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  • La bataille culturelle, c’est aussi celle des mots

    Publié par Guy de Laferrière le 14 juin 2023

    Auteur : 
    Pyrogravure de Projet KO
    Pyrogravure de Projet KO

    Je refuse d’être traité de “collabo-facho” pour avoir peint en 2019 un portrait, pourtant légal, du Maréchal. De même qu’il faut en finir avec la timide “dissidence”, soutenons que les nationalistes sont les “résistants” de notre temps.

    Que ce soit activement (nos gouvernants et leurs laquais fonctionnaires) ou passivement (suffrage universel, obéissance civile par la peur), la France contemporaine est essentiellement constituée de collabos, véritables ceux-là, soumis à la cause mondialiste. L’outil de nos ennemis est cette République de 1793, qui corrompt les âmes. Elle est par nature violente, anti-catholique et anti-française. Il faut le marteler au quotidien, non pas dans nos rangs comme je l’ai trop vu depuis 10 ans, mais auprès de la population qui nous est hostile. Sans tergiversations, affirmer simplement que :

    Leur République détruit méthodiquement notre France depuis 230 ans.

    Vous le sentez comme moi, l’effondrement de cette société est en cours et s’accélère depuis 2020. Un mal pour un bien je vous assure.
    L’Ours républicain blessé devient alors d’autant plus méchant qu’il voit sa mort arriver. Les décisions arbitraires qui frappent le (large) camp national ces derniers mois révèlent leur objectif jurisprudentiel : la liberté de réunion nous est désormais interdite car “penser mal” serait un trouble à l’ordre public.
    Alors une question s’impose :

    A-t-on le droit en démocratie de ne pas être républicain ?

    Chers amis, il nous faut réagir face à ce tournant totalitaire sans précédents.
    Inaccessibles au découragement, nous restons soudés et gardons la tête haute, quand bien même le prix à payer pour notre engagement fut l’exclusion sociale. Paria chez soi !
    Seulement soyez convaincus que leurs coups, de plus en plus lâches et décomplexés, valident notre combat pour le bon, le beau, le vrai.

    Le Panache est notre nourriture,
    l’Honneur notre récompense,
    et Jehanne… notre chemin !

    Laurent / Projet K.O

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  • Jean-François Revel commente la féminisation des mots : "Byzance tomba aux mains des Turcs tout en discutant du sexe des anges.

    Publié par Guy de Laferrière le 02 janvier 2023

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    Jean-François Revel commente la féminisation des mots :
    "Byzance tomba aux mains des Turcs tout en discutant du sexe des anges.
    Le français achèvera de se décomposer dans l’illettrisme pendant que nous discuterons du sexe des mots.
    La querelle actuelle découle de ce fait très simple qu’il n’existe pas en français de genre neutre comme en possèdent le grec, le latin et l’allemand. D’où ce résultat que, chez nous, quantité de noms, de fonctions, métiers et titres, sémantiquement neutres, sont grammaticalement féminins ou masculins. Leur genre n’a rien à voir avec le sexe de la personne qu’ils concernent, laquelle peut être un homme.
    Homme, d’ailleurs, s’emploie tantôt en valeur neutre, quand il signifie l’espèce humaine, tantôt en valeur masculine quand il désigne le mâle. Confondre les deux relève d’une incompétence qui condamne à l’embrouillamini sur la féminisation du vocabulaire. Un humain de sexe masculin peut fort bien être une recrue, une vedette, une canaille, une fripouille ou une andouille.
    De sexe féminin, il lui arrive d’être un mannequin, un tyran ou un génie. Le respect de la personne humaine est-il réservé aux femmes, et celui des droits de l’homme aux hommes ?
    Absurde!
    Ces féminins et masculins sont purement grammaticaux, nullement sexuels."