Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2020
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2020
Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2020
L’hôpital de Bagnères-de-Bigorre avait décidé, sans doute selon la jurisprudence qui a condamné Vincent Lambert, d’arrêter l’hydratation et l’alimentation d’un patient septuagénaire le 3 décembre 2019, hospitalisé à la suite d’un accident cardiaque. Lors d’une audience, vendredi 10 janvier, le juge des référés du tribunal administratif de Pau a suspendu cette décision, après avoir été saisi par la femme et le fils.
L’avocat indique :
“Son état était stable”. “Avant le mois de décembre, il a fait une fausse route, qui selon la famille est due à une mauvaise manipulation de l’équipe médicale. Il a contracté une pneumopathie. C’est à la suite de cela que l’hôpital a pris la décision de cesser les soins.”La présidente nous a donné raison, car la décision médicale doit être prise de façon collégiale et ce n’était pas le cas”. L’alimentation et l’hydratation du patient ont repris. Depuis, il a rouvert les yeux et a pu communiquer avec sa femme en battant des paupières. “Il n’avait pas pu le faire depuis un mois, cet homme a dû énormément souffrir”.
La famille a porté plainte auprès de la gendarmerie de Bagnères-de-Bigorre, et une enquête a été ouverte pour “traitement inhumain et dégradant, et non assistance à personne en danger“.
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2020
La commission de discipline de la Ligue de football professionnelle (LFP) a inflige à l’OGC Nice ce jeudi une amende de 2000 euros, avec sursis. Motif ? Les enfants qui accompagnaient les joueurs niçois et toulousains sur la pelouse de l’Allianz Riviera le 21 décembre dernier, avant le coup d’envoi d’une rencontre de la 19e journée de Ligue 1 entre Aiglons et Pitchounes, arboraient un… bonnet de Noël. Incroyable mais vrai.
En l’occurrence, les règlements de la LFP exigent, visiblement, que lesdits enfants accompagnateurs portent exactement la même tenue que les 22 acteurs. La réponse de l’OGC Nice n’a pas tardé à tomber. Acide. Un communiqué titré sous forme de question : «Le Père Noël est-il une ordure ?». […]
Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020
Jean-Luc Moudenc, le maire de Toulouse et président de Toulouse Métropole a vécu des vœux mouvementés, ce jeudi en fin de matinée, au palais des sports de la ville. Alors que l'élu présentait ses vœux comme chaque année à plusieurs milliers de fonctionnaires municipaux et métropolitains, une centaine de manifestants ont fait irruption dans la salle.
C'est vers 11h30 que des manifestants qui défilaient à l'extérieur contre la réforme des retraites et des Gilets jaunes sont rentrés dans la salle et sont montés sur la scène où se trouvait Jean-Luc Moudenc aux côtés d'un autre élu, Henri De Lagoutine adjoint en charge du personnel, et le directeur général des services de la métropole.
La police municipale de Toulouse est rapidement intervenue à l'aide de gaz lacrymogène. Puis les CRS et les gendarmes mobiles ont fait irruption pour déloger les manifestants. De nombreuses personnes sont sorties de la salle tandis que Jean-Luc Moudenc attendait que le calme revienne. Ce dernier a déploré cette action. "Lorsque je suis confronté à ce genre de situation, j'ai des principes : ne jamais céder reculer faiblir", a déclaré le maire de Toulouse.
"La jovialité de ces vœux a été édulcorée et je peux comprendre que certains agents soient un peu découragés. Nous constatons un affaissement, un recul de l’autorité républicaine face à ceux qui font profession du désordre et qui nourrissent des principes contraires à ceux de la démocratie. Je leur ai proposé de prendre la parole en échange de sortir. Quel que soit le bord politique, je condamne la violence. Un agent de la collectivité a été blessé et des portes ont été cassées", a ajouté Jean-Luc Moudenc.
Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020