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  • « Primaire des droites » : réponse du Parti de la France à Nicolas Dupont-Aignan

    Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2020

    Voici quelques jours, Marine Le Pen, montrant ainsi le peu d'intérêt qu'elle porte aux élections municipales qui approchent, annonçait avec deux ans d'avance sa candidature à la prochaine Présidentielle.

    Ce lundi, c'est Nicolas Dupont-Aignan qui lance un appel à l'organisation d'une « grande primaire des droites conservatrices, souverainistes et indépendantes » à laquelle, dans une sorte d'inventaire politicien à la Prévert, il convie, outre lui-même, la Présidente du Rassemblement national, les anciens candidats à la présidence des Républicains, Julien Aubert et Guillaume Larrivé, ainsi qu'Éric Zemmour et Natacha Polony.

    Seuls les naïfs et les opportunistes verront dans cette initiative autre chose qu'un énième gadget publicitaire dont le Président de Debout la France s'est fait, en même temps que de la pratique de la reculade, une spécialité.

    L'action politique est une affaire sérieuse. Elle impose la rigueur dans sa conduite, le sens des possibilités, la vision des chemins à parcourir et la patience dans son accomplissement. Le Salut national ne passe ni par des recettes éculées comme les primaires, ni par des combinaisons dérisoires, ni par le mythe de l'union des « conservateurs », mais par la cohérence politique du camp national et par son rassemblement sur la base de ses idéaux.

    Le Parti de la France laisse donc Nicolas Aignan à ses rêves, a ses illusions, à ses manœuvres et à ses tentatives d'exister.

    Le Parti de la France poursuit son chemin avec la volonté de servir à la recomposition et à l'unité de la droite nationale.

    Thomas Joly - Président du Parti de la France

  • 150 quartiers en France sont « tenus » par les islamistes, selon un document classé secret-défense de la DGSI

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2020

    Par  le 20/01/2020

    La DGSI a listé 150 quartiers sous l’emprise de l’islam radical

    Le 5 janvier, après l’attentat de Villejuif, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a adressé un télégramme aux préfets pour leur demander de réunir les GED (groupes d’évaluation départementaux). La DGSI vient de cartographier les quelque 150 quartiers « tenus » selon elle par les islamistes : un document classé secret-défense, qui n’a pas été divulgué, à l’exception de l’Intérieur, même aux ministres intéressés. Lesquels se voient présenter le document oralement par un fonctionnaire assermenté, tant le sujet est sensible…

    Outre les banlieues de Paris, Lyon et Marseille, depuis longtemps touchées par le phénomène, y figurent plusieurs cités du Nord : entre autres Maubeuge, où l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) a atteint 40% dans un bureau de vote et où « la situation est alarmante » ; l’agglomération de Denin ; ou encore Roubaix, où, « bien qu’historique, la situation prend des proportions inquiétantes », selon un préfet. Mais aussi des zones plus inattendues, comme en Haute-­Savoie ou dans l’Ain, à Annemasse, Bourg-en-Bresse, Oyonnax ou Bourgoin-Jallieu. Encore plus surprenante, « l’apparition de microterritoires qui se salafisent dans des zones improbables », poursuit ce préfet, comme Nogent-le-Rotrou, en Eure-et-Loir.

    Le JDD via fdesouche

  • Toulouse : la combine de certains policiers municipaux pour éviter de payer le stationnement (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2020

    Des policiers municipaux avaient mis en place durant plusieurs mois une combine pour éviter de payer les horodateurs dans un quartier du centre-ville :

     

    Source : ndf

  • Des images de Paris entre 1890 et 1900 (video) :

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2020

    Quand on s’habillait du mieux possible et qu’on était courtois…

     

    Source : contre-info

  • « Démonstration de force »

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2020

     le 

    « Démonstration de force »

    Communiqué du collectif Marchons enfants :

    Malgré les grèves et le contexte social, la manifestation unitaire contre la PMA sans père, la GPA et le projet de loi bioéthique a rassemblé plusieurs centaines de milliers de personnes.

    « Une démonstration de force » : le message est clair. Le mouvement associatif partenaire du label « Marchons Enfants » a réussi son pari : poursuivre la mobilisation pour le retrait du projet de loi bioéthique. Un projet de loi ni bio, ni éthique, et même clairement anti-éthique. Compte tenu des enjeux, les organisateurs ne souhaitent pas contribuer à une énième bataille des chiffres face aux estimations fantaisistes de la préfecture de police et d’un cabinet privé, qui a su trouver une niche pour faire parler de lui gratuitement à chaque manifestation.

    Le sujet est trop grave. La loi va-t-elle priver volontairement des enfants de père, de l’amour d’un père, tout au long de leur vie ? Ce serait une profonde injustice. Ce projet de loi va retirer des droits aux enfants, à commencer par celui d’avoir un père à ses côtés pour grandir. Les centaines de milliers de manifestants ont démontré par leur présence la puissance, la vigueur et la détermination du mouvement social. Désormais, le gouvernement n’a pas d’autre choix que de répondre aux vives et légitimes inquiétudes exprimées, sans le moindre incident, par une foule familiale et populaire. Les observateurs ont tous salué la forte présence de la jeunesse au cœur du cortège, notamment parmi les milliers de volontaires qui ont permis le succès de la manifestation. Cette jeunesse exprime une attente claire : le retrait du projet de loi bioéthique. Selon une enquête Ifop publiée cette semaine, près de 2 jeunes sur 3 (64% des 18-25 ans) souhaitent le retrait du projet de loi.

    Parce que la famille est plébiscitée par les Français, il y a urgence à poursuivre la mobilisation. L’examen du projet de loi en 1ère lecture au Sénat doit démarrer mardi 21 janvier. C’est pourquoi, le mouvement associatif et les associations partenaires du label « Marchons Enfants » appelle à de nouveaux rassemblements le 21 et le 22 janvier à 19h devant le Sénat (rue Tournon).

    La démonstration de force de ce jour marque un tournant dans le processus politique de ce projet de loi. Le gouvernement doit sortir du silence, de l’indifférence et du mépris vis-à-vis des Français.

     

    Source : lesalonbeige