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  • Gabriel Attal, le mignon de tous à Matignon

    Publié par Guy de Laferrière le 11 janvier 2024

    Gabriel Attal, Premier ministre français
    Gabriel Attal, Premier ministre français

    Le tout jeune Gabriel Attal est le nouveau Premier ministre français, qui succède à Elisabeth Borne démissionnaire. Jeune et « gay », Young Global Leader de Davos, c’est ainsi qu’il est décrit par la presse internationale et française.

    Gabriel Attal, « l’un des hommes politiques LGBT les plus éminents et les plus puissants au monde » selon la presse américaine

    Gabriel Attal, 34 ans, le tout nouveau Premier ministre d’Emmanuel Macron qui succède à Elisabeth Borne, a eu une carrière très rapide : il rejoint le Parti socialiste à l’âge de 17 ans. Il est membre du cabinet de la ministre de la Santé Marisol Touraine de 2012 à 2017, ainsi que conseiller municipal de Vanves depuis 2014. En 2016, il rejoint le parti fondé par Emmanuel Macron, En marche — devenu La République en marche puis Renaissance —, dont il est porte-parole en 2018 et membre du bureau exécutif à partir de 2021. Issu d’une famille aisée, ancien élève de la fameuse école de privilégiés bobo-radical-chic parisiens L’Ecole alsacienne, il est devenu un nom bien connu de la politique française après avoir été nommé porte-parole du gouvernement pendant la pandémie. Il sera ensuite nommé ministre adjoint au ministère des Finances, puis ministre de l’Éducation en 2023. Il fait partie de ces hommes politiques qui voulaient « emmerder » les non-vaccinés pendant la pseudo-pandémie Covid.

    Comme le notent la majorité des quotidiens étrangers et français, le nouveau Premier ministre français est « gay » et le plus jeune nommé à cette fonction de gouvernement.

    Le nouveau Premier ministre français est « gay », pacsé avec un homme, et le plus jeune nommé à cette fonction de gouvernement

    Attal représente bien l’ère Macron qui se caractérise par les incompétents, les jeunes technocrates sans aucun passé professionnel, la dépravation cocaïnomane et arc-en-ciel et la propension à jouer aux chaises « musicales » tant dans les nominations ministérielles que dans la vie privée. On ne sait donc pas si Gabriel est le mignon de Stéphane Séjourné, ancien conseiller politique de Macron, celui qui avait mis le pied à l’étrier dans le milieu macroniste à l’ambitieux nouveau Premier ministre, ou le giton d’Olivier Véran, le macabre ministre de la Santé de l’an I covidien. Ce qui est certain c’est qu’il est le favori de Bribri. Et un petiot de Schwab, faisant partie de la promotion 2020 des Young global leaders du WEF de Davos dont il imposera la feuille de route aux Français.

    Retenant des postes auxquels Gabriel Attal a été successivement nommé, qu’il est impossible d’en tirer un bilan sincère tellement ils furent éphémères. Il est cependant le père de Parcoursup qui est décrié par tous les étudiants et du service universel qui est resté un gadget. C’est pourquoi, en guise de compétences pour expliquer cette « ascension fulgurante » vendue par les médias– remake de l’ascension programmée du jeune Emmanuel Macron en 2017-, il ne lui reste que son homosexualité et sa jeunesse. Une jeunesse qu’il travestit aujourd’hui avec des cheveux blancs tout nouveaux…

    Avec Attal, les Français peuvent rêver au redressement de la France…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Mélenchon à Matignon : à quoi ressemblerait son gouvernement ?

    Publié par Guy Jovelin le 27avril 2022

    Source : fdesouche

  • Danton à Matignon 

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2019

     

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Membre du bureau politique du PdF
     
    À Fréjus, au cours de la cérémonie de commémoration de la glorieuse bataille de Bazeilles, Édouard Philippe a exhorté nos officiers et soldats de l'Infanterie de Marine à la résistance contre l'obscurantisme.
     
    OBSCURANTISME : substantif masculin désignant une attitude, doctrine, système politique ou religieux visant à s'opposer à la diffusion, notamment dans les classes populaires, des "lumières", des connaissances scientifiques, de l'instruction, du progrès.
     
    Faut-il le préciser, ce n'est pas, à l'évidence, l'islamisme dont l'obscurantisme ténèbreux qui en est la marque est un élément majeur de combat, qu'Edouard Philippe a appelé nos troupes à combattre, mais un supposé  obscurantisme d'opposition au progressisme, obscurantisme fantasmé mais conçu comme mal absolu dans une vision républicaine totalitaire au nom de la trois fois sainte laïcité.
     
    Pour le Premier ministre, la mission de nos armées est donc de défendre une option philosophique précise. Pas de défendre la France. Pas de défendre nos valeurs de civilisation. Pas de défendre le ciment chrétien de notre édifice national. Pas de défendre les Français face aux menaces planétaires qui s'accumulent.
     
    Édouard Philippe est un Premier ministre montagnard et jacobin. Bientôt le retour des commissaires en mission aux armées ? 
     
    Danton, lui, est déjà à Matignon.
  • Valérie Pécresse en route pour Matignon (Nouvel Obs)

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2019

    Par  le 09/06/2019

    Editorial de Carole Barjon sur les raisons de la démission de Valérie Pécresse des Républicains dans le Nouvel Obs. Selon elle, la logique de sa démarche conduit inexorablement la présidente de la région Ile-de-France à suivre les traces d’Edouard Philippe.

