En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
La pression migratoire et la délinquance juvénile assombrissent l’avenir de l’archipel français.
« Ils ont voulu le démembrer avant de le tuer. Ils ont mis le supplicié sur des tréteaux et le tenaient à plusieurs pour procéder à la découpe. » Le directeur territorial de la police nationale (DTPN) de Mayotte, Laurent Simonin, décrit un crime commis dans la folie de novembre à Mamoudzou, la capitale. Cet ancien de la préfecture de police de Paris, au physique de parachutiste et rompu à l’ordre public, poursuit son constat clinique : « Il y a une spécificité criminelle ici ; la mort est mise en scène pour semer l’effroi. » Avant, le corps d’une autre victime avait été exposé sur un pont, un autre à l’entrée d’un bourg, roulé dans une macabre chrysalide de feuilles de palmier tressées.
Sous les fenêtres du DTPN, la maternité de Mamoudzou subit de plein fouet la pression migratoire : pas loin de 12 000 naissances à prévoir en 2022, contre 10 000 d’ordinaire. C’est plus de 30 bébés par jour ! La construction d’un deuxième hôpital au sud de Grande-Terre est programmée. « Projet structurant » , se félicite-t-on à la préfecture. Au risque d’entretenir « l’appel d’air » , redoutent certains observateurs. Deux cents mètres plus bas, le bureau des « cartes de séjour » est pris d’assaut tous les matins par une marée humaine. Surtout des femmes en salouva , cette robe enveloppante aux couleurs vives qui cache les rondeurs. Elles arborent fièrement le m’zindzano , ce masque de poudre de bois de santal qui illumine le visage au premier sourire.
Tout pourrait être si paisible dans ces contrées baignées d’un islam modéré, mâtiné d’animisme. […]
« Si on ne fait rien, en 2050, il y aura 750 000 habitants à Mayotte » , reconnaît le préfet du département […]
un cadre de banque lâche : « Les Mahorais des familles les plus aisées n’étaient pas si mécontents de voir arriver des Comoriens pour accepter mille petits boulots dans cet archipel où l’argent liquide est roi. Et puis les nouveaux Français deviendront, pour les élus, une manne de nouveaux électeurs » . […]
Lors du procès pour meurtre insidieux devant le tribunal de grande instance d’Ulm, l’accusé a avoué les faits.
Au début de l’audience mardi, l’homme de 24 ans s’est exprimé en détail sur les faits qui lui sont reprochés et sur sa relation avec la victime présumée. L’accusé a reconnu avoir poignardé son collègue de travail de 54 ans avec un couteau en juin 2021.
L’Afghan a expliqué qu’il avait appris la mort de sa mère en Afghanistan la veille du crime. Il a donc rendu son collègue de travail responsable de cette mort.
►Ce dernier aurait apporté le pire à sa famille et il aurait donc dû le tuer. Peu avant le crime, il aurait dit à l’homme de 54 ans : “Tu as tué ma mère”. Dans plusieurs rêves, il aurait en outre vu des animaux lui tomber dessus, a déclaré l’homme au tribunal.
Selon les informations du tribunal, l’accusé avait déjà suivi un traitement psychiatrique auparavant. Un psychiatre participe en outre au procès en tant qu’expert.
Selon ses propres dires, l’accusé était un bon ami de la famille de la victime présumée. Selon les déclarations de l’accusé, l’homme de 54 ans lui avait trouvé un emploi dans l’entreprise de Munderkingen (district Alb-Donau) où les deux hommes travaillaient pendant les faits.
Selon les indications d’un technicien de la police scientifique, l’homme de 54 ans a reçu au moins neuf coups de couteau – l’un d’entre eux a été porté au cœur et a été mortel.
Je n’en peux plus de me lever chaque matin et de découvrir, horrifié, en faisant une revue de presse matinale, que certains de mes compatriotes se font violer, tabasser, tuer, égorger, pour un regard, pour une envie, pour une religion, par folie, par des individus qui, techniquement, pourraient ne pas être présents sur notre territoire (ou bien enfermés à double tour).
Ils s’appelaient Timothy, Mauranne, Laura, Florent… Je pourrais écrire des centaines de prénoms de ces jeunes Français, de Marseille, de Nantes, de Paris, d’Occitanie, qui meurent, qui se font violer ou agresser parce que l’État se montre défaillant, lui dont la fonction principale est normalement d’assurer leur protection et leur sécurité.
Qu’il y a aussi « des Français bien blancs qui tuent et qui violent » comme l’a encore déclaré ce week-end une membre du Modem (et là on a envie de répondre : « oui connasse, mais si en plus de nos assassins, on doit se coltiner ceux d’ailleurs, qui proportionnellement sont plus criminogènes et qui ont visiblement tout de même la culture du couteau un peu plus prononcée que chez nous, on fait comment ? »). Qu’il faut confier la gestion de l’immigration à des associations pilotées par des idéologues boomers, lunettes, air grave, cheveux gris et idées bien rouges, petits fonctionnaires à la retraite fascinés par l’Afrique du temps où Papa se comportait comme un colon là-bas.
