Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2019
Ecrit par Pierre-Alain Depauw
La bien prénommée Maboula Soumahoro, née de parents ivoiriens, occupe une fonction de maîtresse de conférences à l’université de Tours. Elle est censée être une “experte” de la diaspora africaine.
En partenariat avec le Parti des Indigènes de la République, elle avait organisé en 2014 une réunion dont le thème était “L’invention de la race blanche”.
Se réclamant de l’afroféminisme, elle soutient le collectif Mwasi réservé aux femmes de couleur. Elle revendique une valorisation de l’histoire des Noirs en France, nie l’existence d’un racisme anti-blanc, soutient l’organisation d’un “camp d’été décolonial” qui avait la particularité d’être “interdit aux Blancs”.
Or, malgré tout cela, Maboula Soumahoro est régulièrement invitée sur des plateaux de télévision où elle peut déverser sa haine de la France et de l’homme blanc.
Par quel masochisme est-il possible que la France supporte cela ?
Ecoutez ses propos hallucinants tenus cette semaine. “Je n’ai aucune gratitude à exprimer pour la France. Je traite ce pays comme je veux. Votre monde se termine.”, déclare-t-elle, suintante de haine.
« Je n'ai aucune gratitude à exprimer pour la France. Je traite ce pays comme je veux. Votre monde se termine » lance la militante indigéniste Maboula Soumahoro.
« Vous êtes l'apôtre du Grand Remplacement. » #Finkielkraut