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  • Ukraine – La Cia commence à s’inquiéter d’un effet Kaboul : à qui reviendra l’arsenal ?

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2022

    Dernièrement, au risque de se mettre à dos une bonne partie de ses alliés,  le chancelier allemand Scholz a affirmé concernant la livraison d’armes à l’Ukraine :

    « il faut désormais reconnaître que nous sommes arrivés à nos limites ».

    A l’instar des Etats-Unis qui cependant sont exempts de guerre sur leur sol, divers pays européens continuent à envoyer du matériel militaire à Zelensky, pour le plus grand avantage du lobby militaire américain, de l’OTAN et de la puissance impériale de l’oncle Sam en déclin.

    Pourtant, ces envois massifs commencent à inquiéter la CIA qui fait les comptes des armes expédiées en Ukraine.

    « Au début de la guerre, écrit Il Giornale.it, la liste ne comprenait que les fournitures de 2,7 milliards de dollars arrivées après 2014 et l’ajout d’environ 200 millions de dollars que Biden avait promis en décembre. Après l’invasion russe, elles sont devenus un gouffre sans fond. »

    «  Selon les données officielles du Pentagone et de la Maison Blanche, continue le journal italien, des chargements d’une valeur de 3,4 milliards de dollars sont partis pour Kiev le 24 février. Auxquels s’ajouteront ceux de 800 millions promis par Joe Biden à partir de la semaine prochaine. Bref, des armes d’une valeur d’environ 7,1 milliards de dollars sont passées par les arsenaux de Kiev. Un budget auquel il faut ajouter les commandes, égales à environ 1,6 milliard de dollars payés par les pays européens, et celles, pour plus de 550 millions, payées par le Royaume-Uni. En bref, plus de 9 milliards d’armes dont , comme l’a expliqué hier un responsable du renseignement américain anonyme à CNN, personne ne sait exactement où elles ont fini ni comment elles ont été utilisées. Une inconnue qui n’est pas petite. »

    D’autant plus que la CIA, rappelle Il Giornale «  n’a pas oublié les problèmes qui ont suivi le retrait russe d’Afghanistan en 1989. Immédiatement après, et tout au long de la première moitié des années 1990, la CIA a d’abord dû chasser puis racheter les missiles Stinger qui restaient aux mains des moudjahidines et qui risquaient d’être vendus à des groupes terroristes ou à des pays ennemis prêts à reproduire la technologie. »

    Le cas de l’Ukraine n’est pas différent parce que les armes, une fois distribuées aux émissaires ukrainiens qui les attendent dans les bases de l’OTAN en Pologne, Roumanie et Slovaquie, « deviennent vite introuvables » soutient le journal italien. « Pendant peu de temps on peut compter sur une certaine loyauté, mais dès que les chargements d’armes entrent dans le brouillard de la guerre cette loyauté est réduite à zéro, ils finissent en peu de temps dans un immense trou noir d’où aucune information ne sort », expliquent les sources du renseignement américain à CNN. 

    Des mots qui montrent clairement que l’OTAN, les États-Unis et l’Angleterre n’ont aucun contrôle sur la destination et l’utilisation de ces fournitures. D’où les inquiétudes puisque si seulement un petit nombre de missiles antichars ou antiaériens tombaient entre les mains de groupes incontrôlables, l’Europe se trouverait face à une menace très insidieuse à l’intérieur de ses frontières.

    Et il en va de même pour l’Ukraine. Là-bas, n’importe lequel des divers groupes nationalistes et extrémistes actuellement engagés aux côtés de Kiev pourrait, après un éventuel cessez-le-feu, utiliser ces armes pour tenter de prendre le pouvoir. En raison de ces incertitudes, selon des sources de renseignement entendue par CNN, il devient très risqué, d’accorder trop de crédit à toutes les demandes et à toutes les déclarations venant de Volodymyr Zelensky et de son gouvernement. « Ils sont en guerre et tout ce qu’ils font ou disent publiquement a pour but de leur profiter et de gagner la guerre » expliquent les sources de CNN, rappelant que dans tout conflit la principale préoccupation de ceux qui se trouvent assiégés est de s’assurer une aide et fournitures militaires toujours plus substantielle.

    « C’est précisément la raison pour laquelle la personne qui les fournit doit toujours se rappeler que ces armes pourraient être utilisées contre elle à l’avenir » conclut le journaliste du Giornale.

    Peut-être cette grave considération inspire-t-elle Scholz qui se montre réticent à continuer à armer l’Ukraine, foyer de déstabilisation de l’Europe, ce qui est dans l’intérêt des Etats-Unis mais pas de l’Allemagne.

    La raison commencerait-elle à revenir chez certains va-t-en-guerre de l’Union Européenne ?  

