Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

philippe

  • Le deuxième quinquennat de Macron à peine entamé, Le Maire, Darmanin et Philippe préparent déjà 2027

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2022

    Président réélu, mais Président non rééligible en 2027, Emmanuel Macron entame à peine son quinquennat que, déjà, s’aiguisent les ambitions autour de lui. Chacun dans leur style, Bruno Le Maire , Gérald Darmanin et Édouard ­Philippe ont fait un pas en avant cette semaine, confirmant qu’il faudrait compter avec eux dans la bataille pour la succession. De quoi irriter les macronistes légitimistes, qui font bloc autour de la Première ministre, Élisabeth Borne . « Chacun essaie de se placer dans la course aux petits chevaux, mais ce n’est pas l’enjeu aujourd’hui », s’agace ainsi un cadre de la majorité.

    « Imaginer que ça peut se faire contre le Président, c’est mal connaître les institutions et la volonté d’Emmanuel Macron de présider jusqu’au dernier quart d’heure, met aussi en garde un proche du chef de l’État. Et c’est mal connaître Élisabeth Borne de penser qu’elle va regarder les balles passer. » La locataire de Matignon va vite devoir apprendre à nager en compagnie de ces trois « requins », comme les a surnommés un macroniste. Sous peine d’être dévorée.

    Mercredi, Bruno Le Maire est monté à la tribune du Sénat pour prononcer le discours de politique générale. A-t-il eu un pincement au cœur en se mettant ainsi dans la peau du chef du gouvernement ? Ce jour-là, il s’agissait de lire les mots d’une autre, Élisabeth Borne, qui s’adressait au même moment aux députés. Mais si cette tâche lui est revenue, c’est qu’à défaut d’être Premier ministre « BLM » est désormais le premier des ministres, selon l’ordre protocolaire. Et le seul, sous la Ve République, à être resté aussi longtemps à la tête de Bercy sans interruption. Depuis 2017, il n’a cessé de grimper dans la hiérarchie gouvernementale. Signe de son poids dans l’exécutif, le ministre de l’Économie s’est autorisé, lundi matin sur France Inter, à annoncer lui-même sa reconduction à son poste. Tant pis pour le crime de lèse-majesté.  […]

    Édouard Philippe a un message pour les Français : « On va aller au bout » , « on est déterminé » même si cette « aventure collective » sera « longue ». L’opiniâtreté de l’ancien Premier ministre a déjà résonné près de 120 000 fois aux oreilles des internautes, si on en croit les vues de cette vidéo mise en ligne vendredi. Objectif : que ces visionneurs se transforment en nouveaux adhérents du parti philippiste, Horizons. Et qu’ainsi le maire du Havre fasse un pas de plus sur son chemin vers la prochaine présidentielle. […]

    Gérald Darmanin entend aussi jouer sa partition personnelle, lui aussi a été envisagé par certains pour remplacer ­Élisabeth Borne, lui aussi est à la tête d’un ministère de premier plan… Gérald Darmanin émerge pourtant tout juste de la délicate séquence de la gestion de la finale de Ligue des champions, le 28 mai au Stade de France. Laquelle pourrait connaître un nouveau rebondissement mercredi, avec la présentation des conclusions de la mission d’information sénatoriale sur ces incidents. Qu’importe : le ministre de l’Intérieur sort renforcé du remaniement. Et entend bien continuer à peser. [..]

    Le JDD via fdesouche

  • Le changement

    Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2020

    Le changement, la "nouvelle étape" promise consiste pour Macron à remplacer un technocrate ex-juppéiste par un technocrate ex-sarkoziste.

    Il est vrai qu'en substituant Jean Castex à Édouard Philippe, le Président de la République ne poursuit qu'un but et un seul: nommer à Matignon un simple collaborateur, exécutant docile de ses exigences, et avoir ainsi les mains libres pour exercer l'entièreté des responsabilités du pouvoir.

    Il devra bientôt assumer aussi l'entièreté de la responsabilité des catastrophes qui viennent.

    Jean-François Touzé
    Délégué général du Parti de la France.

    L’image contient peut-être : 1 personne, barbe
    L’image contient peut-être : 1 personne, lunettes, barbe, costume et lunettes_soleil
  • Danton à Matignon 

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2019

     

    2301645.jpg

     
    L'avis de Jean-François Touzé
    Membre du bureau politique du PdF
     
    À Fréjus, au cours de la cérémonie de commémoration de la glorieuse bataille de Bazeilles, Édouard Philippe a exhorté nos officiers et soldats de l'Infanterie de Marine à la résistance contre l'obscurantisme.
     
    OBSCURANTISME : substantif masculin désignant une attitude, doctrine, système politique ou religieux visant à s'opposer à la diffusion, notamment dans les classes populaires, des "lumières", des connaissances scientifiques, de l'instruction, du progrès.
     
