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statistiques

  • Où s’installer en France en 2022 ? Une étude statistique

    Publié par Guy Jovelin le 01 février 2022

    Auteur : 

    Où s’installer en France de nos jours lorsque l’on est catholique et soucieux du bien-être de sa famille ? Nous avons tenté de répondre à cette question sur la base de certains critères statistiques objectifs.

    Voici les critères retenus pour notre choix :

    – Économie : revenu médian par foyer et taux de chômage

    – Questions de société : actes de délinquance pour 1000 habitants et présence de musulmans

    – Immobilier : prix au m² et pourcentage de résidences secondaires

    – Éloignement : communes à moins de 30 minutes d’une école primaire de la Tradition, d’une chapelle de la Tradition, d’une maternité

    Les communes « idéales »

    -Voici la carte des communes « vivables », c’est-à-dire celles qui sont dans le « top 75% » pour chacun des critères.

    – Nous pouvons encore restreindre notre choix et sélectionner les communes « idéales », qui sont au dessus de la médiane (donc dans le top 50%) pour chacun des critères.

    – Voici la liste de ces communes « idéales » :

    – 03500 Saulcet
    – 14490 Cahagnolles
    – 18510 Menetou-Salon
    – 18110 Saint-Palais
    – 29400 Bodilis
    – 29260 Trégarantec
    – 56140 Saint-Marcel
    – 62128 Chérisy
    – 62190 Ecquedecques
    – 62150 Rebreuve-Ranchicourt
    – 76760 Ancretiéville-Saint-Victor
    – 76890 Butot
    – 76570 Hugleville-en-Caux
    – 79400 Azay-le-Brûlé
    – 79410 Cherveux
    – 79220 Cours
    – 79260 Romans
    – 79220 Saint-Christophe-sur-Roc
    – 79400 Saint-Martin-de-Saint-Maixent
    – 79260 Sainte-Néomaye
    – 79160 Saint-Pompain
    – 85240 Rives-d’Autise
    – 85250 Saint-André-Goule-d’Oie
    – 85140 Saint-Martin-des-Noyers
    – 86370 Château-Larcher

    Quelques remarques

    D’autres indicateurs peuvent être considérés, mais ont été dans un premier temps laissés de côté : couleur politique de la commune (résultats aux élections), pourcentage d’immigrés, taux de logements sociaux, taux d’imposition, etc.

    Nous souhaiterions mettre à disposition du public une interface, utilisant nos données, grâce à laquelle chacun pourra sélectionner les critères qu’il souhaite, afin de faire des cartes plus personnalisés et permettre à chacun de trouver son lieu de vie « idéal » en fonction des critères qui lui tiennent à cœur. Nous espérons trouver d’autres personnes plus compétentes en informatique que nous pour nous aider dans cette tâche.

    Toutes les demandes et remarques concernant ce travail (données, méthodologie, etc.) peuvent être faites à emile.keller@protonmail.com.

    Émile Keller

     

    Source : hmedias-presse.info

  • Covid : il faut recentrer le discours sur l’essentiel.

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2021

    Depuis le début de l’épidémie, les  nous abreuvent d’opinions, de données, de courbes et de statistiques sur l’état de la pandémie, et chacun y va de son discours pour, en réalité, la plupart du temps, défendre ses propres intérêts ou ceux de sa corporation sans pour autant faire avancer la discussion. À quelques mois d’intervalle, on peut comparer les discours des intervenants, rien n’a changé.

    covid,politique sanitaire,statistiques,vavvinCette épidémie est, certes, dangereuse et peut être mortelle, mais le pourcentage de morts se situe un peu en dessous de 1 %. On est très loin (et heureusement) des pourcentages de morts d’autres épidémies ou d’autres pathologies mais, en matière de  comme dans beaucoup d’autres domaines, à force de discourir, on oublie la finalité de la discussion, on palabre sur l’écume des vagues et non sur la puissance de la houle.

    Face à cette épidémie, les deux critères les plus importants qui devraient faire l’objet de discussions sont : la dangerosité de l’épidémie pour notre , sa létalité et ses conséquences sociales et économiques, et les moyens d’y faire face en étudiant toutes les possibilités thérapeutiques et humaines disponibles.

    Hélas, depuis le début, on ne considère comme possibilité thérapeutique que les possibilités offertes par l’hospitalisation publique qui, évidemment, s’est vite vue débordée par la vague de malades, sachant que, depuis trente ans, on réduit drastiquement le nombre de lits afin de gérer l’hospitalisation publique comme en gérerait n’importe quel secteur industriel (mais ici, le produit, c’est l’humain et il est inadmissible de le traiter à flux tendu). L’administration, dans ses communiqués, n’évoque jamais les possibilités de traitement par la médecine de ville et les journalistes se référant au discours officiel n’en parlent que très rarement.

