Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

genderofolie

  • Genderofolie en Allemagne : changement de sexe possible une fois par an

    Publié par Guy de Laferrière le 17 avril 2024

    Deux députés transsexuels élus au parlement allemand, Tessa Ganserer et Nyke Slawik
    Deux députés transsexuels élus au parlement allemand, Tessa Ganserer et Nyke Slawik

    La coalition centre-gauche-Vert allemande n’aime pas la nature, la vraie, mais le progressisme contre-nature : 374 députés, principalement des partis de la coalition au pouvoir, ont voté pour le soi-disant « acte d’autodétermination » au Bundestag. Ainsi, à partir du 1er novembre 2024, les citoyens pourront changer de sexe tous les douze mois, par simple déclaration orale.

    Les députés allemands n’ont vraiment pas de considération pour les fonctionnaires des services d’Etat Civil : en votant à une large majorité, -374 pour, 251 voix étaient contre, 11 abstentions-, pour le soi-disant « acte d’auto-détermination » au Bundestag, ils permettent aux citoyens à partir du 1er novembre 2024, les citoyens pourront changer de sexe tous les douze mois, par simple déclaration orale.

    La loi d’autodétermination de genre : les citoyens allemands pourront changer de sexe tous les douze mois, par simple déclaration orale

    Trêve de plaisanterie, qui d’ailleurs n’en est pas une, vendredi dernier le parlement allemand s’est prononcé en faveur du projet de loi controversé, qui concerne principalement la simplification du processus de changement de nom et de mention de sexe. Le Bundestag, la chambre basse du parlement allemand, a voté majoritairement pour la loi d’autodétermination de genre (Selbstbestimmungsgesetz), relatent, entre autres, le Tagesschau et le Stern. La loi entrera en vigueur le 1er novembre 2024.

    Cette loi arc-en-ciel vise principalement à faciliter la procédure administrative pour changer de mention de sexe et de nom. Cette loi remplacerait le Transsexuellengesetz, la loi sur les transsexuels, qui considère de facto la transidentité comme un trouble psychique.

    Jusqu’à présent, les personnes voulant changer de sexe devaient fournir un certificat médical et passer devant un tribunal afin d’expliquer leur décision. Cela sera rendu caduque à partir de la mise en vigueur de la loi d’autodétermination.

    Désormais, ce changement sera aussi facile que de mettre une lettre à la poste : il suffira de faire une déclaration à l’état civil pour modifier la mention de sexe ou son nom. La nouvelle loi inclut également les personnes non-binaires, ainsi que, partiellement, les personnes mineures à partir de 14 ans. Selon, la ministre de la famille Lisa Paus, 14 ans serait l’âge approprié pour choisir son sexe et son prénom car c’est l’âge à partir duquel on pourrait choisir sa religion : « C’est donc simplement conforme à la logique de la législation allemande ».

    Les féministes s’opposent à cette loi : après avoir dévirilisé l’homme, elles le voient revenir… déguisé en femme mais légalement reconnu comme tel

    Le délégué ministériel chargé des droits LGBTQIA+ Sven Lehmann, du parti des Verts, assure que cette loi constituera un soulagement massif pour les personnes concernées. Selon lui, cette loi va « faciliter et améliorer considérablement la vie des personnes transgenres, intersexuées et non-binaires », relate-t-il au Redaktionsnetzwerk Deutschland. Selon lui, « la loi sur les transsexuels porte atteinte à la dignité humaine ».

    Cette folie dictée par la culture woke, synonyme de déconstruction, destruction, qui met à mal un peu plus les familles et la société, ne fait pas l’unanimité en Allemagne.