    Il ne faut pas se tromper sur les raisons qui ont conduit Valérie Pécresse, le mercredi 5 juin au soir, à annoncer sa décision de quitter.[…]

    C’est d’abord et avant tout l’impérieuse nécessité de conserver sa présidence de la région Ile-de-France. Au soir du résultat des élections européennes en effet, Pécresse a fait ses comptes : avec 28 %, le parti d’Emmanuel Macron fait un carton dans la région parisienne, l’électorat de droite a largement voté pour la liste de La République en Marche menée par Nathalie Loiseau. «L’Ile-de-France est aujourd’hui macroniste», constate froidement ce soir-là l’un de ses proches. De quoi lui faire revisiter sérieusement les résultats d’un sondage qu’elle avait fait réaliser avant le scrutin et qui la créditait d’un confortable socle de 30 %. Dans cette étude, un hypothétique candidat LREM plafonnait à 15 %.

    L’ancienne ministre de l’Enseignement supérieur de Sarkozy se rêve à la tête d’un parti de droite moderne et ouverte, comme elle l’a expliqué mercredi au journal de 20 heures de France 2. Bref, un parti de centre droit. Seul problème : ce parti-là existe déjà… sous le nom de La République en Marche ! Pour reprendre les récents propos d’Yves Thréard, éditorialiste du « Figaro », sur RTL : « Le patron de la droite, c’est Macron ! » […]

    Nouvel Obs via fdesouche

  • Philippe roule plus vite dans l’espoir de sauver sa peau

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2019

    Rédigé par notre équipe le 17 mai 2019

     

    Edouard Philippe est un être difficile à suivre. Heureux maire du Havre au sein des Républicains, il a préféré laisser sa ville aux mains d’un pervers et renier sa famille politique dans le seul but de décrocher une belle place en Macronie. Archétype du traître, il se donne pourtant l’image d’un homme droit dans ses bottes prêt à supporter toutes les critiques pour préserver le bien public. Un mensonge grossier dévoilé par le retournement de veste concernant la limitation de la vitesse à 80 km/h sur les routes départementales. Et si le seul objectif de Philippe était de s’accrocher au pouvoir ?  

    Quand il s’agit du bien-être et même de la vie des Français, un homme se bat avec le courage d’un lion. C’est homme n’est autre que le premier des ministres. Un grand échalas barbu au regard sombre qui choisit avec soin les batailles qu’il mène pour ne pas tomber dans une oubliette de la politique française. Malheureusement pour lui sa prudence n’a pas été à toute épreuve ces derniers mois et le Premier ministre se retrouve acculé sur un sujet qu’il avait lui même mis sur la table. A croire que son sens politique s’est rapidement érodé, mais il peut toujours compter sur sa dialectique politicienne pour s’en sortir.

    Matignon plus important que la vie des Français ?  

    La sécurité routière est vraiment devenue un enjeu public sous Jacques Chirac. En 2002, le président décide de mettre des radars sur toutes les routes et l’effet est radical puisqu’on compte 1 200 morts de moins sur les routes en un an. A la fin de son mandat, ce sont un tiers de tués en moins qui sont à mettre à son crédit. Très bien, mais entre temps, les Rapetous de Bercy et de l’Elysée sont passés par là et les radars sont devenus des machines à fric au lieu de rester des instruments de la sécurité routière. Ils flashent partout et sans relâche et pour mieux prendre « un pognon de dingue », quoi de mieux que d’abaisser les limitations de vitesse ? C’est ainsi que le prétendu bon gestionnaire Philippe a décidé en solo que les Français rouleraient désormais à 80 km/h sur les départementales. Une décision solitaire, mais néanmoins bénie de solidarité présidentielle, car Macron est un expert en taxes et autres impôts déguisés qui doivent finir de ratiboiser le Français moyen. 

    Alors on fait passer ce nouveau racket comme l’idée du siècle pour faire baisser la mortalité routière. Les Français ne croient pas à ce bobard, les élus locaux non plus, mais Edouard Philippe affirme à plusieurs reprises qu’il ne cèdera pas un pouce face aux plaintes. La pression monte, Philippe nous fait une Juppé aiguë et comme tous les faux durs, il finit par renoncer. Un renoncement masqué puisque pour ne pas perdre entièrement la face, le Premier ministre indique désormais que la règle sera bien 80 km/h, mais que les conseils départementaux auront la possibilité de revenir à 90 km/h. Philippe dit « assumer » sa politique, mais les faits parlent contre lui…

    Macron a la confirmation que son Premier ministre a l’envergure d’un fusible mal confectionné et c’est d’ailleurs pour éviter de sauter après les européennes que le Premier ministre nous propose cette danse grotesque. Celui qui disait qu’aucun argument, aucun cri ne le ferait changer d’avis sur les 80 km/h a vite compris que son intérêt personnel était la sauvegarde de son poste. Alors, il ne faut pas s’attirer les foudres de Français déjà frondeurs et c’est la pseudo lutte pour la sécurité routière qui passe à la trappe.

    C’est tout sauf une surprise de la part d’un traître prêt à tout pour avoir un peu de pouvoir et de gloire. Trop occupé à tenter d’exister, il n’a pas compris qu’aucune gloire n’atteindra jamais son nom tandis que le pouvoir est un fluide qui s’échappe bien facilement des mains des plus médiocres. Vivement le changement de fusible !

     

    Source : 24heuresactu