    Faut-il le préciser, ce n'est pas, à l'évidence, l'islamisme dont l'obscurantisme ténèbreux qui en est la marque est un élément majeur de combat, qu'Edouard Philippe a appelé nos troupes à combattre, mais un supposé  obscurantisme d'opposition au progressisme, obscurantisme fantasmé mais conçu comme mal absolu dans une vision républicaine totalitaire au nom de la trois fois sainte laïcité.
     
    Pour le Premier ministre, la mission de nos armées est donc de défendre une option philosophique précise. Pas de défendre la France. Pas de défendre nos valeurs de civilisation. Pas de défendre le ciment chrétien de notre édifice national. Pas de défendre les Français face aux menaces planétaires qui s'accumulent.
     
    Édouard Philippe est un Premier ministre montagnard et jacobin. Bientôt le retour des commissaires en mission aux armées ? 
     
    Danton, lui, est déjà à Matignon.
  • Philippe roule plus vite dans l’espoir de sauver sa peau

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2019

    Rédigé par notre équipe le 17 mai 2019

     

    Edouard Philippe est un être difficile à suivre. Heureux maire du Havre au sein des Républicains, il a préféré laisser sa ville aux mains d’un pervers et renier sa famille politique dans le seul but de décrocher une belle place en Macronie. Archétype du traître, il se donne pourtant l’image d’un homme droit dans ses bottes prêt à supporter toutes les critiques pour préserver le bien public. Un mensonge grossier dévoilé par le retournement de veste concernant la limitation de la vitesse à 80 km/h sur les routes départementales. Et si le seul objectif de Philippe était de s’accrocher au pouvoir ?  

    Quand il s’agit du bien-être et même de la vie des Français, un homme se bat avec le courage d’un lion. C’est homme n’est autre que le premier des ministres. Un grand échalas barbu au regard sombre qui choisit avec soin les batailles qu’il mène pour ne pas tomber dans une oubliette de la politique française. Malheureusement pour lui sa prudence n’a pas été à toute épreuve ces derniers mois et le Premier ministre se retrouve acculé sur un sujet qu’il avait lui même mis sur la table. A croire que son sens politique s’est rapidement érodé, mais il peut toujours compter sur sa dialectique politicienne pour s’en sortir.

    Matignon plus important que la vie des Français ?  

    La sécurité routière est vraiment devenue un enjeu public sous Jacques Chirac. En 2002, le président décide de mettre des radars sur toutes les routes et l’effet est radical puisqu’on compte 1 200 morts de moins sur les routes en un an. A la fin de son mandat, ce sont un tiers de tués en moins qui sont à mettre à son crédit. Très bien, mais entre temps, les Rapetous de Bercy et de l’Elysée sont passés par là et les radars sont devenus des machines à fric au lieu de rester des instruments de la sécurité routière. Ils flashent partout et sans relâche et pour mieux prendre « un pognon de dingue », quoi de mieux que d’abaisser les limitations de vitesse ? C’est ainsi que le prétendu bon gestionnaire Philippe a décidé en solo que les Français rouleraient désormais à 80 km/h sur les départementales. Une décision solitaire, mais néanmoins bénie de solidarité présidentielle, car Macron est un expert en taxes et autres impôts déguisés qui doivent finir de ratiboiser le Français moyen. 

    Alors on fait passer ce nouveau racket comme l’idée du siècle pour faire baisser la mortalité routière. Les Français ne croient pas à ce bobard, les élus locaux non plus, mais Edouard Philippe affirme à plusieurs reprises qu’il ne cèdera pas un pouce face aux plaintes. La pression monte, Philippe nous fait une Juppé aiguë et comme tous les faux durs, il finit par renoncer. Un renoncement masqué puisque pour ne pas perdre entièrement la face, le Premier ministre indique désormais que la règle sera bien 80 km/h, mais que les conseils départementaux auront la possibilité de revenir à 90 km/h. Philippe dit « assumer » sa politique, mais les faits parlent contre lui…

    Macron a la confirmation que son Premier ministre a l’envergure d’un fusible mal confectionné et c’est d’ailleurs pour éviter de sauter après les européennes que le Premier ministre nous propose cette danse grotesque. Celui qui disait qu’aucun argument, aucun cri ne le ferait changer d’avis sur les 80 km/h a vite compris que son intérêt personnel était la sauvegarde de son poste. Alors, il ne faut pas s’attirer les foudres de Français déjà frondeurs et c’est la pseudo lutte pour la sécurité routière qui passe à la trappe.

    C’est tout sauf une surprise de la part d’un traître prêt à tout pour avoir un peu de pouvoir et de gloire. Trop occupé à tenter d’exister, il n’a pas compris qu’aucune gloire n’atteindra jamais son nom tandis que le pouvoir est un fluide qui s’échappe bien facilement des mains des plus médiocres. Vivement le changement de fusible !

     

    Source : 24heuresactu

     
     
  •  Une photo d’Edouard Philippe et Emmanuel Macron souriants à leur arrivée à Notre-Dame crée la polémique sur les réseaux sociaux

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2019

    050693E5-B702-412C-9185-2EA5630DEC64

    CA7D0B45-E046-4E76-A763-E26D7A13AE82

     

    Source : policeetrealites