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  • L’icône féministe Simone de Beauvoir abusait de ses élèves mineures avant de les rabattre sur le pervers Sartre

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020

    Pour un public averti…

    Simone de Beauvoir (1908-1986) fut une militante de l’athéisme, du communisme et de l’existentialisme (doctrine de son concubin, le funeste « philosophe » Jean-Paul Sartre). Elle fut aussi– et c’est surtout à ce titre qu’elle est connue aujourd’hui – une pionnière et championne du féminisme.

    Comment se fait-il que cette ancienne enseignante soit une icône de ce mouvement – et que son nom soit donné à de nombreux collèges et écoles ! – alors qu’elle fut non seulement une prédatrice sexuelle abusant de certaines de ses élèves, mais encore la pourvoyeuse de ces mineures vierges qu’elle manipulait pour les livrer à l’appétit de débauche de son amant, le pervers Jean-Paul Sartre ?

    C’est cela le féminisme ?

    Ces accusations terribles sont documentées et les héritiers intellectuels de la Beauvoir et de Sartre, fondateurs de la gauche moderne, ne les nient plus.

    Plusieurs livres et articles publiés depuis 20 ans ont établi que Simone de Beauvoir fut la complice de Jean-Paul Sartre dans ses agressions sexuelles en série sur des mineures. Avec un physique plutôt ingrat, Sartre, avait un appétit particulier pour les vierges que Simone de Beauvoir lui livrait après les avoir elle-même séduites. Elle les choisissait souvent parmi ses élèves.

    L’une d’entre elles, Bianca Lamblin, a décrit comment les deux dépravés ont abusé d’elle à l’âge de 16 ans dans son autobiographie intitulée Mémoires d’une jeune fille dérangée. C’est l’expression utilisée par Simone de Beauvoir pour la décrire avec un mépris hautain dans sa correspondance avec Sartre, rendue publique après sa mort. Choquée et humiliée par la duplicité de l’égérie de Sartre à son endroit, elle a écrit : « J’ai découvert que Simone de Beauvoir puisait dans ses classes de jeunes filles une chair fraîche à laquelle elle goûtait avant de la refiler, ou faut-il dire plus grossièrement encore, de la rabattre sur Sartre. » Elle raconte que Sartre lui a déclaré en la souillant pour la première fois, dans un hôtel miteux, qu’il y avait pris le pucelage d’une autre fille la veille.

    Après l’invasion allemande en 1940, les deux complices d’agression sexuelle contre elle la fuient. Elle pense que c’est parce qu’elle est juive qu’ils ont déguerpi.

    Une autre victime du couple repoussant, Nathalie Sorokine, une lycéenne de 17 ans, fut elle aussi séduite par de Beauvoir pour le lit de Sartre. Ses parents ont porté plainte à la police. En 1943, de Beauvoir fut accusée de séduction de mineure. L’enquête criminelle n’ira nulle part. Mais Simone de Beauvoir perdra le droit d’enseigner en France.

    Conséquents dans leur perversion, Beauvoir et Sartre ont signé des pétitions en 1977 appelant à la dépénalisation de la pédophilie, dénonçant la condamnation de trois hommes pour avoir eu des relations sexuelles avec des enfants de 12 et 13 ans.

    Source via contre-info

  • Bientôt le retrait des mentions de « père » et de « mère » dans les actes de baptême ?

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020

    Recommandés par la Conférence des évêques de France, de nouveaux formulaires pour les actes de baptême pourraient très prochainement être adoptés dans les Églises. Ces derniers, non genrés, ne font pas mention des termes de « père », « mère », « fils », ni de « fille ».

    L’Église va-t-elle faire un pas vers davantage de modernité ? C’est en tout cas le souhait des évêques de France qui recommandent l’utilisation de nouveaux formulaires pour les actes de baptême, sans mention de «père», de «mère», de «fils» ni de «fille», comme le rapporte le Figaro. Dans une lettre adressée à tous les évêques de France, Monseigneur Joseph de Metz-Noblat, évêque de Langres, explique pourquoi, selon lui, ces documents, qui ne font d’ailleurs pas l’unanimité, doivent être mis en place. Ces derniers permettraient en effet d’éviter, selon lui, « les problèmes de vocabulaire » auxquels sont confrontés « de nombreuses chancelleries ». Le nouveau formulaire serait pour les paroissiens un « simple constat de leur situation familiale, sans porter sur celle-ci un jugement moral »assure également le religieux.

    "Il ne s’agit pas seulement de s’adapter aux cas de couples de même sexe"

    « Le fait de ne pas marquer ‘fils ou fille de’ ne va pas obérer la filiation », poursuit Monseigneur Joseph de Metz-Noblat, qui précise que ne pas mentionner « père et mère » n’empêche pas de les rajouter par la suite. « Il vaut mieux rajouter que rayer ! Il ne s’agit pas seulement de s’adapter aux cas de couples de même sexe ; il faut pouvoir prendre en compte un tuteur par exemple… »
    Affaire à suivre…

     

    Source : aufeminin

  • Toulouse : profanation d’une église avec des inscriptions coraniques, le GIGN interpelle un suspect

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020

    Par  le 15/01/2020

    Les hommes du GIGN sont intervenus tôt ce mardi matin pour arrêter un jeune homme de 25 ans

    […]

    Le jeune homme est entendu pour sa participation supposée à la profanation d’une église à Launaguet , commune du nord de Toulouse, limitrophe du quartier Borderouge. Des inscriptions coraniques avaient été découvertes ces derniers mois sur les murs de l’église.

    France Bleu via fdesouche

  • Thibault de Montbrial : « Des cours d’assises spéciales ont rendu des peines extrêmement légères car ‘le repentir des djihadistes avait l’air sincère' »

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020

    Par  le 15/01/2020
    Tancrède ن@Tancrede_Crptrs
     

    "Il y a des décisions de justice qui sont d'une naïveté confondante.
    Des cours d'assises spéciales ont rendu des peines extrêmement légères car 'le repentir des djihadistes avait l'air sincère'.
    Nous sommes extrêmement naïfs et nous allons le payer cher ... !" - @MontbrialAvocat

     
     
    Source : fdesouche
  • L’islamiste Mohamed Achamlane est sorti de prison

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020

    Par  le 15/01/2020

    Détenu à la prison de Vezin-le-Coquet, l’islamiste nantais Mohamed Achamlane a été libéré le 1er janvier dernier. Cet homme avait été condamné à 9 ans de prison pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste.

    […]

    Mohamed Achamlane avait notamment fondé en 2010 le groupe Forsane Alizza (les cavaliers de la fierté) qui s’était donné pour mission de lutter contre l’islamophobie

    […]

    Ouest France via fdesouche