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  • Dégringolade de la maison Disney : comme quoi la cancel culture peut coûter cher…

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

    de Marie Delarue (source) :

    « Le 11 mai dernier, on pouvait lire, dans Le Figaro Économie, que le cours de Disney « a plongé de 32 % depuis le début de l’année », et « encore reculé de plus de 3 % mercredi soir […] après la clôture du New York Stock Exchange ». Conclusion de l’épisode : « Disney reste une des valeurs qui a le plus chuté en quatre mois, parmi les 30 actions représentées dans l’indice Dow Jones. » Cela, même si la fréquentation des parcs du même nom a repris avec le boom du tourisme post-Covid.

    On apprend, aujourd’hui, que la cote de popularité de la grande maison est elle aussi sur la pente savonneuse. C’est ce qui ressort d’un sondage réalisé par Hart Research Associates/Public Opinion Strategies à la demande de NBC News auprès de 1.000 adultes interrogés du 5 au 10 mai. Soit une chute de 77 % à 33 % d’opinions favorables en un an.

    Il faut dire que « plus “genrément” correct que Disney, tu meurs ! » La maison de Mickey se veut, en effet, en pointe dans la lutte contre les discriminations de tout poil. Aussi a-t-elle entrepris, dans cette optique, de revisiter tous les classiques ou presque qui ont enchanté notre enfance. Et s’ils ne le sont pas, ils sont interdits au visionnage des enfants sur Disney+ sans un consentement parental explicite.

    Parmi les célébrités visées par les nouveaux gardiens de la vertu, citons :

    Les Aristochats : désormais affublés d’un message de prévention et réservés aux profils adultes. La cause : un stéréotype envers les Asiatiques avec le chat siamois qui a les yeux bridés. Idem pour La Belle et le Clochard. Même sanction pour Peter Pan en raison de la façon dont les Peaux-Rouges sont représentés dans le film. Dans Dumbo, ce ne sont pas les grandes oreilles de l’éléphant qui posent problème mais une scène, devenue inregardable, où les corbeaux font caricaturalement référence à des Afro-Américains chantant le blues.

    En mai 2021, une nouvelle polémique a touché Blanche neige et les sept nains, valeur sûre des parcs à thèmes qui s’est refait une jeunesse pour la réouverture post-Covid. Des travaux et de petites nouveautés ont été ajoutés sur certaines attractions, nous dit-on, notamment la scène mythique du baiser du prince venu dire adieu à Blanche-Neige, endormie par le poison de sa méchante belle-mère. Deux journalistes du San Francisco Chronicle s’en sont vivement indignées : comment Blanche-Neige peut-elle être consentante puisqu’elle dort ?

    My body, my choice… Elles réclament une autre fin : « Ne sommes-nous pas d’accord pour dire que le consentement, dans les premiers films de Disney, est un problème majeur ? argumentent-elles. Ou qu’il faut apprendre aux enfants qu’embrasser, quand il n’a pas été établi que les deux parties ont la volonté de s’engager, ne se fait pas ? Il est difficile de comprendre pourquoi Disneyland, en 2021, fait le choix d’ajouter une scène aux idées si rétrogrades sur ce qu’un homme est autorisé à faire à une femme. » Etc.

    Il faut que les petites filles aillent au bout de leurs rêves, a dit Mme Borne, mais pas question de rêver au prince charmant. On peut chanter « Nous entrerons dans la carrière » mais pas « Un jour, mon prince viendra ». C’est caca !

    Problème : priver Blanche-Neige de son prince et introduire un Jedi transsexuel dans le prochain Star Wars risque de se révéler aussi très caca pour les actionnaires de Disney… Sans compter les démêlés de la firme avec Ron DeSantis, le sénateur républicain de Floride et sa loi baptisée « Don’t Say Gay » par ses détracteurs démocrates. Destinée à encadrer l’enseignement scolaire, elle entend lutter contre « l’influence de la théorie du genre et de la théorie critique de la race ». Du côté de Disney, on prétend ne faire que répondre aux exigences des salariés (80.000 en Floride) par une politique propre à « satisfaire toutes les sensibilités, intérêts et préférences ».

    Est-ce que ça satisfait le public ? On dirait bien que non. »

     

    Source : contre-info

  • L’agression de Disney contre les enfants

    Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2022

    L’agression de Disney contre les enfants

    Un baiser entre deux femmes sous les yeux des enfants. L’effusion LGBT+ aura lieu dans un film d’animation Lightyear. La véritable histoire de Buzz dont la sortie en salle est prévue pour le 17 juin. Le film des studios d’animation Pixar (propriété de Disney) raconte l’histoire du film qui a inspiré la ligne de jouets du personnage éponyme de l’univers Toy Story.

    Le 11 mars, Bob Chapek, PDG de Disney , a déclaré que la loi de Floride, qui interdit aux associations de parler de changement de sexe et d‘idéologie de genre dans les écoles qu’à partir de la troisième année, représentait “un autre défi pour les droits de l’homme” et a ajouté que l’entreprise renforcerait son soutien aux militants qui luttent contre des lois similaires dans d’autres États et suspendrait les contributions politiques en Floride.

