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15 jeunes Erythréens sauvés des prisons libyennes par les Nations Unies viennent d’arriver à Bayonne. Ils vont apprendre le français et un métier. Une nouvelle vie doit commencer pour eux.
Ils sont arrivés fin octobre après avoir pris un avion de Niamey (capitale du Niger) et via Orly ils ont atterri à Biarritz. Ils parlent quelques mots d’anglais appris au cours de leur exil mais ils s’expriment principalement dans leur langue maternelle , le Tigrinia. Ils s’excusent mais pour l’instant ils préfèrent ne pas trop s’exprimer à un micro ou d’être pris en photo […]. Certains ont une femme et des enfants en Eryhtrée.
Ces jeunes hommes ont fui « la pire dictature du monde » souligne Laurie Etchepare, cheffe du projet Start Hope (Hébergement Orientation Parcours pour l’Emploi). Un programme soutenu par le ministère de l’Intérieur en partenariat avec l’AFPA, l’Agence pour la Formation Professionnelle des Adultes et Pôle Emploi.
Leur passé restera confidentiel, « leur dossier ne nous sont pas accessibles mais on peut imaginer qu’ils ont connu l’enfer voire l’horreur » souligne Laurie Etchepare.
Ils vont apprendre le français et un métier
Michel Vanzo, le directeur de l’AFPA de Bayonne a accepté de prendre en charge ces 15 jeunes fort de son expérience , il y a 2 ans, lorsque son établissement a hébergé 25 migrants (Soudanais, Somaliens et Erythréen) en ouvrant un CAO (Centre d’Accueil et d’Orientation). La grande différence entre ces 15 jeunes Erythréens et les 25 migrants est leur statut. En tant que réfugiés, ils sont détenteurs d’une carte de séjour de 10 ans et ils vont bénéficier de 5 mois de cours intensifs de français et 7 mois de sensibilisation à un métier afin ensuite d’entrer en apprentissage.
« On a déjà commencé quelques ateliers en charpente et ils s’éclatent… »
L'avis de Jean-François Touzé membre du Bureau Politique du Parti de la France
Après 42 ans d'engagement militant qui l'ont conduit à exercer les plus hautes responsabilités à la direction du Front national d'abord, à la tête du Parti de la France ensuite, Carl Lang, ancien député européen, président du groupe FN au Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais, a décidé, pour des raisons qui le regardent et au terme d'une longue réflexion, de se retirer de la présidence du PdF et de prendre du champ par rapport à la politique active, sans, pour autant, s'interdire de participer au débat d'idées au service de la Cause.
L'amitié qui nous unit depuis 36 ans et l'estime que j'ai pour lui me font dire que j'espère vivement que ce retrait ne sera que momentané.
Je ne doute pas que l'expérience qui est la sienne, le talent que je lui connais, la rigueur dont il ne s'est jamais départi, la cohérence de son engagement et la constance de sa ligne politique — la ligne droite, nationale et populaire — seront, un jour ou l'autre, lorsque les circonstances seront réunies, à nouveau utiles au mouvement national et à la France.
Le combat continue. Le Parti de la France tiendra son quatrième congrès le samedi 30 novembre à Paris. Un nouveau président sera élu que je soutiendrai et une nouvelle direction mise en place qui devra allier dans un même Conseil national et un même Bureau politique, l'expérience des anciens et l'énergie de la jeunesse.
Que personne ne doute de ma détermination, aux côtés du Président élu, de servir dans la fidélité à la ligne politique de Carl Lang, qui, de tout temps fut aussi la mienne, les idéaux de la droite nationale.
J'invite tous mes amis, tous ceux qui, à un moment où un autre d'un parcours politique déjà long, ont bien voulu me faire confiance à nous rejoindre ou à continuer de nous suivre dans un esprit de fidélité, de camaraderie militante et de reconquête politique.
