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  • Nuit d’émeutes à Béziers : les policiers attaqués par une cinquantaine de jeunes et ciblés par des jets de pavés et de boules de pétanque ; une voiture-bélier a été projetée sur la façade du commissariat

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mai 2023

    Une voiture de la police municipale de Béziers a été fortement dégradée après des jets de boules de pétanque et de pierres quartier de la Devéze dans la nuit de jeudi à vendredi.

    Une équipe du Groupement de soutien et d’intervention (GSI) a été alertée peu avant minuit d’un début d’incendie et de vitrines brisés au niveau des Halles quartier de la Devèze à Béziers. Une équipe s’est alors rendue sur place avec les pompiers de Béziers et la brigade anticriminalité (BAC).

    Des barricades avaient été installées en pleine rue, sans doute pour attirer l’attention des policiers dans un endroit bien précis. En arrivant sur place, ils ont alors été la cible de nombreux jets de projectiles comme des boules de pétanque, des pavés et autres pierres qui avaient été entassés. Des tirs de flash-ball ont été réalisés à huit reprises par les policiers afin de protéger les pompiers.

    D’après nos informations, des menaces de mort auraient été proférées à l’encontre des forces de l’ordre

    France Bleu

    Le quartier de La Devèze, à Béziers, a vécu une nuit de jeudi 4 mai à vendredi 5 mai extrêmement agitée. Jets de parpaings, de boules de pétanque, de pavés, contre les véhicules de la police municipale, feux de poubelles, de véhicules… Aux alentours de minuit, une voiture-bélier a été projetée sur la façade du commissariat mixte (polices nationale et municipale). Une compagnie de CRS est en route

    La nuit de jeudi 4 mai à vendredi 5 mai a été extrêmement agitée dans le quartier de La Devèze, à Béziers, en proie à la violence d’une cinquantaine d’individus.

    (…) Le véhicule, qui a atterri contre le mur latéral du poste de police, en feu, a fait exploser les vitres du rez-de-chaussée de l’immeuble où se trouvent les bureaux des forces de l’ordre. Au-dessus, l’édifice abrite des bureaux de la Ville de Béziers, et encore au-dessus, des logements de particuliers.

    Les flammes et les fumées ont ainsi endommagé non seulement la façade (côté terrain vague) mais surtout l’intérieur du rez-de-chaussée, avec deux bureaux entièrement détériorés, inutilisables. ” Sans compter sur les fumées qui ont pénétré dans l’immeuble, et endommagé tous les murs”, fait remarquer Fabrice Aebi.

    (…) Midi Libre

  • Béziers (34) : après avoir menacé son ex-compagne, un homme mord un policier, en frappe d’autres et s’enfuit du commissariat ; déjà condamné 27 fois, il écope de trois ans et demi de prison

    Publié par Guy de Laferrière le 22 avril 2023

    Ce 19 avril 2023, le tribunal correctionnel de Béziers, a condamné un homme de 34 ans pour violences envers des fonctionnaires de police. Il écope de trois ans de prison pour ces faits et six mois de plus pour des faits d’évasion en récidive.

    L’Avignonnais de 34 était sur place pour rendre visite à son ex-compagne qu’il avait pourtant interdiction d’approcher suite à des menaces répétées. Au courant de sa venue, celle-ci prévient les policiers pour qu’ils interviennent.

    Lors de son interpellation à la gare, l’homme résiste et s’en prend aux cinq fonctionnaires de police alors présents : insultes, coups de poing, il mord même l’un d’entre eux.

    Très agité, il est envoyé à l’hôpital où il profère également des insultes envers le personnel soignant. 

    Lors de sa garde à vue, l’homme de 34 ans déclare être en manque de drogue.

    L’homme écope alors de trois ans et demi de prison. Il avait déjà été condamné à 27 reprises entre 2007 et 2022 pour violences sur conjoint et personnes dépositaires de l’autorité publique.

    […] France 3 Régions via fdesouche

  • Béziers (34) : pour des tirs de mortier d’artifice à l’horizontale sur les CRS, première incarcération de six mois pour un homme déjà condamné trois fois

    Publié par Guy de Laferrière le 17 décembre 2022

    Un homme âgé de 26 ans, domicilié à Tourbes, dans l’Hérault, a été condamné en comparution immédiate à six mois d’emprisonnement avec mandat de dépôt. Il était poursuivi pour transport d’un produit explosif, outrage à l’encontre d’une personne dépositaire de l’autorité publique en récidive et rébellion. Son casier judiciaire faisait mention de trois condamnations entre 2019 et 2022 pour des faits d’outrage, vol en réunion et menaces de mort. Mais il n’avait jamais été incarcéré, jusqu’à présent.

