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  • Montauban : Emilie et Laura tuées au couteau et à l’arme à feu, Nouredine et Mehdi en garde à vue

    Publié par Guy Jovelin le 15 novembre 2019

    Les féministes parlent beaucoup en ce moment des « féminicides » (sic –    les meurtres de femmes par leur conjoint ou ex-conjoint) et énoncent beaucoup de chiffres.
    Mais avoir enfin des statistiques ethniques serait peut-être un bon moyen d’appréhender mieux le phénomène, non ?!

     

    « Les corps de deux femmes ont été découverts hier dans un quartier tranquille de Montauban. Les deux victimes, âgées de 38 et 18 ans, ont tuées à l’arme blanche et au fusil. Les deux compagnons des victimes, Nouredine, 35 ans et Mehdi, 17 ans, ont été placé en garde à vue. Ils nient leur implication dans ce double crime.

    Il est 4h00, jeudi 14 novembre dans le quartier calme de Villebourdon à Montauban, dans le Tarn-et-Garonne, quand Medhi, 17 ans, se précipite, en caleçon, gravement blessé aux mains, chez ses voisins et implore de l’aide.

    Il déclare qu’un inconnu est dans le pavillon de sa mère Emilie, agent immobilier de 38 ans, et qu’il a assassiné celle-ci. Il déclare en outre que l’homme est à l’étage avec sa petite amie Laura, 18 ans qui serait en danger.

    Les forces de l’ordre et les secours, alertés par le jeune homme, se transportent sur les lieux. Ils découvrent dans la pièce principale le corps de la mère, tuée de nombreux coups de couteau et d’un tir d’arme à feu au niveau du cou.

    A l’étage, le corps de la jeune fille, tuée d’un coup de feu en plein cœur est retrouvé par les policiers. Un fusil de chasse et deux douilles percutées seront également découvert non loin des corps au cours des premières constations.

    Mehdi, grièvement blessé aux mains, a priori par un tir d’arme à feu, est hospitalisé et opéré avant d’être interrogé par les enquêteurs. Ses déclarations au SRPJ de Montauban sont en contradiction avec les premiers éléments de l’enquête.

    Un deuxième homme a été placé dés le début de matinée en garde à vue dans cette affaire. En effet à 5h00, le compagnon de la mère fait irruption, ivre, sur les lieux du crime. Cet homme de 35 ans, prénommé Nouredine, est gérant d’une épicerie de nuit à Montauban.

    L’homme entretien une relation houleuse avec Emilie. Il a déjà été condamné pour des violences vis à vis de sa compagne et il est sous le coup d’une mesure d’éloignement, visiblement non respectée, depuis deux ans après l’avoir agressé au couteau.

    En garde à vue, après plusieurs heures de dégrisement, il déclarera aux enquêteurs n’être pour rien dans ce double homicide et avoir passé la nuit dans son épicerie avant de boire quelques verres avec des connaissances.

    L’enquête diligentée par le parquet de Montauban se poursuit et l’exploitation de divers éléments tels que la vidéosurveillance, la téléphonie et l’autopsie des corps des victimes, devrait permettre de comprendre les circonstances et les mobiles de cet horrible crime. »

    Source : La Dépêche/Europe 1 via fl24

  • Gers : Incendie criminel et satanique dans la cathédrale d’Eauze ?

    Publié par Guy Jovelin le 15 novembre 2019

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    Incendie criminel et satanique dans la cathédrale d’Eauze ?

    Cette cathédrale Saint-Luperc d’Eauze a conservé son titre bien que le diocèse d’Eauze ait disparu dès le IXe siècle. Elle est désormais une église catholique de la paroisse Notre-Dame-de-la-Gélise, rattachée à l’archidiocèse d’Auch. L’incendie, assurément criminel, a été commis le 11 novembre, et il est peut-être dû à des satanistes.

    Un crucifix, normalement placé derrière l’autel de messe, se retrouve à l’envers. Sur une porte close, à l’extérieur de l’édifice, écrite au stylo, une inscription : « Satan est plus fort que Dieu Ah Ah ».

