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  • Reims (51) : interpellation de quatre individus qui avaient dévalisé le coffre-fort d’un distributeur de billets au moyen d’un mini drone, 150.000 euros de butin

    Publié par Guy Jovelin le 25 septembre 2022

    C’est une grande première. À Reims (Marne), des malfrats ont réussi à subtiliser 150.000 euros dans un distributeur automatique de billets à l’aide d’un mini drone, indique une source policière au Figaro, confirmant une information du JDD. Quatre individus ont été interpellés et placés en détention provisoire dans l’attente de leur procès.

    En mai dernier, les enquêteurs de la direction territoriale de la police judiciaire (DTPJ) de Reims, dans la Marne, sont chargés par le parquet d’enquêter sur le cambriolage d’une agence de la Caisse d’épargne. Pas moins de 150.000 euros ont été subtilisés dans un coffre-fort qui est utilisé par les convoyeurs pour transporter l’argent entre deux distributeurs. Aucune trace d’effraction n’est relevée, ce qui laisse supposer la complicité d’un salarié de la banque ou d’un transporteur de fonds.

    Après analyse des caméras de vidéosurveillance, les enquêteurs découvrent qu’un mini-drone, téléguidé à distance, a permis d’actionner le bouton permettant l’ouverture de la porte du local technique. «Plusieurs inconnus se sont ensuite introduits dans ce local et sont parvenus à ouvrir ce coffre relais en composant un code secret, connu seulement des convoyeurs de fonds chargés de l’approvisionnement des distributeurs», a expliqué une source proche du dossier au JDD. Selon les premiers éléments de l’enquête, les individus à l’origine du cambriolage se sont aidés d’une «perche télescopique équipée d’un miroir». La totalité du cambriolage s’est déroulée en moins de dix minutes.

    Quatre individus ont depuis été arrêtés, mis en examen et placés en détention provisoire. Parmi eux, l’un est un ancien «dabiste», c’est-à-dire un employé chargé de la maintenance des distributeurs. C’est cette complicité qui a permis aux mis en cause d’agir sans être inquiétés. «Leur réussite a reposé sur une faille humaine et sur la fréquence de modification pas assez régulière des codes secrets des coffres relais dans les distributeurs d’argent», souligne une source proche de l’enquête à nos confrères.

    Le recours au drone est déjà utilisé dans le milieu de la délinquance. Il arrive notamment que des téléphones et accessoires, cannabis ou alcool soient livrés en prison par drone. Mais selon un haut fonctionnaire également interrogé par le JDD, cette nouvelle technique de vol est inédite en France: «Le recours à un mini-drone pour un tel fric-frac, c’est totalement inédit.

    Le Figaro via fdesouche

  • Un calvaire tronçonné à Reims

    Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2022

    Un calvaire tronçonné à Reims

    Pierre, président du Cercle Clovis, association qui s’est inspirée des actions de SOS Calvaires, se désole :

    « Ça fait mal au cœur, c’est toujours dommage de voir son travail détruit, mais au-delà de cette douleur, ça touche à l’âme parce que scier une croix, c’est incompréhensible ».

    Cette croix est située le long de la voie rapide entre Reims et Châlons-en-Champagne. À l’origine, il s’agissait d’une petite croix en métal de 50 cm, « complètement délabrée » et envahie par la végétation. Les bénévoles ont élagué l’espace autour du calvaire, refait un trou, y couler du béton pour sceller une croix en bois de 3 mètres de haut.

    « Elle doit peser une cinquantaine de kilos et, pour y accéder, il faut marcher 500 mètres à pied, on ne peut pas se garer directement à côté, donc les personnes qui ont fait ça ne pouvaient pas la remporter ».

    À la désolation, il préfère l’action :

    « Pour ne rien vous cacher, on va en refaire trois au même endroit juste pour le symbole ! »  « On ne va pas faire comme les gauchistes, pleurer, se plaindre ou demander des réparations, on va refaire des calvaires ! »

     

    Source : lesalonbeige

  • Accusé de “racisme” par ses collègues car il aurait voulu “virer tous les étrangers”, le président du Emmaüs de Reims démissionne

    Publié par Guy Jovelin le 29 août 2022

    Le président du Emmaüs de Reims situé à Berry-au-Bac (Aisne, mais à la frontière de la Marne) est accusé de racisme par ses compagnons, qui réclamaient sa démission en faisant grève. Sans reconnaître les faits, il a démissionné ce vendredi 26 août.