    Etonnement, et excepté les personnes de bon sens, et il y en a encore en Allemagne, c’est un autre courant idéologique ‘minoritaire’, celui des féministes, qui s’oppose à cette loi qui permettra, par exemple, à des hommes ‘transgenres’ de concourir dans des compétitions féminines. C’est un triste retour de bâton pour les plus radicales de ces féministes, qui imposèrent à une époque pas si éloignée, leur diktat sociétal de dévirilisation de la société, d’annulation de la masculinité, de discrimination positive en faveur des femmes, de famille matriarcale, d’invisibilisation des hommes… N’ayant plus leur place, certains hommes que la société féministe a rendu honteux d’être homme croient qu’être femme leur permettra de retrouver une digne place dans la société.

    Le quotidien Bild a ainsi écrit : le 12 avril 2024 est « le jour le plus noir pour les femmes de l’histoire allemande d’après-guerre ». Des décennies de lutte pour les droits des femmes, des espaces sûrs et l’égalité des droits seraient « effacées d’un seul coup », indique le commentaire. « C’est la victoire ultime des hommes sur les femmes. » Car : « Quand les hommes définissent ce qui constitue être une femme et peuvent se déclarer femmes par des actes de parole, s’appropriant leurs droits et leurs espaces de protection, c’est exactement ce dont il s’agit. » Et de conclure : Les quotas pour les femmes sont désormais « abolis de facto ».

    Bientôt l’auto-détermination de son espèces animale ?

    Mais cette loi permettra aussi bien pire que d’abolir des quotas artificiels : « Obliger les femmes à partager leurs espaces sûrs, comme les vestiaires, avec des personnes qui se sont déclarées femmes mais ne veulent pas renoncer à leur barbe et à leur pénis. Forcer ensuite les femmes à percevoir les hommes comme des femmes dans leur vestiaire. Ce n’est rien d’autre qu’une soumission » souligne Bild.

    L’idéologie du genre est plus qu’une folie : c’est un danger, non pour les femmes uniquement, mais pour l’ensemble de la société. Et les députés progressistes allemands sont des criminels. On peut d’ailleurs se demander combien de temps leur faudra-t-il pour voter pour l’auto-détermination de son espèce animale. Ce sera juste un plus compliqué de changer d’état civil en aboyant ou miaulant… mais bon, dans un monde de fou, un peu plus ou moins de folie n’est pas un critère pris en considération.

    On comprend, à la lecture de telle nouvelle, pourquoi la Russie est si acharnée à rejeter la folie occidentale et à préserver ses valeurs traditionnelles. Car ce n’est pas qu’uniquement l’intelligence qui est en péril de mort aujourd’hui, c’est l’Occident tout entier.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Un manequin transgenre de 10 ans, la genderofolie dans toute son abomination

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2022

    Auteur : 

    La gaystapo a encore frappé.

    Faire travailler un enfant pour qu’il ait de l’argent de poche en tondant le gazon du voisin relève de l’esclavage. L’instruire à la maison est une abomination sociale. Le punir corporellement par une fessée relève de la maltraitance. Mais permettre à un enfant de 4 ans de « commencer sa transition sociale », c’est-à-dire de s’identifier le sexe opposé à celui de sa naissance, et de défiler à 10 ans sur un podium de mannequin est considéré une avancée sociale qu’il faut applaudir des deux mains. Le monde arc-en-ciel et progressiste rend les gens fous à lier !

    Ainsi un mannequin ‘transgenre’ de 10 ans devient le plus jeune mannequin à défiler sur le podium de la Fashion Week de New York, sous les regards admiratifs de ses « parents », Dee McMaher, 35 ans, et Ray, 32 ans, eux-mêmes transsexuels. Dee Beth McMaher est une femme dans la trentaine qui s’identifie comme un transsexuel masculin, utilise les pronoms eux/eux et prend de la testostérone depuis un certain temps comme en témoigne sa moustache. Elle a récemment subi une mastectomie ‘esthétique’. Son partenaire, Roy, est également une femme trans qui se croit un homme.

    Selon le site Web de la Point Foundation, McMaher, née Kalick, est une « défenseuse et éducatrice » pour les enfants transgenres depuis 10 ans, à peu près depuis la naissance de Noël. McMaher a eu deux enfants avec un homme qui a perdu leur garde et risque même une peine de prison pour maltraitance d’enfants. Le père, Timothy McCord, s’était en effet opposé à l’identité transgenre de Noël, 4 ans.

