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  • On veut revenir, c’est tout !

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2020

    Auteur : Philippe Carhon

    On veut revenir, c’est tout !

    D’autant plus hallucinant que la France va dire oui :

    Pierre Sautarel@FrDesouche
     
    Source : lesalonbeige
  • Emmanuel Macron se trompe en désignant le christianisme comme une “religion du livre”

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2020

    Auteur : Philippe Carhon

    Emmanuel Macron se trompe en désignant le christianisme comme une “religion du livre”

    A Jérusalem, Emmanuel Macron vient de faire preuve d’un manque de culture religieuse en déclarant :

    Emmanuel Macron @EmmanuelMacron

    Ici vivent les trois grandes religions du Livre, ensemble, à travers des lieux qui ont marqué leur propre Histoire. Le rôle de la France, par la laïcité, c'est de dire que reconnaître la part de chacun avec calme, respect, c'est un pas vers la capacité à vivre ensemble, en paix.

    Voir l'image sur TwitterC’est un grave erreur car c’est une différence fondamentale notamment entre le catholicisme et l’islam avec toutes les conséquences de violence que l’on constate aujourd’hui et depuis toujours de la part des musulmans. Explications :

    Il est courant d’entendre dire que le judaïsme, le christianisme et l’islam sont les “trois religions du livre”. Cette affirmation visant à mettre ces trois religions sur une sorte de pied d’égalité. Or il faut cesser de répéter une telle sottise… et surtout cesser d’y croire ! 

    L’islam est bien une “religion du livre”; et c’est d’ailleurs ce qui pose problème puisque ce qui est écrit dans le livre – le Coran – ne peut être ni modifié ni discuté. Il n’y a pas d’exégèse possible en islam et les versets du Coran sont à prendre tels qu’ils sont écrits, “au pied de la lettre”. Le judaïsme est aussi – mais dans une mesure bien moindre – une “religion du livre’’. Mais si le texte de la Torah doit être fidèlement transcrit, il peut – il doit même – être commenté, expliqué. En quelque sorte, on peut dire que si le texte est fixé de façon scrupuleuse en tant qu’il est la parole de Dieu, il faut en saisir l’ “esprit” plus que la simple lettre.

    Quant au christianisme, et surtout au catholicisme (mettons à part certaines communautés issues de la Réforme), il n’est en aucune façon une “religion du livre”. Certes, la tradition liturgique fait que l’Evangéliaire est richement orné et est porté en procession au début de la célébration eucharistique : mais ce n’est pas le livre que l’on honore… c’est son contenu ! Le livre n’est respecté qu’en tant qu’il est un support matériel de la Parole divine. De fait, à la messe, au moment de la proclamation de l’Evangile, le célébrant n’encense pas l’Evangéliaire lorsqu’il vient de le poser sur l’ambon, mais uniquement après qu’il ait annoncé “Lectio sancti Evangelii secundum… N.” (Evangile de Jésus Christ selon N.) en faisant le signe de la croix avec le pouce sur le livre, puis sur lui-même au front, à la bouche et à la poitrine. (Cf. Missel romain, Introduction générale n. 134.) C’est donc bien l’Evangile – la Parole de Dieu – et non l’Evangéliaire – le livre – qu’on encense par signe de respect. Et à la fin de la proclamation de l’Evangile du jour, le célébrant dit “Verbum Domini” (Acclamons la Parole de Dieu)… Retenons bien : c’est de la Parole qu’il s’agit ! A la différence du “texte” coranique écrit qui est, pour un musulman, l’enseignement reçu de Dieu, pour un catholique c’est dans la “parole” évangélique proclamée – et non dans la “matérialité” du texte imprimé ou manuscrit – qu’il faut chercher l’enseignement de Dieu. Voilà aussi pourquoi il existe une exégèse des textes bibliques : ceux-ci ne sont pas à prendre systématiquement “au pied de la lettre” mais doivent être “scrutés”, “décortiqués” à la seule lumière de la Tradition vivante de l’Eglise. D’une façon générale, le christianisme ne saurait en aucune façon passer pour une “religion du livre”: il est une religion de la Parole. Et il faut donc définitivement tordre le cou à cette idée fumeuse – qui n’est probablement pas sans arrière-pensée – selon laquelle le christianisme, le judaïsme et l’islam seraient les “trois religions du livre“.

