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chancelier autrichien

  • Le chancelier autrichien Alexander Schallenberg, celui du confinement des non-vaccinés, démissionne

    Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2021

    Crise sanitaire, mesures dictatoriales, scandales, démissions… l’Autriche sombre dans le chaos.

    Un mois et demi après avoir été investi à la tête du pays, après la démission de Sebastian Kurz en raison de l’ouverture d’une enquête pour corruption, le chancelier Alexander Schallenberg démissionne à son tour. Les raisons de ce départ soudain ne sont pas encore connues mais pourraient avoir un lien avec la crise sanitaire et la ligne dure empruntée par Schallenberg.

    Sous sa gouvernance, l’Autriche a en effet été le premier pays européen à avoir décidé de confiner ses non-vaccinés, à la mi-novembre de cette année, et ensuite de rendre la « vaccination » anti-covid obligatoire. Faisant fi des immenses manifestations dans les rues des villes autrichiennes, le chancelier s’était félicité à l’époque de cette mesure discriminatoire en déclarant : « Ce n’est pas de gaieté de cœur que nous avons partiellement privé de liberté une partie de la population, mais la mesure a déjà un effet » avant de devoir faire profil bas et confiner une semaine après toute sa population, le 22 novembre, pour trois semaines. Et là-aussi, c’est une première en Europe depuis le printemps ;

    Ces deux démissions coup sur coup dans un moment politique conflictuel et sous haute tension sont aussi une première en Europe. Serait-ce le petit covid, associé à des conflits d’intérêt, des postures dictatoriales, qui aurait eu cet effet bienfaiteur ? 

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Le chancelier autrichien Sebastian Kurz : « Les migrants afghans doivent être pris en charge dans les pays voisins de l’Afghanistan. Il ne faut pas qu’ils se dirigent vers l’Europe »

    Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2021

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    Le chancelier autrichien Sebastian Kurz était ce samedi en visite à Belgrade. Aux côtés du président serbe, le jeune dirigeant conservateur a rappelé son opposition à l’accueil en Europe des migrants afghans fuyant le régime taliban.

    S’il y a des vagues de migration en provenance d’Afghanistan, les migrants doivent être pris en charge dans les pays voisins. C’est pourquoi nous sommes en contact avec les pays de cette région“, a-t-il souligné, “il ne faut pas qu’ils se dirigent vers l’Europe“.

    La Serbie se dit également sur ses gardes. “Ceux qui partent d’Afghanistan ont un objectif clair : l’Europe de l’ouest et les Etats-Unis. Ils ne sont pas nombreux à vouloir rester dans les Balkans occidentaux. Nous nous montrerons solidaires avec tous, mais nous ne serons pas le lieu où ils pourront stationner“, a averti le chef de l’Etat serbe Aleksandar Vucic.

    Euronews via fdesouche