    En 2019, McMaher a ‘épousé’ Ray, une femme biologique qui s’identifie également comme transgenre et travaille dans la « justice sanitaire LGBTQ ». Le duo d’invertis semble avoir un autre jeune enfant qu’ils élèvent comme non binaire, se référant à l’enfant comme un « theybie » qui est souvent photographié dans un pull qui dit « sans sexe, c’est mieux ».

    Selon la mère Dee Beth McMaher, son garçon aurait commencé « sa transition » pour devenir une fille à l’âge de 4 ans. Dès ce moment, McMaher emmène son fils en thérapie à la clinique de développement du genre de l’hôpital pour enfants Ann & Robert H. Lurie de Chicago. En 2019, la mère trans déclare au Chicago Parent que Noël subira des « chirurgies de genre » à 16 ans, mais qu’en attendant l’enfant prend des bloqueurs de puberté et de l’hormonothérapie.

    S’adressant à Reduxx sur l’affaire, Sinead Watson, une transgenre repentie, a exprimé son incrédulité face aux détails troublants.

    « Je ne peux pas croire que cet enfant se soit identifié ainsi à un si jeune âge. Je ne peux pas croire que cet enfant – ce bébé – se soit affirmé du mauvais sexe dès l’âge de 2 ans. Et qu’il ait demandé un changement juridique à 6 ans. Toute cette affaire est odieuse. »

    « Que les parents de cet enfant soient tous les deux « trans » ou « queer » ne me surprend pas. Ils imposent leurs propres idées idéologiques à leur bébé innocent. »

    Ayant fréquenté le milieu transgenre pendant 3 ans, Sinead Watson considère que le phénomène n’est pas nouveau : elle a vu des histoires de parents imposant une transition sexuelle à leur enfant dès 2015.

    « Comme pour la contagion sociale chez les enfants vulnérables, on voit de plus en plus de parents atteints du syndrome de Münchausen par procuration. Ce ne sont pas les enfants qui sont trans, ce sont les parents qui veulent qu’ils soient trans. »

    Sinead Watson n’hésite pas à considérer comme de « la maltraitance d’enfants » le projet de la famille de faire subir à Noël des « chirurgies sexuelles » à 16 ans.

    « Tant d’enfants seront blessés par cela à l’avenir. Tant. Je ne peux rien dire d’autre sauf que je suis absolument dégoûtée par ce que ces gens font à ce pauvre enfant. Impardonnable. »

    La transition de genre dès l’enfance est devenue une préoccupation croissante ces dernières années, car beaucoup ont été témoins d’une explosion dans les cliniques de genre d’ « enfants trans ». Selon Gender Mapper, l’Amérique du Nord a vu le nombre de cliniques pédiatriques d’identité de genre passer d’une poignée à « plus de 200 » en seulement 10 ans.

    Le 25 février, l’Académie nationale de médecine de France a publié un communiqué à l’intention de ses membres professionnels notant qu’elle avait pris conscience d’une « forte augmentation de la demande » de jeunes et d’adolescents cherchant des services d’identité de genre. L’Académie l’a qualifié de « phénomène de type épidémique » et a averti les cliniciens de faire preuve de prudence lorsqu’ils traitent avec des jeunes présentant des problèmes d’identité de genre.

    Mais les professionnels de la santé français ne sont pas les seuls à être inquiets par ce phénomène forgé par les lobbies lgbtqi+ et dérivant de la mode. À l’échelle mondiale, plusieurs pays et autorités sanitaires ont pris des mesures pour essayer d’arrêter ou de restreindre la transition sexuelle de l’enfance, citant des conséquences négatives à long terme pour l’enfant.