    Les discussions portent donc uniquement sur le nombre de malades et les possibilités d’absorption par des services hospitaliers réduits, pour cause de rentabilité, à la portion congrue. On essaie d’adapter la maladie aux possibilités de traitement plutôt que d’adapter nos possibilités thérapeutiques à cette épidémie. C’est un peu comme si les , ne disposant d’une grande échelle ne pouvant atteindre que le 3e étage, on interdisait les incendies à partir du 4e étage!

    De plus, pour les autorités, le salut ne peut venir que d’un remède miracle que l’industrie mettrait à notre disposition (à des prix défiant toute concurrence) et toute autre possibilité thérapeutique est immédiatement récusée, voire accusée de charlatanisme.

    Alors, en l’absence de produit miracle, il reste la vaccination. On ne peut qu’être d’accord pour considérer que la vaccination est le meilleur moyen pour endiguer une épidémie, mais l’élaboration des vaccins ayant été faite en urgence, les procédures habituelles d’expérimentation avant la mise sur le marché n’ont pu être effectuées dans des conditions normales, nous sommes encore en phase expérimentale, il est donc parfaitement logique qu’il y ait des effets secondaires qui n’avaient pu être prévus auparavant.

    À l’échelon individuel, nous avons donc le choix, aujourd’hui, entre courir le risque d’attraper une maladie potentiellement grave et parfois mortelle ou se vacciner et accepter le risque d’effets secondaires sans doute rares mais mal connus pour l’instant.

    À l’échelon de la société, le rapport bénéfice/risque est très en faveur de la vaccination, on ne peut donc que l’encourager, surtout si on refuse de remettre en cause la  sanitaire qui nous a conduits à la situation dans laquelle nous sommes actuellement, sans parler de la puissance des lobbies économiques qui influent sur les décisions.

    Il serait d’urgent de recentrer le discours sur les données de base et éviter de discourir sur le sexe des anges.

     

    Dr. Jacques Michel Lacroix

    Médecin
    Médecin urgentiste et généraliste
  • Coronavirus : « Si on regarde les statistiques », les violences urbaines sont en baisse, souligne le directeur de la police nationale

    Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2020

    Par  le 22/04/2020
    • Frédéric Veaux et Christian Rodriguez, les directeurs de la police et de la gendarmerie nationales, ont été auditionnés ce mercredi par la commission des Lois de l’Assemblée nationale.
    • Ils ont fait le point sur le respect du confinement, sur la mobilisation des forces de sécurité ainsi que sur les moyens dont disposent ces dernières pour réaliser leurs missions.
    • Par ailleurs, ils ont également dressé un état des lieux de la délinquance depuis le début du confinementPour la quatrième nuit consécutive, des violences urbaines ont éclaté dans l’agglomération parisienne ce mardi soir. Une situation que relativise néanmoins le directeur général de la police nationale. « Si on regarde les statistiques, on est plutôt sur un nombre inférieur par rapport à la même époque de l’année dernière et pour des faits qui, même s’ils sont condamnables, ne sont pas d’une gravité exceptionnelle », a expliqué Frédéric Veaux aux députés de la commission des lois ce mercredi. « Comparé à ce qui se passe malheureusement trop souvent et habituellement, on est sur un niveau de personnes impliquées et de gravité des faits qui est quand même assez faible », a aussi relativisé l’élu communiste de Seine-Saint-Denis, Stéphane Peu.
  • Quand l’État s’occupe de votre voiture

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2019

     

    Aujourd’hui, dans la catégorie « l’État s’occupe vraiment beaucoup de vous », intéressons-nous au volet « automobile » de son interventionnisme tous azimuts, et à la façon tout à fait croquignolette dont nos amis journalistes se font fort de rapporter ces bons offices.

    Depuis l’introduction des radars automatiques en France, l’État a rapidement pris le pli de compter sur eux pour abonder aux tonneaux danaïdesques de ses finances. Malheureusement, ses plans financiers pour l’année 2019 risquent d’être un peu compromis : fin 2018, l’actuel Premier ministre, politiquement affûté comme du beurre chaud, aura eu l’idée géniale de réduire les vitesses maximales autorisées sur les routes secondaires au moment où entraient en force des taxations écologiques délirantes sur les carburants. S’ensuivit une colère mémorable du petit peuple moyennement d’accord pour continuer à se faire détrousser à chacun de ses déplacements.

    Colère qui, dans le domaine routier, s’est essentiellement traduite par une vaste destruction des radars automatiques déjà en place, compromettant nettement les verbalisations qu’ils étaient censés faire. La facture est salée : s’il semble indispensable de remplacer les matériels détruits (mais si, puisqu’on vous le dit) et que ceci ne sera pas gratuit, le total reste mineur face à l’absence de collecte que provoquent ces appareils défaillants.