    Ou encore ici dans La Croix :

    Dans le Coran, les juifs et les chrétiens sont désignés comme les «gens du Livre» (ahl al-kitâb). C’est-à-dire ceux qui, comme les musulmans, ne reconnaissent qu’un seul Dieu. L’expression «religions du Livre», qui désigne les trois monothéismes, s’est répandue dans l’opinion publique, mais elle n’est pas juste en ce qui concerne le christianisme.

    Comme son nom l’indique, le christianisme rassemble les disciples d’une personne, Jésus Christ, Verbe fait chair, Parole de Dieu dont nous pouvons approcher le mystère mais dont n’aurons jamais fini de faire le tour.

    Le christianisme n’est pas une religion du Livre ni même de l’écrit, même s’il entretient un rapport fort avec celui-ci. Cela change notre rapport au texte lui-même. Origène, un Père de l’Eglise du IIIe siècle, affirme que celui qui lit le texte à la lettre et s’y arrête peut être comparé à un blasphémateur car il réduit Dieu à des affaires littérales.

    Un exemple ? Dans le première lettre de saint Jean, nous lisons : «Le sang de Jésus, son Fils, nous purifie de tout péché» (1 Jn 1,7). Une lecture littérale pourrait déboucher sur une vision sacrificielle, quasiment païenne : on sacrifie un être vivant pour apaiser la colère de la divinité. On en arrive à l’idée d’expiation, dans laquelle l’image d’un Dieu courroucé peut devenir terrible… Dans l’histoire de l’Eglise, la tentation de la lecture littérale et fondamentaliste des Écritures a été, hélas, trop présente…

    En vérité, la relation du chrétien au texte sacré est vivante : elle prend vie lorsqu’elle est interprétée, expliquée, proclamée, prêchée, mise en relation avec notre vie, agissante dans notre existence quotidienne.

    A la messe, la proclamation des extraits de l’Ancien et du Nouveau Testament se conclut par la formule : «Parole du Seigneur» (à laquelle l’assemblée répond : «Nous rendons grâce à Dieu»), ce qu’on pourrait traduire par : «Que cette parole devienne pour vous Parole de Dieu». Alors le texte, entendu, médité, vécu, peut devenir le lieu de la rencontre avec la Parole du Dieu, qui est le Christ lui-même.

    Quand on accepte de ne pas prendre un texte à la lettre et qu’on accueille sa mise en perspective (historique, littéraire, théologique, etc.), on a parfois l’impression de perdre certains gardes-fous. On découvre alors que le véritable garde-fou, c’est de rechercher la vérité et non pas de s’imaginer qu’on la détient. Dans cette recherche, le chrétien peut s’appuyer sur la Tradition de l’Eglise, qui a interrogé ces textes et proposé de multiples interprétations.

     

    Source : lesalonbeige

  • Non cette République n'est pas une dictature. Mais elle est un totalitarisme.

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    "Essayez la dictature, et vous verrez"... En tentant maladroitement de se dédouaner des accusations dictatoriales portées contre sa pratique du pouvoir, Emmanuel Macron prend le risque que les Français, qui espèrent et attendent l'avènement d'un régime fort pour le  Salut national, lui répondent : "Chiche" !
     
    Non, en effet, la France n'est pas une dictature. 
     
    Une dictature suppose une autorité, une direction, une vision de long terme que l'on chercherait vainement dans ce marécage institutionnel, ce cloaque idéologique et cette lise politique fondée sur la mystification et les combinaisons de hasard qu'est, depuis son commencement, la Cinquième République. 
     
