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  •  C’était un… 30 juillet 1940 : création des Chantiers de Jeunesse.

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2025

     1940 : création des Chantiers de Jeunesse.

    Une superbe affiche, qu’on imagine mal sous notre régime.

    Le service militaire ayant été aboli dans les clauses de l’armistice, l’Etat français, sous l’égide du Maréchal Pétain, lança cette initiative sous le commandement du général de la Porte du Theil.
    Elle se proposait « de donner aux jeunes hommes de France, toutes classes confondues, un complément d’éducation morale et virile qui, des mieux doués fera des chefs et de tous des hommes sains, honnêtes, communiant dans la ferveur d’une même foi nationale ».
    Dans un premier temps, les jeunes hommes de la zone libre et de l’Afrique du Nord française en âge (20 ans) d’accomplir leurs obligations militaires y étaient incorporés pour un stage de six mois.
    Ils vivaient en camps près de la nature, à la manière du scoutisme et accomplissaient des travaux d’intérêt général, notamment forestiers. L’ambiance était paramilitaire, le sens de la hiérarchie et du respect des chefs très développé, et bien sûr les valeurs de la Révolution nationale imprégnaient cette œuvre participant à l’effort de redressement national.

    Relativement coupés des influences politiques (de la « Résistance » comme des partis collaborationnistes), les Chantiers étaient aussi vus par certains à Vichy comme le fer de lance d’une future armée qui pourrait éventuellement servir à libérer le territoire de l’Occupant. Par la suite, ils fournirent d’ailleurs aux forces alliées de nombreux hommes (pour autant souvent restés maréchalistes).

     

    Source : contre-info

  • À 2.000 euros, on vit dans "l'opulence" ?

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2025

    Quand on vous disait qu'on manquait de tout : de place dans les hôpitaux psychiatriques, dans les prisons...

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    À 2.000 euros, on vit dans "l'opulence" ?

    Mais, "ils" l'ont trouvée où, cette foldingue ?...

     

    Source : lafautearousseau

  • Ce « pognon de dingue » pour les salauds

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2025

    synthesenationale

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    La chronique de Philippe Randa

    L’arrivée en ce début d’été des premiers détenus à la prison de haute sécurité de Vendin-le-vieil a suscité un bel enthousiasme « à droite » de l’échiquier politique et un silence plus gêné « à gauche » de celui-ci, mais qui ne dit mot consent, n’est-ce pas.

    Quelques avocats directement concernés par ces « clients » et quelques autres plus compatissants envers les délinquants qu’envers leurs victimes, ont sonné le tocsin de l’indignation, du retour aux heures présumées les plus sombres de notre histoire, etc., etc., et Me Philippe Ohayon a même déposé une plainte pour abus d’autorité contre le ministre de la Justice Gérald Darmanin devant la Cour de Justice de la République (CJR) !

    Difficile d’interpeller nos compatriotes quand, en ces premiers jours de vacances, leur intérêt était de savoir où et comment ils allaient bien pouvoir oublier ce monde de brutes.

    Gérald Darmanin serait donc un ministre qui tient ses promesses. Ministre de la justice et ex-ministre de l’Intérieur, qui plus est. On a peine à y croire et pourtant…

    Pourtant, ça y est : le 24 juillet dernier, 12 nouveaux malfrats ont rejoint à Vendin-le-vieil les 7 premiers qui les y avaient précédés. Nom de nom de scrongneugneu… et ce n’est qu’un début !

    Qui douterait que les cellules ne continuent désormais à se remplir de tout le gratin du narco-trafic organisé ? Celles de Vendin-le-vieil, tout comme celles de l’autre prison de haute sécurité de Condé-sur-Sarthe ? Fort bien et quel honnête personne bouderait son plaisir à l’idée d’une telle perspective ?

    Seuls des esprits tout aussi honnêtes, mais néanmoins plus chagrins, font remarquer le coût de telles prisons, estimés en mars dernier par Gérald Darmanin « entre 4 et 5 millions d’€ pour la prison de Vendin et sans doute le même montant pour la prison de Condé. »

    Les bons comptes faisant parfois les désagréables constat, on ne manquera pas d’ajouter le cout mensuel d’un détenu ainsi « nourris, logés, blanchis » : à savoir en moyenne dans les 200 € selon un rapport parlementaire établi il y a 20 ans et ramené depuis (!) à seulement 105 € en moyenne par jour et par détenu.

