représentation.

    En attendant, les gendarmes dont elle a livré les noms à la vindicte populaire, sans compter ceux qui quotidiennement se font caillasser dans les « quartiers », n’ont pas d’épaisseur, d’humanité… Ils n’émeuvent personne, ne sont qu’ombres uniformes et anonymes désincarnées, leur devoir de réserve les empêche d’exister publiquement. Comment, dans une telle asymétrie, pourraient-ils lutter contre ce storytelling qui ne peut que susciter d’autres vocations ?

    https://twitter.com/laveritepradama

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Les dessous d’Assa Traoré

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

    L’étrange nébuleuse associative autour d’Assa Traoré main dans la main avec l’assurance maladie pour subventionner la subversion d’Assa Traoré : employée d’une fondation Rothschildl la nouvelle égérie « indigéniste »  de l’anti-racisme et de l’extrême-gauche aurait été en arrêt maladie bidon pendant un an si l’on en croit les révélations du journal Causeur qui titre « L’étrange arrêt-maladie d’Assa Traoré ».

    « La porte-parole du comité Vérité pour Adama était salariée de l’Oeuvre de protection des enfants juifs-Baron Edmond de Rothschild jusqu’en décembre 2019. Elle a milité pendant un an alors qu’elle était officiellement en arrêt-maladie » écrit le journaliste Erwan Seznec dans l’édition d’hier. Il souligne pareillement la mystification du discours victimaire de celle qu’il nomme « l’Angela Davis tricolore » :

    « Assa Traoré répète souvent qu’elle a appris le décès d’Adama alors qu’elle se trouvait en Croatie pour « déplacement professionnel ». C’est exact, mais à préciser. En tant qu’éducatrice spécialisée, elle encadrait avec une collègue un groupe de sept adolescents en voyage à Rabac, une station balnéaire de la côte Adriatique. Une semaine de vacances offerte à des jeunes défavorisés, ce qui cadre mal, bien sûr, avec le discours martelé par le comité Adama sur les populations racisées-abandonnées-persécutées des cités. »

    Dans un livre paru au Seuil en mars 2017 et écrit avec Elsa Vigoureux, du Nouvel Observateur, continue Causeur, Assa Traoré « n’évoque ces détails. Elle ‘remercie la fondation Opej pour sa compréhension et son soutien’, en dernière page, sans développer le sigle. Selon nos informations, ce soutien n’était pas seulement moral. Assa Traoré n’est pas retournée travailler après le décès de son demi-frère. Elle s’est mise en arrêt maladie. Un arrêt qui s’est prolongé, nous a-t-elle précisé, jusqu’en août 2017. »

    Un arrêt bien rempli à en juger par la suite de l’article :

    « [on] peut facilement vérifier qu’elle a fait preuve durant ces douze mois d’un allant formidable, enchaînant les meetings, les déplacements et les interviews. Elle reçoit Libération pour un portrait publié en septembre 2016. Le 13 octobre suivant, elle répond à Jeune Afrique. Le 5 novembre, porte-voix en main, elle anime un petit cortège place de la République, à Paris. Le 17 novembre, elle se manifeste au conseil municipal de Beaumont-sur-Oise, pour réclamer la vérité. Le 31 décembre, elle met en ligne ses vœux en vidéo sur Médiapart, à l’invitation du site. En janvier 2017, elle tient la vedette dans l’émission La Clique, de Mouloud Achour. En 2018, même énergie : elle parle à Bastamag et Reporterre, elle se déplace en banlieue. Elle fait un entretien croisé avec Angela Davis, publié par la revue Ballast, en janvier 2019. Elle est en Une des Inrocks en avril 2019 et annonce qu’elle relance sa ligne de vêtements, dans la rubrique « Où est le cool ? ». En avril 2019, elle publie un second livre chez Stock, avec l’universitaire Geoffroy de Lagasnerie. Elle termine l’année 2019 comme vedette d’une soirée de soutien réunissant l’écrivain Edouard Louis, l’économiste Thomas Porcher, l’ex-footballeur Vikash Dhorasoo, la chanteuse Camélia Jordana, la militante Rokhaya Diallo, etc. ».

    « Tout ceci est-il bien conforme avec le repos que suppose un arrêt-maladie ? » se demande Erwan Seznec de Causeur :

    « La question semble embarrasser au plus haut point l’Opej. ‘Oui, elle travaillait chez nous, mais nous avons reçu des directives du siège et nous ne devons pas en parler’, nous a répondu l’Opej de Sarcelles. Au siège, le directeur général Johan Zittoun, répond que ‘les salariés sont soumis au secret professionnel le plus strict, ce qui les empêche de divulguer la moindre information concernant [le] personnel’. Il invoque ‘l’impérieuse nécessité de préserver les travailleurs sociaux afin qu’ils restent concentrés sur leur mission quotidienne’.

    « Mission ? Assa Traoré n’aurait-elle pas plutôt bénéficié d’un arrêt de travail complaisamment prolongé ? »

    Pour quelqu’un qui se dit une victime du « racisme systémique » des Français et de l’Etat, voilà un traitement plus que bienveillant, complaisant ! Dont bien de simples Français de souche aimeraient bénéficier…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Guerre ethnique inter-islamique à Dijon. Trait commun entre Houria Bouteldja et Assa Traoré

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2020

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    Guerre ethnique inter-islamique à Dijon. Trait commun entre Houria Bouteldja et Assa Traoré

    De L’Agrif :

    Depuis plusieurs jours, des bandes de barbares immigrés islamiques, s’affrontent sauvagement à Dijon (France) pour des raisons de haines ethniques et de contrôles de territoires pour la vente de la drogue.

    D’un côté des maghrébins, de l’autre des tchétchènes.

    Voilà que pour les séparer il faut maintenant faire appel à la gendarmerie mobile et même au Raid !

    Avec bien sûr l’interdiction de toute brutalité et surtout…des clés d’étranglement.

    Cependant, des manifestants s’apprêtent encore à défiler dans les rues à l’appel d’ Assa Traoré et de Houria Bouteldja les égéries de « l’antiracisme ».

    L’islamo-gauchiste Houria Bouteldja, grande idéologue du racisme « antiblanc », et de la pensée « décoloniale » est une admiratrice fanatique du passé antécolonial de l’Afrique du Nord, passé caractérisé par la domination de la piraterie barbaresque et de l’esclavagisme arabo-musulman.

    Quant à Assa Traoré, nouvelle coqueluche de l’antiracisme et de l’antiesclavagisme médiatique, on oublie généralement de rappeler que comme toute sa fratrie de délinquants elle est fière d’être de la grande tribu sahélienne des Soninkés spécialisée jusqu’au début du XXème dans l’exploitation des esclaves ou leur commerce.

    Ainsi, les « gogos utiles » de « l’antiracisme » obéissent-ils comme des dhimmis consentants à deux orgueilleuses descendantes de proches ancêtres esclavagistes. Elles n’en manifestent aucune repentance.

    Ainsi, chaque jour un peu plus éclate la vérité de l’expression que nous n’avons cessé de rappeler avec l’Agrif  « l’antiracisme est un racisme à sens contraire !»

    Et tant mieux si d’autres désormais, telle que l’inénarrable militante LGBT, Caroline Fourest, la reprennent à leur compte.

     

    Source : lesalonbeige