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  • De la Start-up Nation au col roulé…

    Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2022

    De la Start-up Nation au col roulé…De la Start-up Nation au col roulé…

    Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.

    Comment en sommes-nous arrivés là ?

    Comment est-ce que la France est passée d’une nation qui compte, une nation d’ingénieurs (Airbus, Arianne Espace, Dassault, TGV, Nucléaire, Automobile, Marine, MAS, …), une nation culturelle, une nation du luxe, une nation connue pour son art culinaire et son art de vivre, une nation respectée pour son armée (la France est le pays au monde qui compte historiquement le plus de victoires militaires). A la pénurie énergétique, au remplacement de sa culture, et pire, à une mentalité fragile baignée de Wokisme, de véganisme et de défaitisme ?

    Sans honte aucune, notre gouvernement sonne trompettes et carnyx pour, dans une grande messe républicaine, nous expliquer comment nous devons nous chauffer, nous laver, nous déplacer, nous habiller. A la seule fin de réaliser des putatives économies énergétiques ! Notre civilisation en est donc là ? Comme au Liban, nous allons droit vers un rationnement et des coupures énergétiques. Comme les pays sous-développés, nous disposons maintenant d’une énergie rare et chère. En 50 ans, notre civilisation, à force de travail, de sacrifices, et d’ingénierie est passée du cheval à la voiture, de la voiture à l’avion, du rebouteux à l’IRM, de la famine à l’abondance. Et maintenant, nous avons ces gens, qui depuis 30 ans n’ont à aucun moment fait la fierté de la France, qui nous emmènent, l’air béat, sur une pente avec pour horizon le vélo et l’énergie intermittente ! Contraindre nos vies pour cacher les résultats de leurs choix politiques.

    Nous avions eu les prémices de cette main mise sur nos vies à travers les épisodes Covid, où, face à un virus très peu létal, nous nous sommes retrouvés privés de liberté et infantilisés au possible. Le gouvernement ayant réussi l’incroyable manipulation mentale visant à nous faire faire nos propres autorisations de sortie. Nous sommes devenus nos propres kapos ! De l’incompétence totale ou de la panique, peu importe, là encore cet état ne fut que le résultat d’une politique inconsistante et brouillonne. Je n’ose penser « volontaire »… Mais, qui a réagi ? Pas grand monde ! Notre population est devenue faible et peureuse. Aujourd’hui, une partie de nos compatriotes est de nouveau en état de sidération, la France tremble à la vue des restrictions qui s’annoncent. Et surtout au sentiment de plus en plus réel de notre déclassement…

    Un certain Bruno Le Maire, ministre de son état, nous promettait, il n’y a pas si longtemps, « mettre à genoux la Russie », et voilà que six mois après c’est la France qui met un genou à terre. Ce ministre d’Etat est à l’image de tous les gouvernements qui œuvrent à la destinée de la France depuis trop longtemps, et dont les visions stratégiques s’appuient sur des augures et des mantras sans aucune prise en compte de la réalité.

    Nous payons et élisons des politiques afin qu’ils travaillent aux enjeux et intérêts de notre Nation. Mais, au lieu de cela, nous avons, non pas des serviteurs de l’Etat, pragmatiques, mais des idéologues au service d’organismes supra-étatiques. Ces gens défendent et imposent leurs convictions, indépendamment de la nécessaire trajectoire efficiente du pays !

    Où situer le début de cette déchéance ? Pour certains, il faut remonter aux années 70, qui ont vu, et la montée d’un courant idéologique hors-sol dont la manifestation première fut les événements de mai 1968, et un peu plus tard l’instauration d’un système d’immigration incontrôlable avec le regroupement familial. Concernant à proprement parler l’énergie, il faut alors se tourner vers 1992 et le gouvernement de cohabitation Jospin. A partir de cette date, le lobby international-socialo-écolo va mettre en œuvre son idéologie anti-nucléaire, anti-France, et d’une façon plus malthusienne, anti-humains. Le culte rendu à la Terre mère Gaïa, née dans les années 70, devenait alors religion d’Etat. Tout est lié.