    Il avait été interpellé en état d’ivresse sur la place de la victoire à Béziers, à l’issue du match de football opposant la France au Maroc en demi-finale de la Coupe du monde. Il avait insulté les CRS déployés dans le cadre du maintien de l’ordre et les avait menacés avec des mortiers d’artifice. Il avait également tenté de se soustraire à son arrestation, tout en insultant les policiers.

     « Lors de sa garde à vue, il avait, dans un premier temps, nié avoir insulté les policiers avant son interpellation et avoir détenu des mortiers d’artifice, évoque le procureur de la République de Béziers, Raphaël Balland. Avant d’être confronté aux images de vidéosurveillance le montrant clairement en train de tirer des mortiers à l’horizontale. » A l’audience, le 16 décembre, il a reconnu l’ensemble des faits qui lui étaient reprochés et a expliqué son attitude par l’effet de l’alcool

    20 minutes. via fdesouche

  • Béziers : au décès de sa grand-mère, il retrouve la maison squattée et saccagée par des migrants clandestins, “les crucifix ont tous été cassés”

    Publié par Guy Jovelin le 11 février 2021

    Pour des raisons familiales, Michel Pradeilles et sa grand-mère ne se fréquentaient pas, mais il est le seul héritier de ses biens. Il y a quelques jours, quelle ne fut pas sa surprise quand il s’est rendu au domicile de son aïeule, boulevard de Tassigny. La maison avait été squattée et saccagée sans que personne n’intervienne, ni ne signale une présence illégale.

    “C’est dégueulasse, ça pue et ils ont tout cassé, explique Michel Pradeilles dépité devant l’ampleur des dégâts. La tutrice qui gérait les biens de ma grand-mère ne s’est occupée de rien. Elle n’a même pas fait couper l’électricité et l’eau. Elle a payé les factures pendant cinq ans sans jamais être troublée de payer pour rien. Elle n’est jamais allée voir la maison. C’est une honte.”

    Pourtant elle était payée pour faire ce travail par ma grand-mère qui avait une belle petite retraite. Résultat, le jardin est une jungle, la maison est abîmée et il y a des fuites d’eau dans le toit. Je n’en reviens pas que le labeur de mes grands-parents ait été ainsi laissé à l’abandon.” Dans la maison, tout est sens dessus dessous. […]

    “Et personne au sein de l’association de tutelle ne bronche. J’ai retrouvé sur place des avis d’obligation de quitter le territoire national émanant de la préfecture de l’Hérault. Tout est renversé, les poubelles ont été stockées dedans. Les crucifix de ma grand-mère ont tous été brisés. C’est dégueulasse.” […]

    Dans le quartier, les voisins ont bien entendu du bruit à plusieurs reprises. Ils savent que d’autres maisons ont été cambriolées. “Nous savions que c’était squatté. Mais ce n’est pas chez nous.” Alors ils n’ont rien dit et fermé les yeux sur la situation.

    Midi Libre via fdesouche

  • Béziers (34) : sept membres d’une même famille macédonienne condamnés pour 62 cambriolages, les parents s’enfuient pendant le délibéré

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2020

    Le mode opératoire était bien rodé au sein de cette famille de Béziers, dont sept membres ont été condamnés à des peines allant jusqu’à cinq ans de prison pour une soixantaine de cambriolages commis en six mois dans la région. Les vols ont été commis entre novembre 2017 et mai 2018 dans la région. Une huitième personne a été mise en examen dans ce dossier et sera jugée en février 2021. Présents à leur procès mais comparaissant libres sous contrôle judiciaire, les parents ont pris la fuite avant le délibéré.

    Ciblant des habitations supposées vides de leurs occupants en journée”, des mineurs “sonnaient aux portes pour vérifier l’absence des occupants, puis forçaient les portes ou fenêtres à la recherche de bijoux, de numéraire ou de petit multimédia“, a révélé mardi 10 novembre le procureur de la ville, Raphaël Balland, dans un communiqué.

    Après plusieurs mois d’enquête, les forces de l’ordre ont découvert que “le domicile situé à Béziers d’un couple quarantenaire de Macédoniens, déjà condamnés à plusieurs reprises pour des vols aggravés, semblait être le ‘port d’attache’ des équipes de jeunes cambrioleurs“.  […]

    actu.orange via fdesouche