GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy Jovelin le 01 juin 2025

    502512913_10232303655308945_5799819403975183685_n.jpg

  • Technival en Lozère : les paysans font régner l’ordre

    Publié par Guy Joveli le 01 juin 2025

    Auteur : 

    Régulièrement c’est la même musique. Ils arrivent, ils s’installent et à leur départ, les lieux sont saccagés et souillés.

    Sans compter l’immonde bordel de musique dégénérée à pleine puissance.

    Et la force publique a bien entendu autre chose à faire que défendre la propriété privée qui, rappelons-le à toutes fins utiles, est un droit. Enfin… un droit… visiblement pas dans la République populaire démocratique de France.

    Et puis, faut comprendre. Les forces de l’ordre communiste sont très occupées à planter des amendes de 135 euros ou plus si affinités aux gens qui bossent.

    C’est vrai quoi ! On ne peut pas être partout à la fois.

    On ne peut pas s’occuper des pauvres qui grillent une clope en terrasse – voir mon précédent article sur le sujet – et en même temps s’occuper comme il se doit de dégénérés mentaux qui s’installent chez les autres, imposent leurs souillures dont la pollution sonore n’est qu’un moindre mal, et s’adonnent à la consommation et au trafic à grande échelle de produits illicites.

    Pour une fois, les agriculteurs ont pris les choses en main.

    Et c’était risqué Parce qu’en République populaire démocratique de Corée… pardon… de France, faire respecter la loi est un délit.

    Ceux qui se sont amusés à reconduire gentiment à la frontière quelques bienveillants venus nous enrichir s’en souviennent.

    Donc, les agriculteurs ne s’en sont pas laissés compter.

    Ils ont fait sentir la bonne odeur de lisier à des merdeux davantage habitués à sniffer autre chose.

    À une période où un agriculteur se suicide tous les trois jours, je veux rendre hommage à ceux qui, pour une fois, ne se sont pas laissés gagner par le désespoir.

    Dieu sait qu’il en faut du courage !

    Chapeau bas, chers amis paysans .

    Jacques Frantz

     

    Source : medias-presse.info