    Cette affaire illustre à ‘merveille’ la folie de l’idéologie du genre et le ses adeptes fous : c’est toute une jeunesse qu’on assassine !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

      

  • Genderofolie : les hommes trans pourront participer aux compétitions féminines aux JO

    Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2021

    On vit non une époque renversante mais transversante. Dans le sport, le transsexualisme a pris le pouvoir au propre et au figuré.

    Le Comité international olympique a annoncé de nouvelles directives pour la participation des athlètes transgenres aux compétitions féminines. La participation des hommes aux compétitions féminines a été libéralisée sans aucune restriction. Il vient d’abolir les règles sur les niveaux d’hormones pour les athlètes « féminines » trans de sexe masculin. Les directives régissant le niveau de testostérone dans le corps d’un athlète ont été assouplies et sont désormais considérées comme « médicalement inutiles » par le CIO.

    C’est une mauvaise nouvelle pour les stars du sport féminin d’élite, une gifle face à la réalité, une énième violence et discrimination envers les femmes. En faisant concourir des hommes qui se croient femmes dans les compétitions féminines, le CIO aura immanquablement sur le podium son champion trans. De quoi complaire à la gaystapo arc-en-ciel et son idéologie de genre, et tant pis pour l’offense faite aux athlètes féminines.  Car ces règles profitent aux athlètes nés de sexe masculin qui n’ont plus à réduire artificiellement leur taux de testostérone à l’approche de la compétition, et seront donc à peu près certain de gagner. 

    « Les athlètes nées de sexe féminin souhaitant concourir contre des hommes n’ont pas non plus d’obstacles, mais pouvez-vous n’en nommer qu’un ? » ironise le journaliste britannique, Damien Wilson

    La décision de ces derniers jours n’est que la dernière étape d’une escalade dans les délires lgbtqi+, le tout toujours au nom de la tolérance intolérante qui efface toutes les différences et nie la nature biologique, et même si pour arriver à cette indifférenciation faut-il sauter de contradiction en contradiction. Après le féminisme fanatique qui a voulu abolir les différences entre les hommes et les femmes, voilà le transsexualisme qui veut effacer les différences entre les femmes et les hommes, et par là inaugure à nouveau le triomphe de la tant honnie « masculinité » soit-elle féminisée.

    Sans surprise, cette décision genderophile a été célébrée comme une victoire par la presse et les lobbies arc-en-ciel, qui exigent l’élimination de la précieuse différence « féminine », ayant comme but ultime l’abolition complète de Dieu le Créateur.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Genderofolie : un père de famille canadien emprisonné pour s’opposer au changement de sexe de sa fille

    Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2021

    On sait le Canada de Trudeau très en phase avec l’idéologie du genre. La révolution arc-en-ciel y est fait la loi au sens figuré comme au sens propre. Robert Hoogland, père d’un mineur canadien qui s’oppose aux thérapies de transition sexuelle de sa fille (pour paraître un homme), a été condamné à 6 mois de prison et à une amende de 30 000 $ après deux ans de combats. Sa faute ? Aimer sa fille, la considérer comme une fille et ne pas garder le silence sur les expériences chimiques auxquelles elle est soumise. Un père condamné parce qu’il veut être père jusqu’au bout.

    En mars dernier, MPI vous faisait part de l’histoire de ce père de famille qui risquait la prison pour s’être opposé au changement de sexe de sa fille de 14 ans. Rob Hoogland avait décidé de ne pas signer le « consentement éclairé » pour que sa fille de 14 ans subisse un traitement de changement de sexe, qui comprend, entre autres procédures, l’administration de bloqueurs de puberté.

    L’affaire dramatique a commencé en février 2019, la Cour suprême de la Colombie-Britannique à Vancouver, au Canada, avait ordonné que la fille de Hoogland commence à recevoir des injections de testostérone à l’âge de 14 ans, indépendamment du consentement des parents. Le tribunal avait également statué que si l’un des parents de la fille l’appelait « comme une fille ou avec des pronoms féminins », ce parent serait reconnu coupable de violence familiale. Déjà le même jour, le père de la fille, Robert Hoogland, avait déclaré qu’il refusait d’obéir à la demande simplement « parce que », a-t-il protesté, sa fille « est une fille. Son ADN ne changera pas à travers toutes ces expériences qu’ils sont en train de faire ». Par conséquent, l’homme n’avait pas gardé le silence.