    Mais, s'il n'est pas une dictature, ce régime est bien un totalitarisme. Totalitarisme d'une caste oligarchique toute entière habitée d'un seul dessein : conserver coûte que coûte le pouvoir ; totalitarisme de la finance, du libre échangisme et de l'argent-roi ; totalitarisme du fiscalisme et de la bureaucratie sclérosante ; totalitarisme du progressisme sociétal et de l'accomplissement migratoire ; totalitarisme, par un paradoxe qui n'est que d'apparence, du laxisme et du laisser-faire ; totalitarisme de la déconstruction social; totalitarisme, enfin, de la bien-pensance et du politiquement correct livrant au lit de Procuste toute affirmation non conforme.
     
    Macron, hologramme de ses mandants, en est la représentation la plus achevée.
  • Cause ou effet?

    Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2020

     
    Jean-François Touzé délégué générél du Parti de la France
     
    @JeanFranoisTou1
    Quelques dizaines de morts au fin fond de la Chine et la planète tremble... A Wall Street, comme par hasard, les actions des sociétés spécialisées dans la fabrication de vaccins bondissent. Quelque chose me dit que les laboratoires vont se goinfrer. Cause ou effet? #coronavirus
     
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  • Délinquance : Les actes en hausse sur l’année 2019

    Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2020

     
     
    délinquance© Pixabay

    Les chiffres de la délinquance en France et dans les régions pour l’année 2019 ont été publiés. En Haute-Garonne, les coups et blessures volontaires et les vols de véhicules ont particulièrement augmenté. 

    Déjà considéré comme l’un des départements les plus touchés par les cambriolages, avec la Gironde et la Loire-Atlantique, la Haute-Garonne a vu sur l’année 2019 le nombre de vols de véhicules et les coups et blessures volontaires augmenter. La Dépêche du Midi a publié les premiers chiffres de la délinquance enregistrés sur l’année écoulée. 

    Les cambriolages en baisse, les violences en hausse

    Si tout n’est pas rose, tout n’est pas noir non plus. Le nombre de cambriolages a diminué de 1,5% entre 2018 et 2019. Les vols violents sans arme ont également baissé de 12,9% sur une année. Il s’agit de la plus grande diminution. 

    Lire aussi : Comment éviter un cambriolage à Toulouse ?

    Au contraire, le vols sans violence contre les personnes a augmenté de 3,1% entre 2018 et 2019. La plus forte augmentation concerne les coups et blessures volontaires. Le nombre de faits a augmenté de 9,2% sur un an. 

    Dans les autres catégories, les vols avec armes sont recensés à hauteur de 0,14 pour 1.000 habitants, les vols d’accessoires sur les véhicules sont mesuré à 1,7 pour 1.000 et les vols de véhicules à 9,1 pour 1.000. 

    Et dans la région ? 

    Le taux d’homicides dans la région Occitanie est de 0,021 pour 1.000 habitants en 2019. Un chiffre qui place notre région à la troisième place, derrière la Corse et la Provence Alpes Côte d’Azur. Les violences sexuelles sont mesurées à 0,8 pour 1.000 habitants sur l’année écoulée, soit une augmentation de 12,5% entre 2018 et 2019. 

    Lire aussi : En moyenne une garde à vue par heure à Toulouse

    Dans les autres départements de la région, le Tarn se distingue en voyant la délinquance augmenter dans toutes les catégories, à l’exceptions des vols violents avec armes. Dans le Gers, les nouvelles sont meilleures puisque les cambriolages et les vols violents sans arme sont en net recul. Même chose dans l’Aveyron, où les cambriolages, les vols violents et les coups et blessures volontaires ont fortement diminués. En Ariège, les chiffres sont plus inquiétants, avec 20% d’augmentation des vols violents sans arme. Toutes les catégories ont également augmenté, à l’exception des vols sans violence contre les personnes. 

    La rédaction d’Infos-Toulouse. 

     

    Source : nfos-toulouse