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esclavagisme

  • Esclavagisme, repentance et ethno-masochisme du roi des Pays-Bas

    Publié par Guy de Laferrière le 03 juillet 2023

    La repentance du roi des Pays-Bas
    La repentance du roi des Pays-Bas

    Samedi, le roi des Pays-Bas Willem-Alexander, très impliqué dans le club Bilderberg, a fait acte de repentance lors d’une cérémonie commémorant les 150 ans de l’affranchissement des esclaves dans les anciennes colonies, en présence d’immigrés et de descendants de personnes du Suriname et des îles caribéennes d’Aruba, Bonaire et Curaçao.

    Les commémorations – appelées “Keti Koti” (“briser les chaînes” en sranantongo, l’une des langues du Suriname) – marquant la fin de l’esclavage dans les colonies néerlandaises ont lieu chaque année à Amsterdam.

    En décembre, le gouvernement des Pays-Bas avait déjà présenté des excuses officielles pour le passé esclavagiste de ce pays.

    Le discours du roi des Pays-Bas prononcé depuis l’Oosterpark d’Amsterdam a été retransmis en direct à la télévision nationale.

    Depuis l’émergence du mouvement Black Lives Matter financé par George Soros, les Pays-Bas se sont lancés dans une repentance publique sur son passé colonial qui en a fait l’un des pays les plus riches du monde.

    Selon un rapport commandé par le ministère néerlandais de l’Intérieur et publié en juin, entre 1675 et 1770, les colonies ont rapporté à la famille royale l’équivalent de 545 millions d’euros, à une époque où l’esclavage était très répandu.

    Mais certains milieux immigrés, peu concernés par le sujet, estiment que leur couleur de peau devrait maintenant leur donner droit à des “indemnités”…

    Quant à certains autres esclavagistes, personne n’en parle.

     

     

    Source : medias-presse.info

  • Colonialisme et esclavagisme. L’ONU plaide pour une “justice réparatrice”

    Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2021

    L’ONU appelle les États à prendre des mesures contre le "racisme systémique"

    «Derrière le racisme systémique et la violence raciale d’aujourd’hui se cache l’absence de reconnaissance formelle des responsabilités des États et des autres acteurs qui ont participé ou profité de l’esclavage, de la traite transatlantique des esclaves africains et du colonialisme – ainsi que de ceux qui continuent à profiter de cet héritage», a déclaré Michelle Bachelet, Haute-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme.

    «Des communautés, des familles et des individus ont été privés de leur vie, de leurs moyens de subsistance, de leurs ressources et de leurs droits, et cette situation perdure», a-t-elle ajouté.

    Le Figaro via fdesouche

  • La Suède prévoit de réduire les cours d’histoire à l’esclavagisme, la seconde guerre mondiale, l’immigration et les questions de genre

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2019

    Ecrit par Léo Kersauzie

    Suède – Le Conseil suédois de l’éducation préconise l’abandon de l’enseignement de l’histoire dans les collèges, hormis, bien sûr, la Seconde Guerre mondiale et l’ère postmoderne incluant les questions de genre, le climat et la migration.

    Les plans de cours révisés ont pour prétexte un manque de temps pour les cours d’histoire dans les écoles suédoises. Les élèves des classes de collège doivent se concentrer davantage sur le XXe siècle, en particulier sur l’Holocauste, la guerre froide et les idées qui ont formé la Suède pendant l’après-guerre. Il est aussi explicitement préconisé de sensibiliser l’opinion des élèves aux questions de genre, de migration et de racisme.
    Il y aura cependant suffisamment de temps pour couvrir l’esclavage et le colonialisme occidentaux au cours du XVIIIe siècle et au-delà. Mais les 100 millions de morts du communisme au XXe siècle ne sont pas mentionnés comme un sujet important à étudier dans les programmes d’histoire révisés.

    Les collégiens suédois âgés âgés de 13 à 15 ans n’auront donc plus d’enseignement de l’histoire traitant de la période antérieure au XVIIIe siècle. Il ne leur sera rien enseigné de la Grèce antique, de Rome ou de l’ère de la Grande Puissance suédoise (1611-1718), lorsque la Suède régnait sur les pays du pourtour de la mer Baltique, sujets effacée des cours d’histoire.

    « C’est horrible, bizarre et absurde« , a réagi Dick Harrison, professeur d’histoire et auteur de livres d’histoire. « En tant qu’historien, je suis obligé de réagir. L’idée que les Anciens ne sont pas importants pour comprendre le présent est bizarre et absurde. »

     

    Source : medias-presse.info