Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2025

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Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2025

Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2025
LE SCANDALE DE NANTERRE !
Voici un exemple de plaque qu'il faudrait plutôt mettre, à Nanterre (trouvé sur "X") :
Source : lafautearousseau
Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2025

En avril et mai, 16.000 Subsahariens ont été expulsés par l’Algérie vers le désert au nord du Niger. Derrière cette politique de rafles discrètes, Alger resserre ses liens avec la Tunisie, qui adopte les mêmes méthodes, loin des regards. Aux yeux des autorités, pas de sujet. Dans les médias d’État algériens, pas un mot. En Algérie où règne un «racisme» assumé, l’origine de ces migrants constitue une double peine. «Une chose est sûre, on ne dira jamais rien des Irakiens, des Libyens, des Syriens en Algérie. Mais ceux qu’on appelle “kahlouches”, “nègres”, sont maltraités. Dès que c’est de couleur, on expulse», souligne le journaliste Daoud Imoulayen.
«Ils viennent nous faire la morale mais c’est un comble, alors qu’eux-mêmes ne s’embarrassent pas de l’État de droit» , tance Xavier Driencourt, l’ancien ambassadeur de France à Alger.
Dans la chaleur torride du désert entre le Niger et l’Algérie , des files de camions se dirigent vers la frontière. À leurs bords, des dizaines et des dizaines de migrants – jusqu’à plus de 1000 en une journée. Les forces de l’ordre algériennes les laissent sans eau ni nourriture, sous des températures avoisinant les 50°C. Le cri d’alarme est venu d’abord d’ONG. Dans une déclaration commune publiée le 20 mai, plusieurs collectifs africains, notamment Alarme Phone Sahara et le Réseau Maghreb Sahel sur les migrations, ont alerté sur les méthodes «brutales», «inhumaines» parfois mortelles de ces véritables «rafles», opérées dans la plus grande discrétion.
Puis, les autorités nigériennes elles-mêmes ont brisé le tabou. À la télévision publique en mai, le général Ibrah Boulama Issa, gouverneur d’Agadez, ville carrefour pour les migrants venus de Côte d’Ivoire, du Mali, du Niger, du Burkina, a alerté sur une «vague de refoulement sans précédent de migrants en provenance d’Algérie». Dans la localité frontalière d’Assamaka, les centres de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), l’organisme onusien, sont en situation de «surpopulation», a indiqué le gouverneur. […]
Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2025

Amadeus Macron, Mozart de la finance : "In the baba"...
Synthèse nationale
Il y a un an, Paris et la France étaient sur le point d'accueillir les 33e Jeux de l'ère moderne. Manifestement, l'événement (à 6 milliards d'euros) a tellement fait rêver et mobiliser la Macronie qu'elle en a intégré la devise, Citius - Altius - Fortius : "Toujours plus vite, toujours plus haut, toujours plus fort", l'immigration, l'insécutité, le déclassement, l'endettement...
Ainsi, concernant ce dernier, l'Insee vient de rendre public sa nouvelle - et spectaculaire - progression : + 40,5 milliards d'euros pour le premier trimestre de 2025, soit dix fois plus que celle enregistrée au cours du trimestre précédent !
Sur un an (premier trimestre 2024-premier trimestre 2025), l'augmentation de la dette publique est de 185 milliards d'euros (de 3.160,8 milliards d'euros -110,4% du PIB- à 3.345,8 milliards d'euros -114% du PIB-) !
Comme le dit une vieille blague, un Etat en déficit, c'est un peu comme un pantalon sans ceinture ni bretelles. Ça peut tenir... Mais seulement un certain temps...
Face à ce nouveau dérapage, gageons que le gouvernement en exercice va s'employer, une fois de plus, avec le prochain budget, à pressurer au maximum le contribuable sans, toutefois, trop mécontenter l'électeur... La quadrature du cercle !
Merci qui ? Merci Macron !