    S’en suit un enchaînement de décisions à l’encontre des intérêts de la France. La décision de l’UE, acceptée sans broncher, amenant d’une part à démanteler notre champion énergétique EDF et d’autre part à lui faire vendre sa production à un prix inférieur à son coût de revient, en est un exemple. Plus récemment, le plan de fermeture de notre parc nucléaire, afin de favoriser le business des productions intermittentes et non pilotables que sont l’éolien et le solaire, sont également de dociles acceptations du « Green new deal » imposé par l’ONU (GIEC) et l’UE !

    C’est bien la « transition énergétique » imposée à nos nations qui est la responsable de notre Libanisation actuelle. Les écologistes et tous leurs alliés rouges, nous emmènent droit dans le mur. Une éolienne a un rendement productif de 25%, un panneau solaire de 15%, et ces deux systèmes nécessitent de la matière première principalement extraite et raffinée par la Chine. Comment espérer faire une grande nation avec de tels outils ? Ces systèmes sont subventionnés à coût de milliard d’Euros, autant d’argent perdu pour la recherche, les soins, la défense, et plus prosaïquement les retraites. Milliards que nous n’avons pas, et qui donc gonflent la dette. Et maintenant, après nous avoir expliqué que cette voie était l’avenir, nous voyons que le coût énergétique explose (ce qui est normal avec des outils de production très chers et non rentables), et qu’en plus, nous ne sommes pas en mesure d’avoir un niveau de fourniture correspondant à nos besoins (ce qui est normal eu égard les rendements des Energies dites renouvelables). En face, la réaction gouvernementale de la 5ème ou 6ème puissance mondiale, pose de vrais choix, une stratégie à la hauteur de notre grandeur : porter un col roulé, se laver le mains à l’eau froide, faire se lessive la nuit, éteindre les ampoules,…

    De qui se moque-t-on ?

    Dans les mois qui viennent, nous allons être assaillis de slogans aussi stupides que futiles sur la base du triptyque : « Je baisse, j’éteins, je décale ». Décidément nos républicains sont dans de slogan creux, c’est une constante historique… Tout a commencé par le « Liberté, égalité, fraternité » issu des loges maçonniques, puis, bien plus tard, nous avons eu des conseils nutritifs à travers le « éviter de manger gras, salé, sucré », puis il y a peu le « Dedans avec les miens, dehors en citoyen ». Nos gouvernants ne sont que des communicants, qu’ils aillent donc vendre de la lessive !

    Après avoir sali notre Histoire afin de la faire oublier, après avoir retiré la transcendance catholique qui portait et unissait la France, après avoir favorisé une religion violente et inhumaine qui s’est construite sur la haine des Croisés, après avoir nié la culture française qui selon le président n’existe pas, après avoir imposé partout le laid pour faire du beau un relativisme, après avoir vendu notre souveraineté, après avoir abandonné notre monnaie, nos frontières, nos industries. La place a été faite pour la montée de nouvelles idoles déviantes à commencer par l’écologisme et le wokisme. Notre pays est malade, les mauvaises cellules se multiplient de façon chaotique.

    Un traitement s’impose !

    Il n’y a plus rien à attendre des dirigeants politiques, leurs mensonges et leur incompétence parlent pour eux. Un jour, il faudra bien que le peuple sorte de sa torpeur, que les plus courageux, les patriotes, les aristocrates, redonnent un destin, et pour cela qu’ils boutent loin de la nation du Lys les forces rouges qui le corrompent depuis trop longtemps. La crise énergétique n’étant qu’une manifestation d’un déclassement plus profond. Qu’une résultante du grand remplacement non seulement civilisationnel, mais aussi, culturel, intellectuelle et technique.

    Jean Raspail, qui a été rappelé à Dieu, a dit il y a quelques années : « Le dernier carré de fidèles et de combattants est composé de patriotes, attachés à l’identité et au terroir. Ils s’insurgent contre la fraternité générale et le métissage… », il pourrait rajouter aujourd’hui « Ils se lèvent contre l’incurie de nos dirigeants, pour les chasser de leur poste, et préparer le chemin à celui qui s’avérera légitime pour redonner à la France sa grandeur, et à son peuple fierté et honneur ! »

     

    Source : lesalonbeige

  • “Une Nation, c’est une culture, des émotions partagées. Si l’on réfléchit honnêtement à la situation, qu’est-ce que la Nouvelle-Calédonie a de Français ?” Jean-Michel Aphatie

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2020

     
     
     
    jean-michel aphatie
    @jmaphatie
     
     
    Une Nation, c’est une culture, des émotions partagées. Si l’on réfléchit honnêtement à la situation, qu’est-ce que la #NouvelleCaledonie a de Français? Rien, sinon la force des armes à un moment de l’histoire. Ceci ne peut valoir pour l’éternité.
     
