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politique sanitaire

  • Nowax…

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2022

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    Le 4 janvier de cette nouvelle année le suspense autour de la participation de Novak pour l’Australien Open prenait fin, pensions-nous naïvement. Une dérogation médicale permettait au serbe de se rendre à Melbourne pour tenter de décrocher un dixième titre à la Rod Laver Arena et un 21ème Grand Chelem pour marquer un peu plus encore l’histoire du tennis.

    « Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir » dit le proverbe français, pour ceux d’entre nous qui peinaient à comprendre la formule, les temps troubles « plandèmique » nous éclaire. « Novax » et le peuple serbe derrière lui déplore depuis des années déjà un traitement médiatique inéquitable et mensonger, j’ai déjà analysé se traitement médiatique dans un précèdent article, (lien :  medias-presse.info/djokovic-je-ne-sais-pas-si-je-vais-aller-en-australie/148770/, je n’y reviendrai pas. Les esprits médiatiquement modelables se sont plu à haïr « Nole », aujourd’hui la bête qui s’attaquait sans relâche à tous ceux qui n’entraient pas dans le conformisme des futurs hamsters de laboratoire se met à dévorer ses propres enfants. Cet évènement coïncide avec la déclaration de Macron qui dit vouloir emmerder les non-vaccinés, on peut apercevoir une nouvelle phase dans la « Plandèmie » celle-ci plus sincère que les précédentes, nous ne faisons plus semblant de lutter contre un virus, mais bel et bien contre la population qui refuse le monde voulu par les forces obscures qui agissent en coulisses.

    La politique sanitaire absurde et arbitraire du gouvernement australien a obligé le champion serbe à changer ses ambitions ce n’est plus un titre qu’il est venu chercher à Melbourne, mais un destin, la déclaration de son père en dit long « Mon fils se trouve cette nuit en détention en Australie, mais jamais il n’aura été plus libre ». La liberté ne nous est pas donnée, il faut l’arracher, pour cela il faut de la mémoire, se souvenir du monde d’avant, celui que la majorité de nos concitoyens ont totalement effacé de leurs empreintes mémorielles par lâcheté, cette même lâcheté qui les fera haïr l’homme libre dont Djokovic est devenu le porte étendard malgré-lui. Voilà les véritables reproches faites à « Nole » par ceux qui ont décidé de mettre le monde à genoux. Le « Djokovic gate » ne laisse plus planer de doute sur les intentions du pouvoir à l’égard du numéro 1 mondial de tennis, si l’on épargne la traditionnelle hypocrisie, Djokovic est aujourd’hui un prisonnier politique détenu dans des conditions indignes d’un pays que l’on pourrait qualifier de civilisé. Le cas du premier ministre australien Scott Morrison mérite notre attention : celui qui a comparé sa population à des moutons qu’il fallait faire passer par le portail (en parlant de la vaccination), ce ministre qui clame que la loi est la même pour tous, alors que lui-même s’est permis de sortir de l’enclos en violant les règles de quarantaine, oubliant de nous préciser que 25 autres joueurs avaient obtenu cette même dérogation. Djokovic étant le premier à qui la dérogation a été annulée en dernière minute (rejoint par la suite par une « sœur slave » la joueuse tchèque Renata Voracova, les autorités ont sans aucun doute voulu minimiser le cas Djokovic en le diluant).

    Le 7 janvier était la date du Noël orthodoxe (l’église orthodoxe utilise le calendrier julien), « Nole » se souviendra surement longtemps de celui-ci, il l’a passé seul, loin de sa famille, on lui a même refusé la venue d’un prêtre, rien d’étonnant dans la nouvelle religion d’état « covidiste », fêter la naissance du Christ sauveur du monde, au risque d’attraper un virus de plus en plus bénin, est une hérésie impardonnable. Djokovic à déclarer via sa famille « Dieu voit tout. La morale et l’éthique, les plus grands idéaux, sont des étoiles qui brillent vers l’ascension spirituelle. Ma grâce est spirituelle et la leur est richesse matérielle ». N’oublions pas les paroles de l’évangile « Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux. Heureux serez-vous lorsqu’on vous outragera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi. Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse parce que votre récompense sera grande dans les cieux ». Là aussi le doute ne peut plus subsister, ce Nouvel Ordre Mondiale qui se cache derrière ce totalitarisme sanitaire, porte bel et bien la marque de la bête.

    Le « covidisme » est la preuve d’un système qui s’écroule et qui tente désespérément de se maintenir. Jusqu’à aujourd’hui les forces occultes cachées derrière l’impérialisme occidentale avaient toujours réussi dans leurs politiques du diviser pour mieux régner dans les Balkans. Là encore, on constate une perte de maitrise, l’affaire Djokovic a permis la consolidation encore plus accrue du peuple serbe et l’harmonie qui règne entre elle et son président (Aleksandar Vucic ayant pris part de manière totale et sans concession envers son citoyen, s’éloignant encore un peu plus de la folie « covidiste »). Des soutiens sont arrivés également d’anciens frères « Ennemis », l’eurodéputé croate et président de l’ONG Human Shield. Ivan Vilibor Sincic a adressé un message de soutien à « Nole » qui a été massivement partagé dans l’espace yougoslave qualifiant entre autres Novak de héro de cette planète. Le mufti de Belgrade et aumônier islamique de l’armée serbe a lui aussi apporté son soutien par un tweet « Je témoigne : Dieu voit tout ! » accompagné d’une photo de lui en compagnie de Novak.