La presse mainstream stigmatise sans arrêt « la désinformation », part en guerre contre « les fake news ». Mais si vous faisiez lire chaque matin une revue de presse comme celle du site Fdesouche à l’intégralité de la population française — qui verrait ce qui se passe quotidiennement partout en France — les responsables politiques seraient immédiatement déchus par la population, au minimum. Si aujourd’hui encore, le peuple ne se révolte toujours pas, c’est que chaque soir, sur les chaines du service public, on le désinforme et on lui parle si peu de Laura, Mauranne, Timothy, et de toutes ces victimes du laxisme d’État et d’une société de plus en plus violente et barbare. Ou quand on lui en parle, c’est toujours la même rengaine [« Pas d’amalgames ». « Ce sont des immigrés qui sont venus en aide aux victimes ». « Les populistes font de la récupération et jouent avec les peurs »].
Ces discours sont toutefois de moins en moins audibles. Le seul moyen utilisé par la population pour cracher au visage de tous ces petits fonctionnaires et magistrats zélés, de tous ces élus qui en croquent et qui font semblant de ne pas voir, de tous ces politiciens véreux qui ont fabriqué cette société ultra violente dans laquelle nous évoluons, c’est pour le moment le bulletin de vote, ou l’abstention. Pour le moment.
Car il ne faut pas être devin pour savoir qu’un jour viendra où des magistrats, des fonctionnaires, des élus, devront rendre des comptes, d’autres comptes, devant des tribunaux réellement populaires ceux-là, organisés par une population en colère et en souffrance. On sait ce que cela a donné il y a plusieurs décennies. On sait ce qui arrive quand on pousse un peuple à bout et que ce dernier commence à devenir plus barbare que les barbares qui l’ont asservi. Si on y rajoute la tribalisation, la communautarisation de notre pays, de notre continent, cela risque de ne pas être joli joli le jour où cela vacillera [la question n’est en effet pas de savoir si cela vacillera, mais quand…]
Les responsables de tout ce merdier ne sont pas les populistes. Ce n’est pas Salvini qui égorge un jeune homme en pleine rue parce qu’il a entendu des voix et qu’il n’aime pas les Blancs. Ce n’est pas l’électeur du Rassemblement national qui défouraille à la Kalachnikov dans une salle de concert pleine à craquer. Ce n’est pas Orbán qui balance à la flotte des migrants parce qu’ils sont catholiques et pas musulmans. Ce n’est pas le militant de Génération identitaire qui fouette, trie, esclavagise, des Africains de 15 ans en Libye parce que BHL et Sarkozy ont destitué le seul homme qui parvenait à gérer ce pays d’une main de fer. Ce ne sont pas les ouvriers, les artisans, les cadres français, qui sont responsables des guerres, des famines, du fait que les femmes africaines ne soient pas capables de se limiter à un ou deux enfants, ou que les réseaux d’eau et d’électricité soient minables sur ce continent.
Non. Les responsables de cette situation – qui amène à des tragédies diverses et variées – sont bel et bien ceux qui agissent au quotidien à la destruction d’une société, la nôtre, celle des Européens, que nos ancêtres ont façonnée durant des siècles et des siècles pour permettre à une majorité de nos peuples de tenter de vivre sereinement, en harmonie et en sécurité. Ceux qui libèrent des criminels. Ceux qui les autorisent à venir s’installer sur notre territoire et à agir contre notre population. Ceux qui s’indignent que l’on prétende fermer à clé la porte de notre maison commune. Ceux qui désarment les civils abandonnés à leur sort. Ceux qui font tout pour détruire la famille, socle de notre vie en société. Ceux qui, enfin, incitent à la haine de ce que nous sommes depuis des siècles et des siècles…
Ils s’appelaient Timothy, Mauranne, Laura, Florent… Morts abandonnés par les nouveaux gérants du vieux pays de leurs pères. Aujourd’hui, nos larmes sont remplies de rage et de colère.
Mocassins à glands, pull de créateur et pantalon en flanelle un peu trop ajusté, Sophien semble aller mieux, malgré une voix qui aurait inquiété l’ORL de Miles Davis. Le prévenu de 37 ans, longtemps commerçant sur la côte d’Azur, paraît bien différent de l’homme interpellé dans la nuit du 27 novembre dernier par des gendarmes, appelés à Gardanne pour un différend familial.
Alertés par sa mère, les militaires ont trouvé un jeune homme très excité, qui leur jette des objets à leur arrivée et tient des propos incohérents, puis inquiétants.
« Je vais faire saigner la France, tuer tous les chrétiens et les mécréants d’une balle dans la tête », leur lance Sophien, qui veut « raser la tour Eiffel » et se dit « pour Daech« .
[…]
…le magistrat, qui requiert 12 mois, pour moitié assortis de sursis et trois ans de mise à l’épreuve. « Ces dossiers-là ne sont pas des dossiers judiciaires », plaide Me Reynaud, s’accordant sur l’obligation de soins, car pour l’avocat aussi, il s’agit moins de terrorisme que de psychiatrie. Condamné à 18 mois avec sursis, Sophien sera pris en charge dans les prochains jours et suivi par un juge durant trois ans.