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  • Nantes : la maire PS Johanna Rolland accusée de racisme par sa gauche suite à l’annonce de l’arrivée de renforts policiers et de l’installation de nouvelles caméras de vidéosurveillance

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2022

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et la maire de Nantes Johanna Rolland ont rendu public une série de mesures après plusieurs faits divers violents dans la ville. Une coopération vivement dénoncée dans la cité des ducs : écologistes et une partie de la gauche s’en sont pris à l’élue socialiste.

    Le torchon brûle entre Johanna Rolland et une partie de la gauche nantaise. Alors que la maire de la ville – reçue ce 4 octobre place Beauvau –, et le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, ont annoncé des renforts policiers et l’installation de nouvelles caméras de vidéosurveillance pour lutter contre « l’insécurité », les écologistes et une partie de la gauche ont vivement critiqué ces mesures, ciblant directement l’élue socialiste.

    Marianne via fdesouche

  • Saint-Lys (31) : des habitants et l’opposition se mobilisent contre le maire PS qui refuse l’installation d’un centre pour migrants

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2022

    Haute-Garonne : face au refus du maire d'accueillir 120 migrants, la fronde s'organise

    Des habitants de Saint-Lys, mais également l’opposition municipale, contestent la manifestation orchestrée vendredi soir par le maire PS Serge Deuilhé, « mis devant le fait accompli par l’Etat » de devoir accueillir 120 migrants en 2023 dans le cadre d’un CPAR.

    La décision par le maire de Saint-Lys d’organiser vendredi soir une manifestation d’opposition, la plus large qui soit, à l’installation d’un Centre de préparation au retour (CPAR) avec 120 migrants demandeurs d’asile, ne passe pas chez certains habitants de la commune du Savès. « Nous sommes écœurés par ces procédés de la part d’un représentant de l’État, se prétendant de gauche et humaniste », indique, entre autres levées de boucliers, un communiqué signé de « Saint-Lysiens indignés », sans que l’on ait vraiment idée ni de leur nombre ni qui ils sont, eux qui souhaitent conserver l’anonymat.

    « Nous ne comprenons pas la démarche, surtout qu’au dernier conseil municipal le maire a promis une réunion publique d’information sur le CPAR. Cette réunion serait une très bonne chose, car au lieu de risquer de provoquer des émeutes dans la rue, le maire pourrait venir s’expliquer et répondre aux questions des habitants. »

    (…)

    www.ladepeche.fr via fdesouche