Nous avions signalé que Carl Lang abandonnait la présidence du Parti de la France. Nous signalions qu’une rumeur évoquait deux candidats à sa succession : Jean-François Touzé et Thomas Joly.
Or, nous recevons cette mise au point de Jean-François Touzé :
Bonjour,
Dans l’article que vous avez consacré au retrait de Carl Lang, vous me prêtez l’intention d’être candidat à sa succession à la présidence du Parti de la France.
Votre information est fausse. Je ne suis pas — ni ne serai le 30 novembre — candidat.
L’énergie et les qualités personnelles de Thomas Joly, jointes à sa connaissance du PdF dont il est secrétaire général depuis dix ans, me semblent propres à lui permettre d’assurer la nécessaire cohésion du mouvement tout en initiant une nouvelle dynamique. Je le soutiendrai donc.
J’ai, en revanche, la ferme intention d’exercer les responsabilités politiques qui seront peut être les miennes au sein du parti, dans la fidélité à la ligne constamment défendue par Carl Lang dont je ne doute pas que, au delà d’un éloignement que je souhaite momentané, il aura encore bien des services à rendre à la France et au mouvement national.
Bien cordialement. Jean-François Touzé.
Sauf surprise, Thomas Joly devrait donc devenir le nouveau président du Parti de la France lors du congrès de ce parti qui se tiendra le 30 novembre.
Quel ancien enfant – et nous sommes nombreux dans ce cas – n’a jamais eu conscience d’avoir échappé à ce sort funeste : être oublié par ses parents dans la voiture ! Oh ! La boulette !
Ou quel ancien parent – ça fait du monde, aussi ! – a-t-il jamais imaginé qu’il lui fut possible de commettre une telle abominable étourderie ?
Mais que les générations futures, dignes descendants des preux guerriers de jadis, soient rassurées : leur sécurité est désormais « sous contrôle » avec… le détecteur anti-oubli de bébé dans les voitures !
Ce sont nos proches voisins d’au-delà les Alpes qui ont pris conscience de l’urgence de sauver la vie des plus petits ; ils nous montrent la voie à suivre : « Depuis le 7 novembre, en Italie, tout parent doit posséder un détecteur anti-oubli sur le siège-auto de son enfant, si celui-ci a moins de 4 ans. Qu’ils décident d’acheter un nouveau siège ou qu’ils équipent l’ancien d’un détecteur, les parents éviteront grâce à ce dispositif d’oublier les bambins dans la voiture. En plus d’émettre des signaux sonores, le système peut lancer des appels téléphoniques ou envoyer des messages de type SMS ou WhatsApp aux parents », nous apprend France info.
Et gare aux mauvais parents radins ou distraits : s’ils n’installent pas le détecteur, une amende de 80 à 326 euros et un retrait de cinq points sur leur permis de conduire leur rappelleront leurs nouvelles obligations.
C’est vraiment beau le progrès ! Peut-on vivre sans lui, d’ailleurs ? Sans doute pas pour les Géo Trouvetou de ces idées nouvelles qui ne peuvent que forcer l’admiration de tout un chacun… en nous donnant l’occasion de réaliser avec une stupéfaction matinée d’une horreur incommensurable les dangers que l’on a courus dans la vie, dangers d’autant plus terrifiants… que jusqu’à présent, on les ignorait !
« Le film ouvertement dreyfusard, J’accuse, (avec le grimaçant Jean Dujardin) a été diffusé en avant-première ce début novembre à l’École militaire, où il a pour l’essentiel été tourné. En salles depuis le 13 novembre, la nouvelle œuvre du fils de Sem, Roman Polanski, produit par un certain Alain Goldman, retrace d’un point de vue monochrome et geignard le parcours du Capitaine Dreyfus. Le film, présenté avec un grand sens de la nuance comme « retraçant le plus grand scandale antisémite de la fin du XIXe siècle en France » (sic), a été projeté en avant-première à l’École militaire en présence de nombreux haut gradés en extase, dont le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre. La Grande Muette (surnom ici fort galvaudé) a par ailleurs ouvertement collaboré à ce projet pseudo-historique, tourné là-même où le capitaine Dreyfus avait été dégradé de ses titres le 5 juillet 1895 pour haute trahison (condamnation confirmée deux fois par la suite par des tribunaux militaires).