    Mais je sais qu’il y a encore beaucoup à faire. Je m’engage dans ce travail et pour vous tous, et je continuerai à m’engager auprès de la communauté LGBTQ+ pour que nous puissions devenir de meilleurs alliés.

    Cet engagement passe par une propagande forcenée auprès de la jeunesse. Allen March, coordinateur de production chez Disney :

    Mon équipe est investie pour « montrer des histoires queers » et l’entreprise a créé un indicateur interne pour s’assurer qu’il y a assez de « personnages non-binaires », de « personnages trans » et de « personnages bisexuels » dans mes films.

    Vivian Ware, responsable de la diversité et de l’inclusion chez Disney :

    L’entreprise a éliminé tous les mots de “mesdames”, “messieurs”, “garçons”, “filles” dans ses parcs d’attraction pour créer ce « moment magique » où les enfants ne s’identifient plus à leurs sexes.

    Latoya Raveneau, productrice chez Disney :

    Mon équipe met en place « un ordre du jour gay pas-du-tout secret » et « rajoute régulièrement du queer » dans ses programmes pour enfants.

     

    Source : lesalonbeige

  • Chronique des cinglés

    Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2021

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    Disney avait déjà fait précéder nombre de ses films d’un avertissement sur le fait que l’œuvre véhiculait des « stéréotypes » insupportables. Tellement insupportables que Disney a décidé de les interdire aux enfants.  Sur la plateforme Disney+ ils sont bloqués sur les comptes pour enfants. Ils ne sont plus disponibles que sur les comptes pour adultes.

    Dumbo, Peter Pan, La Belle et le Clochard, Les Aristochats… sont des films X.

    Avec toujours l’avertissement :

    « Ce programme comprend des représentations datées et/ou un traitement négatif des personnes ou des cultures. Ces stéréotypes étaient déplacés à l’époque et le sont encore aujourd’hui. Plutôt que de supprimer ce contenu, nous tenons à reconnaître son impact nocif, apprendre de ce contenu et d’engager le dialogue et de construire un avenir plus inclusif, ensemble. Disney s’engage à créer des histoires sur des thèmes inspirants et ambitieux qui reflètent la formidable diversité de la richesse culturelle et humaine à travers le monde. »

    Les films pour enfants sont donc des films pour adultes (qui doivent être conscients qu’ils ne doivent pas non plus les regarder). Quant aux enfants ils doivent attendre les prochaines productions Disney, qui mettront systématiquement en scène des « familles » LGBT (on l’a déjà vu), des personnages « racisés » et « décoloniaux », où le héros ne sera jamais blanc, avec des scénarios woke et conformes à la « cancel culture »…

     

    Source : lesalonbeige

  • Chez Disney, les princesses célèbrent Hanoukkah…

    Publié par Guy Jovelin le 05 janvier 2020

    Elena d’Avalor est une série de dessins animés réalisée par Disney pour la télévision. Fin décembre, un épisode a été entièrement dédié à la fête juive d’Hanoukkah. Chez Disney, les princesses ne connaissent par contre pas de crèche de Noël…

     
  • Disney se lance dans la propagande transgenre pour enfants

    Publié par Guy Jovelin le 17 août 2019

    Ecrit par Pierre-Alain Depauw

    Disney a offert un nouveau « cadeau » au lobby LGBT en basculant dans la propagande transgenre.

    Citizengo signale que le premier « princesse-homme » est apparu sur la chaîne Disney XD avec la série Star Butterfly. Dans cette dernière Marco, l’un des enfants protagonistes, se déguise en princesse Turdina pour sauver des princesses d’une terrible directrice d’école.

    Quand la directrice découvre qu’en réalité la « princesse Turdina » est un homme, car elle aperçoit des poils sur « sa » poitrine, les autres princesses crient les classiques slogans idéologiques LGBT :
    • « Ça ne prouve rien ! Les princesses peuvent être poilues ! »
    • « Pourquoi est-ce important si c’est un garçon ? »
    • « Il peut être une princesse s’il veut… »
    • « Turdina est un état d’esprit ! »

    Le message (destiné aux enfants) est clair : même les hommes peuvent être des princesses. C’est-à-dire que même les hommes peuvent être des femmes, les garçons peuvent être des filles. Ils le disent clairement : « C’est un état d’esprit ». C’est précisément l’essence même de l’idéologie du genre, et ils essaient d’en convaincre — pour ne pas dire endoctriner — nos enfants et petits-enfants.

    Notez aussi que Star Butterfly est un personnage qui apparaît au début de la série comme une fille blonde qui porte en permanence dans les cheveux un cerceau rouge surmonté de deux cornes de démon.

    Disney est une des entreprises qui produit le plus de dessins animés, diffusés au cinéma, à la Télévision (et sur internet), regardés par les enfants. Depuis plusieurs années, Disney participe à l’endoctrinement des enfants en insérant dans ses productions des allusions LGBT. C’est également le cas dans les parcs Disney. Pour expliquer cela, il faut savoir que des militants LGBT occupent des postes clés dans la direction de Disney, aux Etats-Unis et en Europe.

     

    Source : medias-presse.info