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Souveraineté numérique: via Palantir, la C.I.A. s’est invitée au sein du plus grand incubateur français de startups

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2022

    Palantir, entreprise d’analyse de données proche de la communauté du renseignement américaine, a annoncé s’installer à la Station F, incubateur français de startups , afin de mettre en avant son nouveau programme “Foundry”. Cette implantation suscite des critiques à l’heure où les débats sur la souveraineté numérique européenne et le contrôle des investissements étrangers sont de plus en plus vifs.

    […]

    Bien que réalisant le plus gros de son chiffre d’affaires aux États-Unis, l’entreprise affiche une santé de fer en France, avec une croissance de 28,1 % de ses ventes en France entre 2019 et 2020. Le logiciel équipe entre autres la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) depuis 2015, qui a choisi de reconduire cette collaboration en 2019 pour une durée de trois ans, malgré les critiques de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI).

    La Station F, bâtiment accueillant plus de 1 000 start-ups et propriété de Xavier Niel, a signé un contrat avec Palantir pour une durée d’un an. L’accord prévoit que la société américaine mette sa plateforme à disposition des startups et propose un mentorat, ainsi que des conférences autour de ses activités. L’objectif est d’installer son offre d’analyse de données et de systèmes d’exploitation destinée aux entreprises et aux startups. Si le choix de s’implanter au sein de la Station F est tout à fait pertinent du point de vue de la stratégie de Palantir, la perspective de voir une entreprise aussi proche de la communauté du renseignement américaine s’implanter dans le berceau de la French Tech a de quoi interroger côté français. Ainsi, le député d’Eure-et-Loir, Olivier Marleix, a vivement critiqué l’initiative : “Une entreprise détenue en partie par la CIA via son fonds (sic) In-Q-Tel et biberonnée par la communauté américaine du renseignement… On croit rêver”.

    Alors que l’hégémonie américaine dans le domaine du numérique est de plus en plus critiquée, Palantir pourrait avoir un objectif double : d’un côté surveiller les startups françaises de manière à orienter les prochaines acquisitions d’In-Q-Tel, et de l’autre rendre les startups dépendantes de ses solutions, et ainsi empêcher l’émergence d’un concurrent français. Une mauvaise nouvelle pour les partisans d’une souveraineté numérique française et européenne ?

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  • La Réflexion du Jour : Un Dealer peut en cacher un autre

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2021

    Un Dealer peut en cacher un autre

    Une Réflexion peut être à mettre en lien avec le départ des Etats Unis d’Afghanistan, et leur abandon du juteux marché de l’héroïne au profit de potentats locaux…

    Tout se tient, et la mondialisation n’a pas seulement fait sauter les frontières géographiques, elle a rendue poreuse les délimitations entre argent sale et argent propre. En matière financière il y a une notion très importante c’est la vitesse de circulation de la monnaie. Et la grande lessiveuse à blanchir sert à ça, à augmenter la vitesse de circulation monétaire, pour ainsi à maintenir le système économique US à flot.

     

     

    Actuellement la pompe à fric c’est le vaccin seul collatéral réel de la guerre épidémique, le fournisseur de drogue monétaire aux Etats c’est le Dealer et son argent sale, les Banques centrales et les  Paradis fiscaux servent d’intermédiaire, et transforment le plomb en or. Les Etats Unis ont préféré sous traiter au secteur privé taliban jugé plus performant, plutôt que de continuer à traiter un pan entier  de leur économie via leur armée « publique » devenue avec le temps trop couteuse et dont la mission de formation des autochtones était de toute façon terminée, Trump l’avait déjà annoncé. Money is Money !

    D’une manière globale et indépendamment d’un possible vrai problème sanitaire, la politique du tout vaccin sert à çà : Remettre rapidement dans le circuit monétaire de l’argent frais mais sale, thésaurisé inutilement à contre emploi dans le bitcoin et autre monnaie virtuelle, pour ainsi réinitialiser le système économique occidental dans le but d’empêcher l’écroulement des Etats-Nation criblés de dettes. C’est la réponse complémentaire et indispensable des NéoConservateurs US au grand reset jugé trop « traditionnel » voulu par les Mondialistes. Et tout ceci en fin de compte, vaut bien la vente de quelques bijoux de famille par la CIA.

     

     

     

    Source : leblogalupus

  • Quand la CIA empoisonna un village français

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2020

    Alors qu’on apprend qu’un rapport de la CIA avait imaginé il y a plus de dix ans tout le scénario du coronavirus, il faut se souvenir de l’affaire de Pont-Saint-Esprit, un petit village français qui, en 1951, a servi de lieu d’expérimentation des effets du LSD par la CIA, comme seize autres localités.

     

     

     

    Source : medias-presse.info