    Pour le maire, Michel Gabbas,

    « il y a pas mal d’indices qui font penser à un acte sataniste ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Arabie Saoudite : le féminisme désormais sanctionné de peines de prison et de coups de fouet

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2019

    Le féminisme, un “extrémisme” puni comme les autres

  • Nous ne voulons pas de "jardin du souvenir".

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2019

    L’image contient peut-être : une personne ou plus, personnes assises et intérieur
    Jean-François Touzé membre du Bureau Politique du Parti de la France
     

    A l'initiative de madame Hidalgo, maire socialiste de Paris, un jardin du souvenir va être bientôt inauguré en hommage aux morts du 13 novembre 2015. Après les bougies, les ours en peluches et les bouquets de roses, le gazon mémoriel...

    Nous ne voulons pas de "jardin du souvenir".

    Nous voulons des fosses profondes remplies de chaux vives pour les cadavres des terroristes islamiques que, dans un État national, nos services spéciaux auraient pour mission prioritaire d'anéantir.

    Nous ne voulons plus de bougies, nous voulons la flamme des armes de nos soldats et de nos agents pour gagner la guerre que nous a déclarée l'islamisme politique hégémonique.
    JFT

  • Italie – La municipalité de Predappio refuse de payer la visite à Auschwitz

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2019

    « Le train de la mémoire ne va que dans une seule direction, c’est du parti-pris, nous n’allons pas coopérer. Lorsque les trains s’arrêteront près des Foibe et dans les Goulags, nous reviendrons sur cette décision. »

    La controverse a éclaté à la municipalité de Predappio, en Italie du Nord, qui a motivé par ces mots la décision de ne pas soutenir financièrement le projet d’un jeune étudiant appelé Promemoria Auschwitz-Treno della Memoria (Promémoire Auschwitz-Train de la Mémoire).

    Un choix qui a provoqué l’indignation des antifascistes et de l’association GenerAzioni :

    « La municipalité de Predappio refuse toute contribution à la participation d’étudiants déjà inscrits au projet du Train de la Mémoire. Notre association complète pourtant avec un montant de 370 euros le solde qui manque pour permettre à un étudiant de réaliser son projet », explique le groupe GenerAzioni.

    Selon Il Resto del Carlino, cette situation est liée à un projet qui prévoit depuis 2011 la participation des élèves du secondaire, projet auquel l’administration municipale a toujours contribué financièrement. Cette année, les étudiants retenus pour aller en Pologne sont deux : pour l’un d’eux, le voyage a été payé par l’Anpi Forlì-Cesena, tandis que pour le second, le déplacement devait être financé par l’administration municipale, qui a refusé. Le groupe GenerAzioni assumera donc les coûts. Non sans avoir au préalable publié une déclaration stigmatisant la décision du maire :

    « Nous considérons qu’il s’agit d’une décision très grave qui engage la responsabilité de l’administration municipale de Predappio : en refusant de contribuer à cet important projet, elle empêche les jeunes de connaître leur histoire de manière critique ».

    Il Resto del Carlino rapporte les déclarations de Roberto Canali, premier maire de centre-droite de Predappio :

    « Nous ne sommes pas opposés au Train de la Mémoire ni à visiter les camps de la mort nazis, y compris Auschwitz, mais nous sommes opposés à ce que ce train n’affiche qu’une seule destination : Auschwitz. Quand les Trains de la Mémoire iront dans toutes les directions et s’arrêteront dans d’autres lieux d’oppression du XXe siècle, tels que le mur de Berlin ou les Foibe, notre administration contribuera à cette initiative. En fait, l’histoire doit être connue dans son intégralité et pas seulement de manière partisane. La connaissance d’une histoire partisane ne peut pas être financée par des fonds publics ».

    Et il a conclu :

    « Nous préférons ne pas collaborer avec des gens qui ne veulent que valoriser un certain souvenir en oubliant tous les autres. Quand les trains s’arrêteront aux Foibe et aux Goulags, nous reviendrons sur cette décision ».

    Les Foibe désignent le massacre, dans l’arrière-pays de Trieste, de milliers de personnes, essentiellement des italiens et italophones (entre 4 000 et 12 000, 17 000 au total sans tenir compte des nationalités), qui furent précipitées dans des gouffres, les Foibe, morts ou vivants, essentiellement par les partisans communistes du maréchal Tito, à partir du 

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info