    Oui, mais dans un autre rapport de 2023 sur la surpopulation carcérale, ce chiffre, corrigé à 130 € par l’administation pénitentiaire pour des personnes en attente de leur procès ou qui purgent des peines courtes, double pour celles incarcérées dans des maisons centrales. En cause : la sécurité, évidemment !

    Selon Benjamin Monnery, enseignant-chercheur en économie à l’Université Paris Nanterre et fondateur de l’Observatoire des disparités dans la justice pénale, « chaque place à la construction coûte entre 300.000 et 400.000 € à la collectivité. Un gros établissement un peu standard de 500 ou 600 places revient donc aux alentours de 200 millions d’€. En construire des dizaines, ça devient vite très cher, d’autant plus qu’à ces coûts de construction, il faut ajouter le coût de fonctionnement. Et donc, au total, un détenu, chaque année, coûte à la collectivité 50 000 €. »

    Et encore ne parle-t-il là que des détenus « normaux », pas de ce que coûtent les 100 plus gros criminels « parmi les plus dangereux de France » qui pensionneront à Vendin-le-vieil et à Condé-sur-Sarthe.

    On imagine aisément que leur « pension » mensuelle est forcément plus élevée : outre la sécurité renforcée, les salaires des personnels pénitentiaires sont probablement évalués en fonction des risques encourus autant que pour les dissuader de céder à de possibles offres de corruptions beaucoup plus importantes.

    Les mêmes esprits chagrins ne manqueront pas alors de faire également remarquer que ces super-criminels ont assassinés, torturés ou ordonnés de torturer (peut-être nous expliquera-t-on que c’est moins grave et plus excusable) des êtres humains… mais leur existence est pour tous les abolitionnites de la peine de mort tellement sacrée que ceux-ci estiment sans doute en leur âme et conscience que cela vaut sans doute bien la peine que le vulgum pecus (les contribuables français) mette la main à la poche. Et le plus profondément possible !

    Tant pis alors si tous l’argent que « ces humains-là » coûtent ne va pas plutôt dans les hôpitaux qui, on le sait bien, ne manquent nullement de moyens et dont le personnel est si grassement payé.

    Ces hôpitaux où les contribuables français – on doute que les « 100 plus gros criminels parmi les plus dangereux de France » en fassent partie – espèrent se faire soigner décemment… et parfois même sauver la vie.

    Lire EuroLibertés cliquez ici

  • Alerte du Syndicat de la Famille suite à la décision du Conseil d'Etat sur l'éducation sexuelle à l'école

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2025

    synthesenationale

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    Un communiqué de Ludovine de La Rochère,

     présidente du Syndicat de la Famille :

    Avec 300 parents d’enfants scolarisés et d’autres associations, nous avions saisi le Conseil d’État pour demander l’annulation du programme d’éducation sexuelle.

    Ce programme, en effet, est imprégné d’idéologie, très insuffisamment respectueux de l’intimité et de la conscience des élèves et il piétine le rôle éducatif des parents.

    Hélas, le Conseil d’État, comme l’Éducation nationale et nombre d’institutions, est gangrené par le wokisme : les nominations d’Emmanuel Macron et de ses gouvernements successifs expliquent largement cet "entre-soi" idéologique au sommet de l’État.

    Le 27 juin dernier, le Conseil d’État a donc rendu une décision mensongère et hypocrite : le décret n’a pas été annulé au prétexte que le programme serait "neutre" (sic), qu’il serait "progressif" (mais il est loin de l’être suffisamment !) et que "le Droit de l’éducation n’obligerait pas à informer en détail les parents sur les séances d’éducation sexuelle" (ce programme n’existait pas encore lors de l'adoption des lois qui constituent le Droit de l'éducation !).

    Bien évidemment, il n’est pas question d’abandonner la partie, l’enjeu est bien trop important pour l’équilibre, le respect, la conscience et l’éducation de nos enfants et petits-enfants.

    A partir du 1er septembre, Le Syndicat de la Famille diffusera donc, partout en France, un tract d’informations et de conseils destinés à tous les parents d’élèves. Il est impératif, en effet, de les alerter et de les aider à protéger leurs enfants de la propagande wokiste et transactiviste.

    Le tract du Syndicat de la Famille cliquez ici