     
     
    Les Calédoniens ont confirmé leur souhait de maintenir la Nouvelle-Calédonie dans la France. C'est une marque de confiance dans la République. J’entends aussi la voix de ceux qu’anime la volonté de l’indépendance. Nous construirons tous ensemble la Nouvelle-Calédonie de demain.
     
     
    Source : fdesouche
  • Le président polonais rappelle qu’il n’y a pas de Nation sans les Familles

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2020

    Auteur : 

    Le président polonais récemment réélu a réitéré son engagement à soutenir la famille traditionnelle dans des commentaires liant la protection de la famille à la survie de la nation polonaise.

    Le président Andrzej Duda, 48 ans, a accordé une interview à EWTN alors qu’il était reçu au Vatican la semaine dernière.

    «Il n’y a pas de nation, pas d’État sans une famille qui a des enfants, ce qui à son tour provoque le renouvellement des générations, ce qui signifie que la nation demeure et qu’elle peut créer un État», a déclaré Duda.

    «Donc, si quelqu’un se considère comme un patriote polonais, si quelqu’un pense que la Pologne devrait rester, que notre nation devrait continuer à exister, alors il ne devrait y avoir aucun doute que la famille dans tout cela a une signification fondamentale. C’est comme ça que j’aborde ça.»

    Le président polonais a également rappelé à EWTN que la protection de la famille traditionnelle, la définition du mariage comme une union entre une femme et un homme et le droit des parents d’élever leurs enfants selon leurs convictions sont inscrits dans la Constitution polonaise.

    «Et je n’hésite pas à en parler à l’Union européenne. Mais je travaille, je sers la Pologne, c’est mon devoir. Et comment les politiciens d’autres pays, d’autres présidents abordent cela, c’est leur prérogative. Et ce sont leurs sociétés qui les tiennent responsables. C’est ma démarche. Et c’est aussi une approche chrétienne.»

    Le président Duda s’est engagé dans sa récente et fructueuse candidature à protéger la famille polonaise de ce que certains politiciens polonais ont appelé une idéologie LGBT «étrangère» ou «occidentale». Dans sa «Family Card» (liste de politiques), Duda a promis d’empêcher l’adoption d’enfants par des homosexuels et de maintenir la «propagande de l’idéologie LGBT» hors des institutions publiques. Il a également insisté sur le droit des parents de décider de «l’esprit» qui façonnera leurs enfants et a promis un soutien à l’instruction des enfants à la maison. 

    Plus tôt ce mois-ci, Duda est devenu le premier président polonais à participer à la Marche annuelle pour la vie et la famille à Varsovie. 

     

    Source : medias-presse.info

  • Villeurbanne : mort d’un homme, suicide d’une nation !

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2019

    L’agression commise par un Afghan, « demandeur d’asile », a suscité une réaction significative chez ceux qui depuis de longues années sont, au pouvoir, les complices de l’immigration dont souffrent les Français : ils ont aussitôt soulevé un quadruple nuage de fumée pour voiler la réalité et dissimuler leur lourde responsabilité. D’abord, ouf ! Ce n’est sans doute pas un acte terroriste. La belle affaire : il s’agit bien d’un immigré, sans doute clandestin à l’origine, qui demande l’asile pour ne pas être expulsé et bénéficier des aides prévues. Ensuite, c’est sans doute un déséquilibré ou un drogué qui n’a pas été repéré et suivi, comme s’il était naturel que services sociaux et médicaux se mobilisent en priorité pour des étrangers qui n’ont aucune raison d’être présents sur le sol national. En troisième lieu, la main sur le coeur ils nous disent que les services de sécurité ont été irréprochables, que la police et la justice travaillent dans le sérieux et sérénité, et qu’il convient dans un premier temps de ne penser qu’aux victimes… C’est un peu tard, non ? Un élu a le toupet de parler de fatalité, parce que bien sûr la présence d’un Afghan en France est une fatalité qui n’a rien à voir avec la volonté politique et le laxisme judiciaire ! Enfin, comme d’habitude on se dit outré que la droite puisse récupérer le drame…

