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  • Pays-Bas : polémique autour d’un personnage grimé en noir du défilé de la Saint Nicolas

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2019

    Par  le 18/11/2019

    Le personnage de Black Pete [Zwarte Piet, en français le Père Fouettard], habituellement incarné par des Blancs au visage peint en noir, portant une perruque frisée et du rouge à lèvres rouge vif, provoque ces dernières années d’intenses discussions, voire parfois de violents heurts.

    Pour les militants antiracistes, ce spectacle est blessant pour les personnes noires et mauvais pour les enfants. Mais pour la majPays-Bas : polémique autour d’un personnage grimé en noir du défilé de la Saint Nicolasorité du peuple néerlandais, il n’y a pas de raison de changer une tradition festive considérée comme inoffensive.

    L’ONU ne cesse de demander au gouvernement néerlandais de débarrasser les festivités d’avant Noël de tout élément raciste, mais pour l’instant celui-ci refuse de prendre position […].

    Environ 15% des 17,3 millions de personnes que compte la population des pays-Bas, qui ont été pendant des siècles une puissance coloniale de premier plan, appartiennent à des minorités ethniques.

    The Guardian via fdesouche

  • Montluçon (03): meurtres de 3 retraités, viol d’une jeune femme, séances de tortures, le procès de deux jeunes Mahorais s’ouvre

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2019

    Par  le 18/11/2019

     

    […]
    Sur son lit médicalisé, Ginette Degl’Innocenti, 85 ans gît, le crâne déformé par les coups, dans une marée rougeâtre parsemée de tessons de bouteille. Dans une autre chambre, sous un monceau de vêtements, son époux Massimo, 71 ans, est allongé au sol, le corps lacéré et le visage enfoncé. Les deux retraités ont été suppliciés, entre autres, à l’aide d’un marteau, d’aiguilles à tricoter, d’une barre de penderie, d’un couteau à pain. Le ou les agresseurs n’ont même pas épargné les perruches du couple, qui reposent sur le flanc, dans leur cage.

    […] Dix jours durant lesquels une autre retraitée, Jeanine Ponce, 74 ans, sera mise à mort dans des conditions similaires, et une jeune femme violée pendant des heures en présence de son compagnon…

    Des crimes dont répondent à partir de ce lundi 18 novembre, et jusqu’à vendredi devant la cour d’assises des mineurs, à Moulins, deux jeunes garçons originaires de Mayotte. Alors âgés de seulement 17 et 18 ans, ils auraient agi sans raison, si ce n’est par désœuvrement.
    […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Brest : Lors d’un cambriolage, un Tunisien viole un enfant de 5 ans. Condamné en appel, il pourra finalement rester en France

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2019

    Par  le 15/11/2019

    Au terme de deux jours de débats à huis clos, la cour d’assises des Côtes d’Armor a condamné, ce mardi, Wael Haddad, 34 ans, à dix ans de réclusion criminelle, jugé en appel. En première instance, à Quimper, en décembre 2018, il avait écopé de huit ans de prison, ainsi que d’une interdiction définitive du territoire français, l’accusé étant de nationalité tunisienne.

    Le jury de Saint-Brieuc a lui aussi reconnu le trentenaire coupable du viol d’un garçonnet, mais aussi d’exhibition sexuelle et de vol en récidive. Le 25 mars 2016, il s’était introduit dans l’habitation d’une famille brestoise pour la cambrioler, avant de s’attarder dans la chambre des enfants. Le plus petit, âgé de cinq ans, avait été violé par le cambrioleur, fait confirmé par le grand frère.

    Placé en détention en avril 2016, après son interpellation à son retour de Tunisie par la brigade des mineurs du commissariat de Brest, il n’avait cessé de nier les faits. Il avait sollicité, en juillet 2018, une remise en liberté qui lui avait été refusée.
    La cour d’assises a également condamné Wael Haddad à un suivi sociojudiciaire de cinq ans, avec injonction de soins, obligation d’indemniser les victimes et interdiction d’exercer toute activité en lien avec des mineurs. S’il manquait à ces obligations, il encourrait quatre ans de prison.

    Si les jurés costarmoricains n’ont, cette fois, pas prononcé son interdiction définitive du territoire, il sera néanmoins interdit de présence dans la région Bretagne pendant dix ans. La cour d’assises a également ordonné son inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles.

    Le télégramme via fdesouche

  • Quartier de la Négresse à Biarritz – La dictature du politiquement correct s’acharne

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2019

    La dictature du politiquement correct s’acharne sur le quartier de la Négresse à Biarritz. Un procès relance la polémique : Karfa Sira Diallo, un activiste qui prétend faire la chasse au racisme qu’il voit partout, comparaîtra en janvier devant le tribunal de Bayonne.

    Au mois d’août, profitant du sommet du G7, Karfa Sira Diallo, fondateur de  l’association Mémoire et Partage, manifestait près de la gare de Biarritz, accompagné d’une poignée d’activistes du même genre. Les manifestants avaient été interpellés par la police et placés en garde à vue. Karfa Sira Diallo est convoqué devant le tribunal de Bayonne le 23 janvier prochain pour rébellion.

    Mais ce procès lui permet de trouver à nouveau une visibilité médiatique pour réclamer le changement de dénomination du quartier de la gare.

    Il n’y a pourtant aucune origine raciste dans le nom donné à ce quartier. C’est tout simplement parce qu’une serveuse noire ou métisse d’un restaurant du hameau a marqué les esprits de soldats de l’armée napoléonienne que ce quartier a conservé le nom de “quartier de la Négresse”.

    Le logo de la page Facebook du quartier de la Négresse

    Une ancienne carte postale publicitaire du Trinquet basco-béarnais à la Négresse

    Le logo des Tissus Dock de la Négresse

    Un ancien cendrier en porcelaine de l’Auberge de la Négresse

    Précisons encore qu’une simple recherche sur Google à partir du mot “négresse” permet de trouver différents comptes Twitter de jeunes femmes noires qui incluent avec fierté ce mot dans leur pseudonyme.

     

    Source : medias-presse.info

  • 150 églises par an sont cambriolées

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2019

    Auteur : Michel Janva

    150 églises par an sont cambriolées

    Les biens de l’Eglise ont toujours attirés les voleurs, qu’ils soient révolutionnaires, républicains ou de grand chemin :

    Le casse de la cathédrale d’Oloron de ce mois-ci est le dernier vol en date d’un « grand pillage des églises françaises » commencé au début du XXe siècle. « Il y a eu une première vague en 1907, après la loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905, puis les vols pendant les deux guerres, et enfin, après Vatican II, dans les années 60, quand l’Église a vendu certaines œuvres, créant un marché », raconte Judith Kagan. Le marché a attiré les pillards. Dans les années 60, de grands retables en bois ou en albâtre sont volés sans vergogne, puis vendus à la découpe. Des centaines de statues grand format disparaissent, des tableaux, des objets de culte en or…

    […] Chaque année, jusqu’à la fin des années 2000, plusieurs centaines d’églises sont dévalisées tous les ans. […]

    « Il y a encore 150 églises par an qui sont cambriolées, explique-t-il, contre 300 avant, et généralement, les cambrioleurs ne s’emparent désormais que des objets du culte assez ordinaires, des chasubles ou des calices, qu’ils vendent dans des brocantes ou sur Internet. C’est fini le temps où les statues étaient découpées au burin par des équipes qui les écoulaient sur le marché de l’art ». […]

     

    Source : lesalonbeige