    La tension est montée d’un cran au Emmaüs de Berry-au-Bac (Aisne, mais à la frontière de la Marne). L’association gère aussi celui de Reims (Marne). La grève y a été décrétée le mercredi 24 août 2022, ainsi que dans 18 autres antennes partout en France, par solidarité.

    La démission du président de l’antenne berryacoise était réclamée. Il est accusé d’être raciste, et se voit reprocher d’avoir manifesté son intention d’interdire les réfrigérateurs et les animaux dans les chambres de cet Emmaüs, via un projet de règlement. Vincent, l’un des compagnons mobilisés, explique qu’“on ne peut pas avoir un président qui soit pour le Front national, qui est raciste, qui a des propos racistes envers nos compagnons. C’est impossible”, assène-t-il à France 3 Champagne-Ardenne.

    La raison de cette colère, “c’est qu’on a ici des familles avec trois ou quatre enfants. Il ne veut plus de familles avec des enfants. Comme si ces familles n’avaient pas le droit d’être dans la galère. On va tous se retrouver à la rue car il menace de virer tous les étrangers de la communauté. Monsieur va mettre 40 personnes sous les ponts, tout ça parce qu’il n’aime pas les compagnons étrangers.”

    “À l’heure actuelle, on ne peut pas envisager ça à Emmaüs. On lui demande juste un truc : qu’il démissionne. On se quitte comme ça, en bons termes, et c’est fini.” Il menaçait de faire grève tant que la démission n’aurait pas été actée, et de continuer à bloquer la communauté de Berry et de Reims car lui et ses compagnons bénéficient “de renforts”.

    Le concerné dément, mais démissionne

    Au final, la grève aura porté ses fruits. Le président du Emmaüs Berry ne souhaite pas communiquer pour le moment, bien qu’il rejette toute accusation de racisme et s’est réservé le droit de porter plainte pour diffamation. Mais au terme d’un conseil d’administration extraordinaire tenu ce vendredi 26 août 2022, il a annoncé, “déçu”, qu’il démissionnait.

    Il était en poste depuis le début de l’année dans cette antenne locale, et a notamment expliqué qu’il jugeait à son sens impossible de présider un Emmaüs en étant raciste. L’antenne berryacoise est prisée de la population rémoise, vu la faible distance à parcourir (voir sur la carte ci-dessous).

    France 3 via fdesouche

  • Reims : tirs de mortiers d’artifice à l’occasion d’un cortège de mariage

    Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2021

  • Reims : un adolescent mis en examen pour tentative d’étranglement d’un professeur dans son lycée

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2020

    Un adolescent letton, de confession musulmane, a été mis en examen pour avoir agressé vendredi un de ses professeurs dans un lycée de Reims (Marne), l’élève récusant tout lien entre son acte et la mort de Samuel Paty, a-t-on appris ce samedi auprès du parquet. «Le parquet national antiterroriste a été tenu informé de l’ensemble des éléments d’enquête» a déclaré  le procureur.

     «Un enseignant du lycée Jean Jaurès de Reims a été victime d’une agression par un de ses élèves hier après-midi alors qu’il se trouvait seul dans sa classe après un cours», a rapporté le rectorat dans un communiqué de presse. […] Selon le procureur de la République de Reims, Matthieu Bourrette, cet adolescent letton de 15 ans et 11 mois, scolarisé en classe de première, a tenté d’étrangler son professeur puis a jeté une table dans sa direction.

    Bon élève mais manifestant un comportement plus difficile depuis la rentrée de septembre 2020, ce jeune homme «de confession musulmane» qui «pratique de manière assidue sa foi» a choisi de garder le silence pendant sa garde à vue mais a indiqué, «parmi les rares réponses qu’il a fournies, que les actes récents commis envers des professeurs étaient ‘des incidents très graves’», souligne le communiqué du procureur. […]

    Le Figaro via fdesouche