    Peu importe que l’Afghan qui a assassiné un Français et blessé grièvement plusieurs autres soit un terroriste ou non. Peu importe qu’il soit sain d’esprit ou non : il n’avait pas à être là ! L’Afghanistan est un pays dont la violence est légendaire. Ni les Britanniques, ni les Russes, ni les Américains et leurs alliés n’ont pu y instaurer leur domination. L’orgueil tribal, le fanatisme religieux et un goût immodéré pour la guerre rendent ce peuple très divers indomptable dans l’ensemble. 90 soldats français y sont morts sans doute pour rien : il est probable que les Talibans sortis par la porte en 2001 reviendront par la fenêtre. Ils contrôlent déjà une grande partie du territoire. Et il faudrait que la France ouvre ses portes avec générosité aux ressortissants de ce pays dont les relations avec la France sont ténues ?

    Le drame de Villeurbanne ne pose qu’une question : celle de la politique migratoire de l’Europe et de la France. Le meurtrier bénéficiait d’un logement dans un centre d’accueil et d’une carte de séjour temporaire. Or, il semble avoir deux identités distinctes, et trois dates de naissance différentes. Il serait déjà venu en France en 2009, et y serait depuis 2016. Il aurait séjourné dans plusieurs autres pays européens, l’Allemagne, l’Italie, la Norvège et il prétend avoir reconnu dans sa victime une personne rencontrée au Royaume-Uni… On ne peut qu’être effaré par ce constat : un individu qui n’a rien à faire en Europe peut la parcourir sans qu’on ait une idée claire de son identité, et il peut obtenir un titre de séjour, un logement et sans doute un certain nombre d’aides en France ! On dira qu’il n’était pas connu des services de police et qu’il n’était pas radicalisé…. Mais son acte, même s’il est la conséquence d’un déséquilibre mental plus ou moins passager, peut-être provoqué par l’usage de stupéfiants, porte la marque d’un pays, d’une culture qui ne sont pas les nôtres : l’usage de l’arme blanche, l’invocation religieuse délirante ont donc conduit à la mort d’un jeune Savoyard. Ce n’était pas une fatalité : ce Français est la victime du laxisme et de l’irresponsabilité qui règnent dans notre pays, en premier lieu chez les dirigeants politiques. Ceux-ci ont ouvert les portes de la France au point d’en faire une passoire accueillante, attirante même. Y viennent et y séjournent des individus mal identifiés, dont les motivations sont confuses entre souhait de quitter un pays où l’on vit mal, volonté de trouver du travail et désir de vivre aux frais d’un Etat qui n’est pas le sien. Rares sont ceux qui sont réellement menacés dans l’ensemble de leur pays d’origine, plus rares encore sont ceux qui ont des engagements politiques réprimés là où ils vivent et qui les obligent à chercher une terre d’asile. Les demandes devraient donc être instruites pour la plupart au départ, et non à l’arrivée. La France a l’un des réseaux diplomatiques les plus importants du monde. C’est à lui d’assurer la première frontière.

    L’incurie de nos dirigeants confine une fois de plus à la trahison. La mort d’un Français en est le douloureux symbole. Mais au-delà, c’est l’identité de la France qui est menacée, sa culture, la manière de vivre des Français. 255 550 titres de séjour ont été accordés en 2018 : un record ! 315 800 immigrés bénéficient de l’Aide Médicale d’Etat notamment pendant les longues périodes du traitement des dossiers. Cela représente une dépense d’un milliard d’Euros. 100 000 obligations de quitter le territoire ont été délivrées… dont 12% seulement sont devenues effectives. Le meurtre commis dans la banlieue lyonnaise doit d’abord nous interpeller sur le suicide de notre pays.

     

    Source : ndf