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lgbtqi+

  • L’ONU garde son défenseur des droits LGBTQI+ malgré l’hostilité de pays musulmans à travers l’Organisation de la coopération islamique regroupant plus de 50 pays

    Publié par Guy Jovelin le 13 juillet 2022

    La mission du défenseur des droits des minorités LGBTQI+ auprès des Nations unies était contestée par l’Organisation de la coopération islamique (OCI), qui défend les intérêts des pays musulmans à l’ONU.

    “Un résultat important”, s’est félicité auprès de l’AFP Victor Madrigal-Borloz, qui occupe le poste depuis 2017. Le défenseur des droits des minorités LGBTQI+ auprès des Nations unies a obtenu de justesse le renouvellement de son mandat, malgré la lutte acharnée d’un groupe de pays musulmans dans toutes les arènes onusiennes. Sa mission, créée en 2016, a été renouvelée la semaine dernière à Genève par le Conseil des droits l’Homme, pour trois ans supplémentaires.

    […]

     

    Un groupe de pays africains et du Golfe, menés par l’Arabie saoudite, le Nigeria et l’Égypte, refusaient en particulier l’utilisation des termes “orientation sexuelle”“transgenre” et “hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes”“Nous ne pouvons soutenir des efforts visant à inventer de nouveaux droits sur la base de préférences sexuelles personnelles”, a plaidé au Conseil des droits de l’Homme l’ambassadeur pakistanais Khalil Hashmi, au nom de 56 États qui, sauf l’Albanie, sont tous les membres de l’OCI.

    […]

     

    TETU via fdesouche

  • La révolution Lgbtqi+ toujours plus loin : deux femmes inverties partagent la grossesse

    Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2019

    Rien ne semble arrêter la révolution anthropologique et globale lgbtqi+ dans sa volonté de déconstruction sans limites de l’ordre de la nature, qu’elle peut mener à bien grâce à l’appui de médecins apprentis-sorciers et de gouvernements occidentaux acquis à la cause homosexualiste.

    Elles sont deux femmes lesbiennes vivant ensemble qui voulaient avoir un enfant et se sentir mères pareillement. Donna et Jasmine Francis-Smith, on ne sait pas de qui est le patronyme, “mariage” pour tous oblige, ont partagé la grossesse de Otis né le 30 septembre dernier à Colchester, en Angleterre. L’œuf appartient à Donna, « il a été fécondé et ensuite introduit dans mon corps pendant 18 heures », explique la jeune femme au The Telegraph. « Puis il a été introduit dans le corps de Jasmine et elle est tombée enceinte » continue-t-elle. « Avec beaucoup de couples de même sexe, c’est l’un des deux qui fait tout le travail. La femme tombe enceinte et donne naissance à un enfant. Grâce à cette technique, nous avons vécu et éprouvé de la même manière la grossesse. Cela nous a rapprochées encore plus ».

    Le docteur Kamal Ahuja, directeur du London Women’s Clinic et maître d’œuvre de cette grossesse a déclaré que c’était « la première naissance dans le monde après une grossesse partagée ».

    « Toute la procédure a été une expérience extraordinaire et nous avons eu tout ce que nous voulions de cela » a souligné de son côté Jasmine à la BBC. Les deux femmes se sentent ainsi « égales dans tout le processus » de la maternité a-t-elle ajouté.

    Cette affaire engendre quelques réflexions : plus que jamais le droit artificiel à l’enfant, couplé au choix individuel de l’avoir par toutes sortes de moyens sauf le plus naturel qui soit, supplante la plus minime des considérations éthiques et le droit naturel de l’enfant à avoir un père et une mère.

    Le ressenti individuel l’emporte dans les esprits mais aussi dans le droit sur la réalité naturelle, il devient la norme sur lequel se fonde la filiation des générations futures : ces deux femmes se croient mères biologiques à part égale, alors que dans la réalité seule l’une d’elle l’est biologiquement. Quant au père, même s’il est le grand absent de la vie de cet enfant, il existe bel et bien quelque part, comme le commande la nature.

    Mais cette affaire soulève cependant une autre question et montre par là les contradictions qui habitent la communauté lgbtqi+. Pour faire passer la GPA, on nous explique, à la remorque de Pierre Bergé, que les femmes ayant le droit de faire ce qu’elles veulent de leur corps elles peuvent donc louer leur ventre comme elles louent leur bras, et que louer son utérus n’affecte pas émotionnellement les femmes qui s’y adonnent. Mais quand on écoute Jasmine, parce qu’elle a porté Otis, elle se sent sa mère, elle estime même être sa mère, à égalité avec la mère biologique. Un lien affectif, et assez naturel d’ailleurs, s’est créé entre elle et l’enfant qu’on lui a implanté dans le ventre et qu’elle a porté pendant 9 mois.

    La révolution anthropologique mondiale qui est en marche sous la pression des lobbies homosexualistes ouvre la voie à un tsunami de troubles identitaires et de souffrances psychologiques, affectives, émotionnelles et morales chez la majorité des enfants issus de ces techniques artificielles et privés arbitrairement d’un parent biologique, mais aussi chez certains des adultes qui y auront eu recours pour contourner la réalité de la nature et de la Création. Les lendemains pour eux ne chanteront pas …

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info