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  • Radio France : halte à cette propagande d’Etat qui coûte une fortune au contribuable

    Publié par Guy Jovelin le 02 février 2021

    Radio France : halte à cette propagande d’Etat qui coûte une fortune au contribuable

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    On apprend que le budget de Radio France (7 antennes) est supérieur (630 millions) au budgets cumulés des 330 radios privées (560 millions) et ces dernières emploient 8 000 personnes, contre 4 000 pour Radio France.

    Parmi les réformes urgentes de l’Etat à réaliser, il y a certes, la suppression de la redevance audiovisuelle, mais surtout la rationalisation sinon la disparition de l’audiovisuelle publique qui coûte une fortune aux contribuables pour les assommer d’une propagande politique de plus en plus insupportable, à l’image de France inter. Cet article est terrifiant :

    « (…) Enjeu de la polémique : le gâteau publicitaire, dans lequel Radio France est, depuis 2016, autorisée à mordre à hauteur de 42 millions d’euros annuels.

    Or, le projet de contrat d’objectifs et de moyens (COM), actuellement en cours de discussion entre le ministère de la culture et Radio France pour la période 2020-2022, ne fait plus, en l’état, mention d’un tel plafond. « Malgré de nombreuses alertes des radios privées et plusieurs rapports publics [Conseil supérieur de l’audiovisuel, Cour des comptes, Parlement…], Radio France a systématiquement dépassé ce plafond au mépris de ses engagements et sans aucune réaction de son ministère de tutelle », se fâchent les radios plaignantes, dans un communiqué publié lundi 1er février (…)

    Anne Fauconnier, la déléguée générale du Bureau de la radio, arguments chiffrés à l’appui. « En 2020, Radio France a bénéficié d’un budget de 630 millions d’euros, dont 580 millions au titre de la contribution à l’audiovisuel public, pour faire vivre sept antennes, explique la représentante des grands groupes radiophoniques. Dans le même temps, les 330 radios privées du pays se sont partagé un marché de 560 millions d’euros, en décroissance depuis plusieurs années. »

    Que les radios privées, déjà affectées par les conséquences de la crise sanitaire, souffrent davantage, et il en va « du pluralisme de l’information et de la diversité du média », prévient-elle. Non seulement « les radios privées emploient 8 000 personnes, contre 4 000 pour Radio France, mais la redevance qu’elles versent à la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique dépend de leur chiffre d’affaires », rappelle cette ancienne secrétaire générale du pôle radio du groupe Lagardère (…) »

     

    Source : lesalonbeige

  • Radio France veut proscrire la mention « chrétiens d’Orient » de ses pubs

    Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2020

    Radio France veut proscrire la mention « chrétiens d’Orient » de ses pubs

    Dans un communiqué diffusé lundi 7 décembre, l’Œuvre d’Orient exprime son incompréhension après la décision, par Radio France, d’interdire la mention « chrétiens d’Orient »dans ses spots publicitaires. De son côté, le groupe évoque une volonté de « tendre vers une publicité neutre sur les questions religieuses » sur le service public.

    Une « incompréhension », et de la « lassitude devant cette incapacité à nous répondre ». Après plus d’un mois de discussion avec différentes instances du groupe Radio France, Mgr Pascal Gollnisch, directeur général de l’Œuvre d’Orient, ne cache pas son désappointement : depuis le 26 octobre, son association – qui soutient la mission des chrétiens d’Orient au service de la population, en particulier dans les domaines de la santé et de l’éducation – se mobilise en effet, en vain, pour diffuser une campagne d’appels aux dons sur les ondes de Radio France.

    « Il s’agit d’une publicité payante, nous ne demandons évidemment pas un passe-droit ! Mais cela nous a été refusé au motif que la mention «chrétiens d’Orient» pouvait choquer les convictions des auditeurs. Je ne vois pas en quoi cela pourrait être le cas », se désole-t-il. Dans un communiqué diffusé lundi 7 décembre, l’association d’intérêt général, fondée en 1856 et régie par la loi 1901, indique que le groupe lui a opposé l’article 37 de son cahier des charges, prévoyant que « les messages publicitaires ne doivent contenir aucun élément de nature à choquer les convictions religieuses, philosophiques ou politiques des auditeurs ».

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