    Le total des amendes non collectées ne cesse de grimper : estimé autour de 500 millions d’euros fin décembre 2018, on frise maintenant les 660 millions d’euros ; ce rythme d’augmentation fait presque penser au devis d’un chantier public du Grand Paris, et plonge les journalistes dans un désarroi palpable dans les articles qu’ils pondent à ce sujet : des centaines de millions de « manque-à-gagner », une hausse des morts sur la route, tout indique une catastrophe abominable avec du chaton mignon sacrifié sur l’autel de la colère gilet-jaunesque.

    Pourtant, lorsqu’on épluche les statistiques de mortalité d’un côté, et qu’on raisonne calmement sur les amendes non collectées de l’autre, on s’aperçoit bien vite que de catastrophe, il n’y a point tout comme il n’y aura pas eu de chaton mignon sacrifié inutilement.

    D’une part, l’augmentation de mortalité est largement imputable à l’augmentation du trafic ces derniers mois par rapport au trafic de l’année 2018, ce qui explique notamment la plus grande présence des cyclistes parmi les victimes de la route. Il faut être d’une naïveté de scribouillard pour imaginer que des radars opérationnels auraient pu calmer ces cyclistes au point de les empêcher de dépasser les 80 km/h sur route secondaire. Tout le monde sait que, s’ils en ont l’occasion, ils tutoient la vitesse du son dans le bruit strident de leurs pédaliers déchaînés.

    D’autre part, comment peut-on se désoler que plus de 600 millions d’euros resteront dans la poche des Français ? À l’inverse, comment peut-on se réjouir que l’État récolte toujours plus avec ses brigands automatisés, lorsqu’on voit ce qu’il fait de l’argent ainsi récolté ?

    Combien faudra-t-il encore cramer de milliards pour que l’État ne construise pas de prisons, ne répare pas de routes, ne fournisse pas d’IRM dans les hôpitaux, ferme des classes ou diminue chaque année le niveau de l’enseignement global ? Au bout de combien de milliards d’euros de ponctions pourra-t-on espérer avoir une justice efficace, une armée équipée ou une fiscalité lisible ? Peut-on sérieusement penser que ces 660 millions d’euros seraient mieux dans la poche de l’État que dans celle des Français au moment même où une part croissante d’entre eux n’arrive plus à boucler les fins de mois ?

    On pourrait s’arrêter là.

    Ce serait sans compter sur l’aide inattendue (au sens « pas demandée ») de nos amis politiciens qui ne sont jamais en retard d’une idée à la fois compliquée, coûteuse et parfaitement idiote.

    Cette fois-ci, c’est Valérie Pécresse qui s’y colle avec le brio qu’on lui connaît pour émettre des âneries dans les ultraçons : la présidente de la région Île-de-France et du syndicat des transports en région parisienne, Île-de-France Mobilités, vient ainsi de dévoiler dans le JDD un dispositif pour « favoriser le covoiturage » géré par l’État (la Région, ici) permettant notamment d’offrir jusqu’à 150 euros par mois aux conducteurs et deux trajets gratuits par jour aux passagers.

    Autrement dit, le pouvoir politique s’immisce dans le covoiturage et entend même le rémunérer avec l’argent gratuit des autres qui tombe du ciel. Au delà de l’impression persistante que vient subitement de s’installer une concurrence malsaine d’idées stupides avec Anne Hidalgo, le maire de Paris (pour le moment, c’est encore l’Anne de Paris qui est en tête), on ne peut s’empêcher de constater qu’encore une fois, la lutte contre la pollution et pour les économies d’énergie semble indépassablement liée à des décisions étatiques, venues d’en haut, imposées plus ou moins fortement aux divers acteurs (ici, si l’automobiliste ne semble pour le moment pas encore contraint au covoiturage, il n’en restera pas moins que l’imposition sera fiscale parce qu’il faudra bien financer ce bouzin).

    De façon plus consternante, Pécresse tente ni plus ni moins qu’une version étatique de services de covoiturage qui existaient déjà dans le privé et que l’État s’est proprement acharné à faire disparaître. On se rappellera de Heetch qui fut obligé de fermer parce que continuellement en butte contre les autorités et les corporations bien installées, décidées à tout faire pour empêcher que des Français puissent gagner leur vie en trimbalant des gens dans leur voiture.

    Autrement dit, l’État sabote un système qui fonctionne, fait du profit et ne coûte rien aux contribuables pour le remplacer par une usine à gaz de son cru, qui ne marchera pas, fera des pertes et coûtera un pont aux contribuables.

    En France, l’État s’occupe d’absolument tout. Il est présent à votre naissance, il est là à votre mort et même au-delà. Il s’occupe de votre frigo, de votre mariage, de vos vices et de vos vertus, d’une myriade d’aspects de votre vie d’enfant, d’adolescent et d’adulte. Quand il s’occupe de votre voiture, c’est pour vous ralentir, vous punir, vous taxer et culpabiliser. Malgré cela, un nombre croissant de Français veulent encore accroître son rôle.

    Il faut se rendre à l’évidence : ce n’est pas de l’inconscience, c’est du masochisme.

     

    Source : ndf