En juillet dernier, [le] ministre des Armées, Florence Parly, a estimé que « 120 ans plus tard, il est encore temps que les Armées redonnent à Alfred Dreyfus tout l’honneur et toutes les années qu’on lui a ôtés », ce qui est faux sachant qu’en 2006 déjà, “saint” Jacques Chirac avait présidé une cérémonie en l’honneur du capitaine Dreyfus, « injustement accusé de collaboration avec l’ennemi ». Arrêtons-nous un instant sur cette Parly… Le Ministre en charge de nos armées traîne en effet une impressionnante batterie de casseroles : elle est la cible du Parquet Financier dans une affaire de trucages d’appels d’offres — lorsqu’elle était directrice générale à la SNCF — au profit de la société IBM. Elle a par ailleurs perçu près de 52.000 euros par mois, pas moins, pour ses quelques mois passés à la tête du mastodonte. Enfin, Florence Parly a reçu un parachute doré de 675.800 euros suite à son départ de la société Air France en 2014, fait découvert et dénoncé récemment. Nous avons donc affaire à une donneuse de leçon qui n’est pas dans la disette. [elle a aussi voulu épurer politiquement les lycées militaires – NDCI]
Bien entendu, nul ne sera surpris que le film reprenne à son compte l’image d’un Dreyfus innocent, la vérité officielle relevant du gavage d’oies. Seul hic : la thèse selon laquelle le virginal Dreyfus est la cible de méchants complotistes n’aimant pas le Grand Sanhédrin se heurte de plein fouet à une succession de travaux charpentés démontrant l’inverse. Sans même évoquer les pamphlets d’André Figueras ou de François Brigneau, on signalera entre autres les livres ou articles de Dutrait-Crozon, de Roget, de Vignancour, de Galabru, d’Amiot, de Monique Delcroix, de Plouvier. Enfin le dernier en date, très fouillé, malgré des faiblesses justement soulignées par Monique Delcroix, L’Affaire Dreyfus, entre farces et grosses ficelles d’Adrien Abauzit, avocat au barreau de Paris, fait un tour exhaustif de la question.
Le lecteur ira donc avec profit se balader à la campagne, jouer aux boules, ou visiter des cathédrales, plutôt que d’ingurgiter ce navet. Quant à Polanski, la sortie de son pensum est désormais entachée d’une accusation de viol ! En effet, lui qui est poursuivi par la justice américaine depuis 1977 pour le viol d’une mineure de treize ans, et sur lequel pèsent deux autres accusations de même type, se voit accusé sans détours par une comédienne, Valentine Meunier : « Est-ce tenable, sous prétexte d’un film, sous couvert de l’Histoire, d’entendre dire “J’accuse” par celui qui vous a marquée au fer, alors qu’il vous est interdit, à vous, victime, de l’accuser ? », interroge-t-elle, ce qui, dans le monde fou dans lequel nous vivons, pourrait presque apparaître pour des propos aux relents antisémites. Dans un texte publié le 8 novembre dernier par Le Parisien, Valentine Monnier fait en tout cas le récit d’un Roman Polanski violeur et écumant, cela en 1975, en Suisse, alors qu’elle avait à peine 18 ans.
Se pourrait-il donc que le donneur de leçon ashkénaze soit en réalité un fieffé coquin ? Il semble mal placé en tout cas pour dire le Bien et le Mal. Mais on connaît le culot phénoménal de certains… »
Voici une émission dans laquelle Adrien Abauzit évoque « l’affaire », qu’il a minutieusement et honnêtement étudiée pour son livre l’affaire Dreyfus entre farces et grosses ficelles (disponible ici) :