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  • Fabien Bouglé : «L’Allemagne mène une offensive terrible pour détruire EDF»

    Publié par Guy de Laferrière le 20 février 2023

    Fabien Bouglé : «L’Allemagne mène une offensive terrible pour détruire EDF»

    Fabien Bouglé, expert en politique énergétique et auteur de l’ouvrage “Nucléaire, les vérités cachées” aux Éditions du Rocher, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Ensemble, ils s’intéressent aux raisons des difficultés d’EDF.

     

    Source : lesalonbeige

  • EDF : Gribouille au pouvoir !

    Publié par Guy Jovelin le 22 février 2022

    Gribouille a visiblement pris le pouvoir, non à EDF, mais sur EDF.

    On le constate, hélas, sur de nombreux sujets :

    1. L’État vient d’imposer à EDF, grâce à ses 84 % du capital, de s’auto-amputer de pas moins de 8 milliards d’euros.

    Aucun tribunal, saisi par un actionnaire minoritaire, ne manquera d’annuler cette décision qui est un cas d’école d’abus de biens sociaux par un actionnaire majoritaire.

    2. Obliger EDF à acheter des mégawattheures sur le marché à 200 € pour les vendre à ses propres concurrents privés à 46 € va créer un scandale aux proportions sans doute sous-estimées par l’État

    3. Si l’opération va, malgré tout, jusqu’au bout, la situation financière d’EDF sera tellement fragilisée que l’État devra recapitaliser EDF en urgence lorsque, fin février, l’entreprise fera connaître ses résultats et ses perspectives.

    4. Mais, de toute façon, EDF, déjà fort à la peine pour financer ses investissements actuels, sans parler des dizaines de milliards nécessaires au « grand carénage » des réacteurs actuellement en service, et aux nouveaux EPR, va se heurter à un mur, d’ores et déjà concrétisé par la dégradation de sa cote par les agences internationales de notation financière.

    5. Et tout cela pourquoi ? Parce que la proximité des échéances électorales tétanise le gouvernement qui veut retarder à tout prix – c’est le cas de le dire ! – la vérité des prix de l’énergie : calcul à courte vue, car les 16 milliards ainsi gaspillés (8 à EDF, 8 en perte de taxes) devront, non seulement être compensés l’an prochain, mais seront très probablement suivis d’autres milliards, la flambée des prix de l’énergie ne pouvant s’arrêter par la seule puissance du verbe de M. Bruno Le Maire.

    N’était-ce pas Gribouille qui se jetait à l’eau pour échapper à la pluie ? Il a trouvé un digne imitateur.

     

    Source : les4verites

  • Macron jette donc par la fenêtre, à toiut va, NOTRE argent...

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2022

     À trois mois des élections, Macron traficote les prix et les taxes, et va contraindre EDF à baisser son prix de l'électricité. Coût pour EDF : environ 8 milliards, que l'État devra bien compenser, mais seulement une fois l'élection passée. Le seul problème, c'est que "l'État", cela n'existe pas(pas plus que la sacro sainte "gratuité") : l'État, c'est le contribuable, c'est-à-dire chacun de nous, chacun de nos porte-monnaie. Rien n'est gratuit sur terre (en France, pas plus qu'ailleurs), aucune perte de recette n'a lieu sans que, au final, ce soit les citoyens qui payent. Pour se faire ré-élire, Macron jette donc par la fenêtre, à toiut va, NOTRE argent...

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    Piratage, brigandage...

     

    Source : lafautearousseau

  • Électricité : les Français condamnés à payer pour un marché qui n’est pas le leur.

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2021

    Il est à espérer que les Français vont enfin comprendre dans quelle impasse les a menés la pantomime du tarif de l’électricité à laquelle ont souscrit les dirigeants français, ces dirigeants parfaitement incompétents qui ne comprennent rien au marché de cette énergie.

    edf,électricité,france,gestion lamentableIl était autrefois l’EDF. Créée au lendemain de la guerre, elle était un État dans l’État, mais aussi une entreprise dont les ingénieurs dirigeants avaient compris que l’énergie disponible est le facteur fondamental qui permet le développement économique d’un pays. Force est de constater qu’elle a accompli sa mission de façon remarquable, d’abord par ses aménagements hydrauliques (2.300 barrage, dont 433 exploités par EDF), et ensuite par la construction de 19 centrales nucléaires regroupant 58 réacteurs (18 et 56 aujourd’hui, hélas).

    L’EDF était une entreprise une et indivisible qui fonctionnait selon un monopole, et qui a permis à la France d’avoir en abondance et sans la moindre panne (sauf intempéries) l’électricité la moins chère du monde.

    Cette situation ne pouvait pas convenir aux gnomes de Bruxelles. Mon Dieu, un monopole ! disaient les Bruxellois. Mon Dieu, ces Français font mieux que nous ! disaient les Allemands. Mon Dieu, le nucléaire ! disaient les imbéciles !

    On va donc faire un marché unique de l’électricité dans lequel les Français sont obligés d’introduire la concurrence ! Pire : M. Macron, petit garçon obéissant, en profite pour fermer Fessenheim et ses deux réacteurs nucléaires.

    Marché unique : le prix de l’électricité sera désormais indexé sur le coût marginal, c’est-à-dire le coût du dernier kilowatt produit. Autrement dit, quand la demande oblige à démarrer les centrales les moins rentables, celles qu’on garde en secours, le prix de vente de toute l’électricité s’aligne sur le prix de revient des centrales les plus chères. C’est la vente au coût marginal, chère aux économistes de Bruxelles, la seule qui peut fonctionner dans une  de libre concurrence (sinon, les dernières centrales s’arrêtent).

    Or, l’électricité la plus chère est celle qui provient des centrales à gaz, en raison du coût exorbitant de cette énergie. Voilà pourquoi le prix du kWh, en France, est indexé sur le prix du gaz, alors que notre électricité est nucléaire.

    L’alignement sur le prix des centrales les plus chères en  est le résultat mécanique 1) de la disparition du monopole et 2) de la concurrence obligatoire imposée par Bruxelles.

    Ainsi Bruxelles, par ses attaques répétées contre notre système électrique – probablement le meilleur en Europe – et par l’obsession antinucléaire pilotée par les Allemands, est parvenue à affaiblir dangereusement la production électrique française.

    Au point que la France va devoir importer de plus en plus. Ainsi, peu de temps après la fermeture de Fessenheim, on passait commande à l’Allemand Siemens de la construction d’une centrale au gaz à Landivisiau, avec contrat de maintenance sur vingt ans et fourniture du gaz venant de  par les Allemands. Donc, des importations au prix fort et le risque de chantage du fournisseur en prime.

    Mais ce n’est pas tout. RTE, devant l’affaiblissement de notre réseau, a préparé un plan de coupures électriques qui sera appliqué cet hiver en cas de grand froid. Ce sont des coupures tournantes de deux heures par paquets de 200.000 foyers (soit environ 450.000 personnes).

    Tel est le résultat de la gestion lamentable de nos édiles.

     

    Jean-Marc Frenove

    Economiste et spécialiste des énergies
     
  • Vers l’apocalypse : EDF recrute ouvertement des immigrés « réfugiés » pour ses installations nucléaires…

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2019

    Auteur : Rédaction
    contre-info.com

    Tout ce cirque va très mal finir…

    « Après un rapide passage sur le terrain, la formation pour être opérateur en salle de commande débutera rapidement.. »

    apocalypse,edf,immigrés

    cliquez sur l’image si vous voulez vérifier

    En annexe, un reportage sur la centrale nucléaire de Kinshasa : source

     

    Source