Sète (34) : deux jeunes femmes victimes d’une attaque à l’acide par un groupe de 5 à 6 individus qui étaient assis sur un trottoir

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2022

Jeanne 22/08/2022 à 12h29

 

L’agression s’est produite dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 août dans le quartier de l’île de Thau à Sète.

En marge de la fête de la Saint-Louis, dimanche 21 août à 3 heures du matin, deux jeunes filles qui revenaient d’une soirée à Montpellier ont été aspergées avec un produit irritant qui s’est avéré être de l’ammoniac. D’après une source proche du dossier, ces dernières étaient en train de chercher une place dans le quartier de l’île de Thau à Sète, dont l’une des deux amies est résidente. C’est alors qu’elles ont croisé un groupe de 5 à 6 individus qui étaient assis sur un trottoir.

[…]

 

À l’heure d’écrire ces lignes, les résultats et les conclusions des investigations médicales ne sont pas connus. Selon une autre source proche de l’enquête, “si on ignore les motifs de cette agression, on pense qu’elle peut être le fait d’une nouvelle équipe impliquée dans la vente de stups. Ce sont des mecs qui viennent de l’extérieur et qui mettent la pression pour faire leur place“. Une enquête pour coups et blessures volontaires a été ouverte.

Midi-Libre via fdesouche

Suède : à Uppsala, 4 jeunes Suédoises sur 5 ne se sentent pas en sécurité lorsqu’elles sortent dans la rue, selon une récente étude

Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2019

Par Koba le 18/03/2019

 

Beaucoup de jeunes filles se sentent en insécurité lorsqu’elles se promènent en ville ou quand elles rentrent seules à la maison le soir.

Selon les statistiques de la région d’Uppsala, quatre filles sur cinq ne se sentent pas en sécurité lorsqu’elles sont dans la rue.

Dans le rapport « Sécurité des jeunes du comté d’Uppsala », il a été demandé aux jeunes femmes si elles se sentaient en sécurité en ville. Seules deux filles sur dix ont répondu oui à la question. Lorsque l’enquête a été menée il y a six ans, cinq filles sur dix répondaient par l’affirmative.

« Je me promène habituellement avec un groupe de deux ou trois filles et des garçons. En groupe, on se sent plus en sécurité », explique l’une des filles rencontrées en ville.

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SVT.se via fdesouche