    En janvier 2020, son appel ayant été rejeté, ce père désespéré avait donc commencé à accorder des entretiens dans lesquels il critiquait les médecins impliqués dans la prescription d’hormones mâles à sa fille, précisant que « si dans 5 ou 10 ans ma fille venait à me demander ‘’pourquoi aucun de vous n’a rien fait pour tout arrêter?‘’, je lui dirai que j’ai fait tout ce que j’ai pu et, même quand il n’y avait rien d’autre à faire, j’ai continué pour les autres parents. »

    En mars 2021, Hoogland avait été arrêté sur ordre de la Cour suprême de la Colombie-Britannique pour s’être prononcé contre les injections de testostérone ordonnées par le tribunal pour sa fille adolescente. Il s’était vu refuser la libération sous caution et le juge Michael Tammen avait ordonné d’emprisonner le père de famille jusqu’au procès du 12 avril 2021, puis à cette même date, il avait été libéré avec l’ordre de ne pas parler en privé ou publiquement de l’affaire.

    Ces derniers jours, la condamnation définitive est tombée : le 17 avril, Robert Hoogland a été condamné à 6 mois de prison et à une amende de 30 000 dollars.

    Robert Hoogland représente un premier cas de « prisonnier d’opinion » en raison de son opposition à l’idéologie du genre ! La Gaystapo a frappé… et frappé violemment.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Genderofolie : il dit non au changement de sexe de sa fille, il risque la prison

    Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2021

    Tandis que la coronafolie actuelle polarise sur elle l’attention de la majorité des humains, les autres plaies de l’univers post-moderne grossissent progressivement et continuent d’infecter le corps social dans son ensemble.

    Sur le front de la déconstruction des identités, le progressisme va bon train. La genderofolie contemporaine gagne des batailles juridiques contre la famille et la nature biologique dans une indifférence quasi-unanime d’une humanité globalement soumise à la peur de mourir du covid.

    Au Canada, un père de famille risque la prison pour s’être opposé au changement de sexe de sa fille de 14 ans. Rob Hoogland  a décidé de ne pas signer le « consentement éclairé » pour que sa fille de 14 ans subisse un traitement de changement de sexe, qui comprend, entre autres procédures, l’administration de bloqueurs de puberté.

    Le juge a statué que le père ne pouvait pas discuter publiquement de cette affaire, ni s’adresser à sa fille ou à quelqu’un d’autre en parlant d’elle avec son prénom féminin. Il doit utiliser le nom Quinn ou les pronoms masculins.

    Rob n’a pas obéi et le 16 mars il devra faire face à un premier procès qui pourrait le conduire à 10 jours de prison et en avril à un deuxième procès, pour une accusation plus grave, toujours concernant l’interdiction de parler en public : la sentence en cette affaire pourrait aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement.

    Le Canada est depuis longtemps le laboratoire des pires ‘avancées’ idéologiques lgtbqi+. Malheureusement, via l’Union Européenne, cheval de Troie de la genderofolie en Europe, ces régressions civilisationnelles n’attendent pas bien longtemps pour s’imposer de l’autre côté de l’Atlantique.  Demain, ce seront la France, l’Italie, l’Espagne, la Grande-Bretagne n’en est pas loin déjà, qui édicteront de telles sentences homosexualistes liberticides contre des parents normaux.

    La gaystapo arc-en-ciel veut mondialement interdire aux parents conservant un certain bon sens dans ce monde d’inversion et d‘invertis leurs libertés d’éducation et d’expression. Le vieil adage révolutionnaire contradictoire Pas de liberté pour les ennemis de la liberté dans toute sa sombre splendeur !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info