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  • Macron aurait refusé un test PCR pour éviter que Poutine ne fasse une armée de clones

    Publié par Guy Jovelin le 12 février 2022

    Le président russe impose depuis le début de la pandémie de coronavirus un protocole très strict à ses visiteurs pour éviter toute contamination.

    Plusieurs d’entre eux, comme le Premier ministre hongrois Viktor Orban ou le président iranien Ebrahim Raïssi, n’ont comme le président français pas pu approcher Vladimir Poutine lors de récentes visites en Russie.

    D’autres, comme le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev ce jeudi, ont été autorisés à lui serrer la main et n’ont pas eu à s’asseoir à l’autre bout d’une table de quatre mètres de long comme Emmanuel Macron, situation qui a suscité de nombreux commentaires sur un possible « message diplomatique » envoyé par le Kremlin.

    Selon les deux sources, le chef de l’Etat français avait été informé par la présidence russe de ce protocole et a pris sa décision en connaissance de cause.

    « On savait très bien que ça voulait dire pas de poignée de main et cette longue table. Mais on ne pouvait pas accepter qu’ils récupèrent l’ADN du président », a expliqué une des sources au fait du protocole sanitaire de l’Elysée.

    « Les Russes nous ont dit que Poutine devait rester dans une bulle sanitaire stricte », a dit la seconde source.

    L’Elysée a confirmé avoir jugé « inacceptable » le protocole sanitaire du Kremlin.

    « Les conditions protocolaires permettant un entretien entre les deux chefs d’Etat avec une distanciation moindre (contact avec serrage de mains et table plus petite) imposaient un protocole sanitaire qui ne nous paraissait ni acceptable ni compatible avec les contraintes d’agenda », a indiqué la présidence française.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Lille : un Irakien condamné pour avoir refusé un test PCR avant de monter dans l’avion qui devait le ramener dans son pays, impliquant de facto l’annulation du vol…

    Publié par Guy Jovelin le 31 août 2021

    Un jeune Irakien a été condamné par le tribunal correctionnel de Lille pour avoir refusé de se soumettre à un test PCR à Lesquin, avant de monter dans l’avion qui devait le ramener dans son pays. Là-bas, sa vie est menacée parce qu’il y a tenu un commerce de vente d’alcool.

    En janvier 2020, un Irakien de 26 ans est incarcéré pour avoir facilité des séjours irréguliers en France. «  En bande organisée  », est-il précisé à l’audience. Depuis sa sortie de prison, M.H. est au centre de rétention de Lesquin. Il comparaît, à nouveau, en cette fin du mois d’août, pour avoir refusé de se soumettre à un test PCR avant d’embarquer dans l’avion qui devait le ramener dans son pays. Impliquant de facto l’annulation du vol (il fait toujours l’objet d’une obligation de quitter le territoire)

    (…) La VDN via fdesouche

  • Le Tribunal de Prague casse l’obligation faite aux Tchèques de présenter un test PCR négatif pour pouvoir rentrer dans leur pays après un voyage

    Publié par Guy Jovelin le 02 avril 2021

    Tchéquie – Le tribunal de Prague a déclaré, dans un jugement daté du 31 mars 2021, que l’obligation faite aux citoyens tchèques de présenter un test PCR négatif lors de leur retour d’un séjour à l’étranger était anticonstitutionnelle. La décision du tribunal de Prague prendra effet ce lundi 5 avril.

    Le président du tribunal de Prague, Aleš Sabol, écrit :

    « Même à la lumière [des menaces liées à la propagation du covid], il n’est pas possible de renoncer aux principes fondamentaux de l’état de droit et le droit des citoyens tchèques de retourner librement dans leur patrie ne peut être restreint sans que cela soit absolument nécessaire »

    Le juge souligne que le fait d’obliger des citoyens tchèques à rester de facto dans un pays étranger est contraire à la Charte des droits et libertés fondamentaux.

    Selon le tribunal, le ministère de la Santé n’a pas fourni d’éléments probants prouvant la nécessité de cette obligation de test PCR pour des citoyens souhaitant revenir dans le pays dont ils sont les ressortissants : « l’État ne doit pas insister sur l’exigence de passer un test avant de rentrer en relation avec ses citoyens. En conséquence, la mesure n’a aucun fondement ».

     

    Source : medias-presse.info