     

    Source : medias-presse.info

  • Québec – Des médecins se lèvent contre la politique sanitaire imposée et ses effets collatéraux

    Publié par Guy Jovelin le 09 novembre 2021

    Voici l’enregistrement vidéo de la conférence de presse organisée par Réinfo Covid Québec le 3 novembre dernier. Pour l’occasion, ce mouvement a réuni des médecins et autres professionnels de la santé venus exprimer publiquement leur désaccord avec la politique sanitaire imposée par leur gouvernement. Parmi les différents arguments, ils font notamment état des effets collatéraux et de l’absence de tout véritable débat sur le sujet.

     


     

     

     

    Source : medias-presse.info
  • Covid : il faut recentrer le discours sur l’essentiel.

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2021

    Depuis le début de l’épidémie, les  nous abreuvent d’opinions, de données, de courbes et de statistiques sur l’état de la pandémie, et chacun y va de son discours pour, en réalité, la plupart du temps, défendre ses propres intérêts ou ceux de sa corporation sans pour autant faire avancer la discussion. À quelques mois d’intervalle, on peut comparer les discours des intervenants, rien n’a changé.

    covid,politique sanitaire,statistiques,vavvinCette épidémie est, certes, dangereuse et peut être mortelle, mais le pourcentage de morts se situe un peu en dessous de 1 %. On est très loin (et heureusement) des pourcentages de morts d’autres épidémies ou d’autres pathologies mais, en matière de  comme dans beaucoup d’autres domaines, à force de discourir, on oublie la finalité de la discussion, on palabre sur l’écume des vagues et non sur la puissance de la houle.

    Face à cette épidémie, les deux critères les plus importants qui devraient faire l’objet de discussions sont : la dangerosité de l’épidémie pour notre , sa létalité et ses conséquences sociales et économiques, et les moyens d’y faire face en étudiant toutes les possibilités thérapeutiques et humaines disponibles.

    Hélas, depuis le début, on ne considère comme possibilité thérapeutique que les possibilités offertes par l’hospitalisation publique qui, évidemment, s’est vite vue débordée par la vague de malades, sachant que, depuis trente ans, on réduit drastiquement le nombre de lits afin de gérer l’hospitalisation publique comme en gérerait n’importe quel secteur industriel (mais ici, le produit, c’est l’humain et il est inadmissible de le traiter à flux tendu). L’administration, dans ses communiqués, n’évoque jamais les possibilités de traitement par la médecine de ville et les journalistes se référant au discours officiel n’en parlent que très rarement.

    Les discussions portent donc uniquement sur le nombre de malades et les possibilités d’absorption par des services hospitaliers réduits, pour cause de rentabilité, à la portion congrue. On essaie d’adapter la maladie aux possibilités de traitement plutôt que d’adapter nos possibilités thérapeutiques à cette épidémie. C’est un peu comme si les , ne disposant d’une grande échelle ne pouvant atteindre que le 3e étage, on interdisait les incendies à partir du 4e étage!

    De plus, pour les autorités, le salut ne peut venir que d’un remède miracle que l’industrie mettrait à notre disposition (à des prix défiant toute concurrence) et toute autre possibilité thérapeutique est immédiatement récusée, voire accusée de charlatanisme.

    Alors, en l’absence de produit miracle, il reste la vaccination. On ne peut qu’être d’accord pour considérer que la vaccination est le meilleur moyen pour endiguer une épidémie, mais l’élaboration des vaccins ayant été faite en urgence, les procédures habituelles d’expérimentation avant la mise sur le marché n’ont pu être effectuées dans des conditions normales, nous sommes encore en phase expérimentale, il est donc parfaitement logique qu’il y ait des effets secondaires qui n’avaient pu être prévus auparavant.

    À l’échelon individuel, nous avons donc le choix, aujourd’hui, entre courir le risque d’attraper une maladie potentiellement grave et parfois mortelle ou se vacciner et accepter le risque d’effets secondaires sans doute rares mais mal connus pour l’instant.

    À l’échelon de la société, le rapport bénéfice/risque est très en faveur de la vaccination, on ne peut donc que l’encourager, surtout si on refuse de remettre en cause la  sanitaire qui nous a conduits à la situation dans laquelle nous sommes actuellement, sans parler de la puissance des lobbies économiques qui influent sur les décisions.

    Il serait d’urgent de recentrer le discours sur les données de base et éviter de discourir sur le sexe des anges.

     

    Dr. Jacques Michel Lacroix

    Médecin
    Médecin urgentiste et généraliste